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    Le 27 avril dernier, le Panoramic Survey Telescope and Rapid Response System (Pan-STARRS) de la NasaNasa observait un nouvel astéroïde à proximité de la Terre. Risques de collision : 10 %. Moins d'une heure plus tard, le Xingming Observatory (Chine) fournissait des données quant à sa position, son mouvementmouvement et sa luminositéluminosité. L'observatoire de Tautenburg en Allemagne (ESAESA) se mettait lui aussi en alerte. Même si la taille de l'astéroïdeastéroïde -- entre 4 et 8 mètres -- ne laissait pas réellement craindre de dommages.

    L’astéroïde 2020 HS7, découvert le 27 avril, s’est approché de l’orbite géostationnaire dès le lendemain. © ESA
    L’astéroïde 2020 HS7, découvert le 27 avril, s’est approché de l’orbite géostationnaire dès le lendemain. © ESA

    L'événement a finalement joué le rôle de test grandeur nature des capacités de détection, de suivi, de caractérisation et de mobilisation des observatoires du monde entier.

    L’astéroïde 2020 HS7 observé par l’observatoire de Tautenburg, le 28 avril 2020. © S. Melnikov, C. Hoegner, B. Stecklum, Observatoire de Tautenburg, ESA
    L’astéroïde 2020 HS7 observé par l’observatoire de Tautenburg, le 28 avril 2020. © S. Melnikov, C. Hoegner, B. Stecklum, Observatoire de Tautenburg, ESA

    Celui que les astronomesastronomes appellent désormais 2020 HS7 s'est tout de même approché de l'orbite géostationnaire de notre Planète, à une distance de 42.745 km du centre de notre Terre. C'était le 28 avril dernier. Et il a approché un satellite à seulement 1.200 km. Lui permettant d'entrer dans le top 50 des astéroïdes s'étant le plus rapproché de nous.

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