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    L'époque est révolue où l'on consacrait dans son salon un espace conséquent au sacro-saint « meuble télé »... Désormais, les télévisions présentent des lignes épurées et sont de faible épaisseur. Le tube cathodique qui prenait tant de place jadis a cédé sa place à d'autres systèmes plus performants, moins énergivores et surtout miniaturisés à l'extrême. Désormais, un téléviseur ressemble plus à une fenêtrefenêtre ou à un tableau qu'à une sorte de grosse machine lourde et encombrante ; de plus, elle s'accroche ou s'installe au bout d'un bras articulé fixé au murmur ou au plafond, ce qui permet ainsi de pouvoir en profiter dans toutes les positions imaginables, sans quasiment prendre la moindre place !

    Pour les fabricants, le bon compromis tient en une qualité d'image impeccable et des dimensions suffisamment étoffées pour procurer une immersion totale. Les télévisions 50 pouces proposent une taille plus que respectable, avec une hauteur de 62,3 centimètres pour une largeur de 110,7 centimètres, ce qui forme une diagonale de 127 centimètres. Ce format fait l'objet d'un engagement majeur de la part des développeurs et ce, depuis de longues années, si bien que la technologie à l'échelle est parfaitement maîtrisée et les TV de ce gabarit remportent un très vif succès, notamment pour leur duréedurée de vie souvent intéressante.

    Le frameless invite à une expérience intense. ©  Nataliia Makarovska, Adobe Stock
    Le frameless invite à une expérience intense. ©  Nataliia Makarovska, Adobe Stock

    Par ailleurs, avec l'avènement du « toute plateforme » engendré par l'ère du numérique, les grandes dimensions de l'écran permettent de se connecter sur le web, aux réseaux sociauxréseaux sociaux, etc. sans difficulté et avec une lisibilité idéale.

    Si vous optez pour un modèle Frameless, c'est sans doute que le cadre qui enchâsse habituellement l'image lors de vos programmes favoris, parasiteparasite d'une manière ou d'une autre votre expérience télévisuelle. Ce souci de supprimer le cadre de l'image n'est pas un développement anodin de la part des bureaux d'étude et si, désormais, le progrès a permis effectivement de s'en affranchir, les premières démarches en la matièrematière remontent aux antiques tubes cathodiques des années 80 où l'on s'est aperçu que l'aspect « fondu » de l'écran dans l'environnement provoque chez certains sujets une immersion plus profonde et une expérience plus intense.

    Cela est dû à certains récepteurs de notre cerveaucerveau et à l'idée que l'absence de frontière visible et marquée autour d'une lucarne animée semble suggérer pour ce dernier une véritable concomitance des actions ou, plus encore, des scènes avec le réel. L'absence de cadre lors d'une retransmission d'un événement sportif, par exemple, va amener certains sujets à s'immerger plus encore dans le cœur de l'action, c'est alors un « plus » indéniable.

    Le saviez-vous ?

    Finalement, rien ne vaut de faire l’expérience, in situ, dans un magasin, et de comparer son ressenti face à un écran Frameless puis, en alternance, face à un autre classique, cela permettra de vous faire une idée de la différence qui, pour certains est sensiblement évidente.