Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Plos One, la consommation de fraises permettrait de prévenir des pathologies comme le diabète ou la maladie d'Alzheimer.
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S'il est conseillé de manger cinq fruits et légumes par jour pour rester en forme, une nouvelle étude publiée par des chercheurs du Salk Institute for Biological Studies à San Diego, en Californie, suggère de consommer 37 fraisesfraises par jour pour prévenir le diabètediabète, la maladie d'Alzheimer et même le cancercancer.

L'étude, publiée le 27 juin dans la revue Plos One, révèle que la fraise regorge d'un flavonoïdeflavonoïde appelé fisétine (que l'ont trouve en quantités inférieures dans d'autres fruits et légumes) qui ne fait pas de cadeaux aux maladies graves.

La fisétine contenue dans les fraises préserve les neurones de la maladie d'Alzheimer. © Septentria-Flickr nc nd 20

La fisétine contenue dans les fraises préserve les neurones de la maladie d'Alzheimer. © Septentria-Flickr nc nd 20

Pour préserver les neurones, mangez des fraises !

Dans le cadre de cette étude, les chercheurs ont nourri des souris Akita avec une quantité de fraises équivalente à 37 par jour pour un humain. Les chercheurs ont observé chez ces souris, qui sont génétiquement sujettes au diabète, une réduction des symptômessymptômes de diabète et de l'activité inflammatoire liée au cancer, ce qui les a poussés à conclure qu'un régime riche en fisétine protège les neuronesneurones contre la maladie d'Alzheimermaladie d'Alzheimer

Des recherches antérieures vont dans le même sens, confirmant que les fraises préservent les fonctions cognitives en réduisant l'inflammationinflammation et l'oxydationoxydation qui accompagnent les maladies liées au vieillissement. Des chercheurs du Chicago Healthy Aging Project ont découvert que le déclin des facultés cognitives était atténuéatténué chez les personnes âgées qui consommaient des fraises au moins une fois par mois, et que les femmes qui consommaient plus d'une part de fraises par mois voyaient leurs facultés cognitives décliner 16,2 % moins vite que chez celles qui en consommaient moins.