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Le mot papier peint recouvre des produits d’aspects et de formats très différents. Du simple papier d’apprêt au panoramique sur mesure, en passant par les vinyles et les textiles à coller, l’offre est considérable.
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Le mot papier peint recouvre des produits d’aspects et de formats très différents. Du simple papier d’apprêt au panoramique sur mesure, en passant par les vinyles et les textiles à coller, l’offre est considérable.
Les papiers peints duplex et simplex sont, par leur structure, les descendants directs des productions manufacturières d'antan. Des deux, le plus solide n'est pas celui qu'on croit.
Le simplex est constitué d'une seule épaisseur de papier : la face de parement est imprimée et c'est le dos qu'on encolle. Suivant les qualités, le poids varie de 120 à 200 g/m2, ce qui lui donne une certaine résistance aux manipulations. Les caractéristiques du simplex autorisent des décors qui, sans égaler les produits haut de gamme, offrent des aspects raffinés : romantiques, scènes de genre, motifs floraux à surface satinée, etc. Le prix est en conséquence.
Le duplex est, lui, composé d'une couche frontale imprimée, contrecollée sur un papier support (le dorsal). Curieusement, cette double épaisseur coïncide avec un faible grammage dans les productions courantes : 70 à 110 g/m2. Papier peint typique des entrées de gamme, celui-ci se déchire facilement lors de la pose : à manipuler avec précaution. Il en existe de plus lourds et de plus chics du nom compliqué de duplex - duplex repéré. Sa pose exige de la délicatesse pour ne pas écraser les reliefs en marouflant à la brosse.
Ces différents papiers sont à réserver aux pièces sèches ; ils ne supporteraient pas longtemps l'humidité d'une cuisine ou d'une salle de bain.