C'est une simple lampe pour chambre d'enfants qui a sonné le top départ de cette série « Ride of the wild ». Aperçue dans un catalogue d'articles d'occasion, sa forme de tête d'hippopotame ressemblait au capot d'une voiturevoiture. Un « je ne sais quoi » qui a inspiré ses autres créations, toutes formulées à base de « Et si c’était vrai… ».

Voici donc l'Aston Martin DB5 de 1963, la célèbre et mythique voiture toujours présente au casting de James Bond, revisitée selon l'imagination de Frédérique Müller : une certaine idée de l'opulence à la mesure des moyens financiers de son possesseur. Tout en courbes voluptueuses, qui inspire la douceur d'une vie matériellement confortable mais de couleurcouleur gris acieracier, suggérant un tempérament du même acabit. Et toujours la paire d'oreilles bien reconnaissable du grand mammifère et des phares aux paupières lourdes...

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