En effet, si l'IAC réunit scientifiques et décideurs du spatial, il héberge également une partie « exhibits » loin d'être négligeable. A l'image d'un salon professionnel, agences, industriels, prestataires de lancements ou autres sociétés liées au spatial peuvent tenir un stand dans un grand hall dédié.

L'ISRO, agence spatiale indienne, affichait sa volonté d'étendre sa gamme de lanceurs vers les charges utiles lourdes.
Un petit air d'Ariane V…
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Les « grands classiques » attendus répondent bien entendu présents. Aussi, les agences spatiales exposent-elles la logique de leurs programmes tandis que les industriels mettent en avant leur savoir-faire. Mais cette année aura vu le succès de SpaceShipOne et l'arrivée de nouveaux acteurs comme SpaceXSpaceX. Cette dernière société, fondée par le milliardaire du paiement sur InternetInternet Elon Musk (créateur de PayPal), entend révolutionner le marché du lancement avec un lanceur économique : le Falcon. Tous ces « nouveaux venus » n'avaient pas forcément un stand à l'image de SpaceX mais étaient présents.

Légende : Le « renewed spirit of discovery » était à l'honneur à la NASA. Ici, un concept de combinaison spatiale à torse rigide pour l'exploration de la Lune ou de Mars.
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Si le succès de SpaceShipOne fut salué par certains, d'autres font remarquer qu'un vol suborbitalsuborbital n'a rien de nouveau et que les technologies employées n'apportent aucune innovation. Mais, pour certains, le véritable intérêt de SpaceShipOne serait surtout le fait d'avoir mis au point un vaisseau spatial à 3 places (ne fut-il que suborbital) en passant du concept à des vols réussis en moins de 3 ans et ce pour un budget largement en deçà des standards habituels. Assistera-t-on donc un jour prochain à une redistribution des cartes spatiales où le dynamisme de jeunes entrepreneurs seraient à même de compenser leur relatif manque d'assise sur le marché ? Autrement dit : parlera-t-on un jour d'un avant et d'un après SpaceShipOne ? Ce dernier symbolisant l'essor des « petites » entreprises privées vers l'espace.

L'ambitieux laboratoire scientifique japonais destiné à l'ISS. Un module qui ne pourra être envoyé que lorsque la navette spatiale reprendra le chemin de l'espace.
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Au risque de paraître frileux, remarquons qu'il est peut-être trop tôt pour l'affirmer. Toutefois, une constatation s'impose : le sujet ne laisse personne indifférent et communique souvent une contagieuse envie de voir renaître une période où la conquête de l'espace semblait avancer à grands pas ; bondissant du premier satellite au premier homme autour de la TerreTerre pour aboutir aux premières foulées lunaires.

L'agence spatiale canadienne présentait un projet de sauvetage robotisé d'Hubble. Le module à l'arrière du télescope permettrait de prolonger sa durée de vie et de contrôler sa rentrée ultérieurement.
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Des foulées qui n'auraient jamais du s'interrompre pendant si longtemps...

Ils ne cherchent pas à prendre des parts de marchés, mais ils représentent tout de même la génération de demain. Ces étudiants de l'University of British Columbia veulent envoyer leur propre fusée à plus de 100 km. Leur projet sur le net : www.rocket.apsc.ubc.ca
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