au sommaire
Une étude publiée dans la revue Reproductive BioMedicine Online suggère que la mesure des niveaux de cet antigène non classique de classe I du complexe majeur d'histocompatibilitécomplexe majeur d'histocompatibilité (HLA) pourrait permettre d'augmenter les chances de succès d'une FIVFIV et de limiter le nombre d'embryons à implanterimplanter, réduisant ainsi le risque de naissances multiples.
La recherche a été menée par les Sher Institutes for Reproductive Medicine (New York) et le Laboratoire Millenova (Illinois) auprès de 201 femmes nécessitant le recours à une procédure particulière de reproduction assistée, l'ICSI ou Injection Intra-Cytoplasmique de SpermatozoïdeSpermatozoïde.
Ces femmes ont été séparées en deux groupes d'âge (moins de 39 ans et de 39 à 44 ans). Dans les deux groupes, celles ayant reçu au moins un embryon présentant un taux élevé de HLA-G ont obtenu de meilleurs résultats que les autres : 71% de réussite contre 22% chez les plus jeunes et 52% contre 15% chez les plus de 39 ans.
Bien entendu, des travaux complémentaires devront encore être conduits afin de vérifier si ces résultats sont reproductibles par d'autres laboratoires.