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Le mot papier peint recouvre des produits d’aspects et de formats très différents. Du simple papier d’apprêt au panoramique sur mesure, en passant par les vinyles et les textiles à coller, l’offre est considérable.
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Le mot papier peint recouvre des produits d’aspects et de formats très différents. Du simple papier d’apprêt au panoramique sur mesure, en passant par les vinyles et les textiles à coller, l’offre est considérable.
Étanche à l'humidité, le vinyle a représenté un grand progrès dans l'univers du papier peint. Avec lui, on pouvait enfin tapisser les murs d'une pièce d'eau sans craindre un décollement intempestif.
Au début, les papiers offraient un aspect « plastique », pas toujours (osons le dire) de très bon goût. Puis la gamme s'est étoffée et adaptée aux exigences esthétiques du moment.
On distingue plusieurs sortes de vinyles, unis ou à motifs. Les compacts (170/180 g/m2), composés d'une impression pelliculée de PVC sur support papier, sont en principe adaptés aux cuisines et salles de bains. Toutefois, pour des locaux soumis à condensation, il est préférable de poser un vinyle épais (200 à 350 g/m2), expansé ou expansé relief (VER). Imprimés suivant un procédé sérigraphique ou par grainage chimique, ces revêtements peuvent être assez onéreux. Mais leur épaisseur permet de gommer les déformations d'une paroi irrégulière.
Lors de la dépose, il est possible de détacher le parement (le peler) et laisser en place le dosseret, qui est plan. Les vinyles lourds (300 à + 400 g/m2), obtenus par calandrage, sont proposés sur support papier, intissé ou coton (haut de gamme).
Disponibles en plusieurs largeurs de 53 à 150 cm, ils sont accessibles aux particuliers mais on les rencontre surtout dans les lieux à forte fréquentation : écoles, hôtels, immeubles de bureaux, milieu hospitalier...