Leur approche, fondée sur le principe de la magnétométrie optique, permet l'utilisation d'un appareil compacte, portable, relativement bon marché et silencieux.
Les techniques actuelles requièrent l'utilisation de champs magnétiqueschamps magnétiques puissants afin de produire des signaux IRMIRM détectables. S'affranchir des aimantsaimants à haut champs, encombrants, chers, et bruyants nécessite de mettre au point un système de détection plus sensible.
C'est cette voie que Pines, Budker et Xu explorent, en développant un moyen de détecter des signaux IRM très faibles: un magnétomètremagnétomètre atomique de haute sensibilité dont le principe est fondé sur le phénomène de rotation magnéto-optique non linéaire. Ce magnétomètre fonctionne à température ambiante, au contraire des détecteurs SQUIDSQUID (Superconductivity Quantum Interference Device) qui permettent aussi de détecter de très faibles signaux IRM mais qui doivent être refroidis à une température proche du zéro absoluzéro absolu.
"Nous continuons à optimiser le système à la fois en sensibilité et en efficacité de détection, pour rendre la technique utilisable en microfluidiquemicrofluidique et pour des échantillons biologiques de la taille du micromètre" note Xu.
Les chercheurs souhaitent mettre au point un appareil qui soit portable et qui puisse être utilisé comme instrument de mesure analytique en continu pour le contrôle des réactions chimiquesréactions chimiques ou des procédés biologiques.
Par Peggy Rematier
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