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Une équipe de l'Université de Tokyo menée par le professeur Kuzushige Kawai a montré que l'épigallocatéchine gallate (EGCG), molécule abondante dans les feuilles de thé, a une très forte affinité pour les récepteurs CD4 des lymphocytes T4.
Ces récepteurs membranaires permettent au virus du SIDA de s'introduire dans les cellules, ou il est ensuite répliqué.
L'étude a mis en évidence qu'en se liant plus rapidement aux recepteurs, l'EGCG empêche l'attaque du VIH.
Cette molécule ouvre une nouvelle voie de lutte contre la maladie en empêchant le virus de se répandre dans les cellules, les traitements actuels combattant le virus après sa propagation dans l'organisme.
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