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L'astronautique actuelle repose en grande partie sur les performances des moteurs fusées grâce auxquels on peut communiquer aux charges utiles les vitesses formidables nécessaires à leur satellisation.
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L'astronautique actuelle repose en grande partie sur les performances des moteurs fusées grâce auxquels on peut communiquer aux charges utiles les vitesses formidables nécessaires à leur satellisation.
L'astronautique actuelle repose en grande partie sur les performances des moteurs fusées grâce auxquels ont peut communiquer aux charges utiles les vitesses formidables nécessaires à leur satellisation.
C'est ainsi qu'ARIANE, dont la mission nominale est la mise en "orbite de transfert géostationnaire" doit amener une ou plusieurs charges utiles au périgée, à quelques centaines de km d'altitude, en leur communiquant une vitesse d'environ 10 km/s.
Après séparation, les charges utiles livrées à elles-mêmes décrivent sans cesse l'orbite de transfert entre le périgée et l'apogée à 36 000 km, jusqu'à ce que leur moteur soit allumé à l'apogée et leur communique le gain de vitesse qui les fait passer sur l'orbite définitive équatoriale et circulaire d'altitude 36 000 km : le satellite est alors fixe par rapport à la terre.
Mais, le satellite doit encore être équipé de petits moteurs complémentaires destinés à parfaire cette trajectoire, à la corriger des effets de l'attraction solaire ou lunaire ou encore à contrôler son orientation vers la terre.
Le domaine de la propulsion par moteurs fusées est donc très étendu puisque les poussées des moteurs sont :
En Europe, ce domaine est entièrement couvert par Snecma Moteurs qui exerce sa maîtrise d'œuvre dans les domaines tant civils que militaires et dispose de plusieurs techniques adaptées aux satellites.