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    En 1986, la Commission baleinière internationale a imposé un moratoiremoratoire sur la chasse aux baleines, ce qui n'a pas empêché les Japonais de continuer cette pêchepêche pour des raisons... 'scientifiques'. Or, voilà que Tokyo désire l'accroître, presque doubler ses quotas pour les baleines de Minke prises en AntarctiqueAntarctique (440 têtes actuellement) et obtenir la permission de chasser les baleines à bossebaleines à bosse et rorquals communsrorquals communs.

    La Nouvelle-Zélande a déjà précisé qu'elle envisageait de poursuivre le Japon devant la Cour internationale de justice, plus haute instance judiciaire des Nations Unies. Et l'Australie va se joindre aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à la Nouvelle-Zélande pour s'opposer au projet. "Nous avons de bonnes relations mais il s'agit d'une question sur laquelle nous nous opposons avec le Japon et très fermement. Nous avons de la difficulté à croire que l'abattage de 400 baleines de Minke - et il s'agit de Minke et non de baleines à bosse - soit scientifique !" a affirmé le Premier ministre australien...