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    Le réchauffement climatiqueréchauffement climatique force certaines espècesespèces à se déplacer vers un environnement plus favorable. Que ce soit sur terreterre ou sous l'eau. Or, il semblerait que migrer vers un lieu plus adapté soit plus simple et rapide si l'on a la tête sous l'eau. Telle est la conclusion d'une étude parue dans Nature Ecology & Evolution.

    Les chercheurs ont mis au point une base de donnéesbase de données géographiques, comportant plus de 30.534 changements d'aire de répartitionaire de répartition d'espèces animales et végétales. Leur analyse suggère que les espèces marines ont plus de facilité à se déplacer en fonction des variations thermiques. Et qu'elles se dirigent vers les pôles six fois plus vite que les espèces terrestres ! Toutefois, les auteurs de l'étude soulignent un biais : il existe davantage de données concernant les espèces charismatiques. Une baleine fait l'objet de plus d'attention qu'un banal poissonpoisson.

    Sur terre, il paraîtrait que « les activités humaines entravent la capacité des espèces terrestres à suivre les changements d'isothermes » écrivent-ils. Certaines espèces allant même dans le sens contraire aux isothermes. Bien que les organismes terrestres auraient une marge de sécurité plus large pour supporter des changements de température, cette vitessevitesse de migration modulée par la pressionpression humaine interroge « quant à la capacité d'adaptation des organismes terrestres face au réchauffement attendu pour le XXIe siècle », stipule un communiqué.

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