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L'identification de gènes impliqués dans la régulation de la longévité chez les invertébrés (drosophile, nématodes) et la présence de gènes chez l'Homme présentant des homologies avec les gènes d'invertébrés ont ravivé des théories déterministes du vieillissement. Or, les données expérimentales chez les vertébrés et en particulier chez l'Homme, concernent surtout des mécanismes épigénétiques tels que la réaction de Maillard et la production de radicaux libres. Certaines maladies imitant un vieillissement accéléré comme la Progeria et le syndrome de Werner, procèdent de mutations dont certaines sont à leur tour mutagènes et aboutissent à des réactions radiculaires.