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    La révélation ne va pas faire du bien à la réputation qu'il s'applique à verdir depuis de longs mois : deux jours avant le lancement de la COP28 à Dubaï, son président Sultan Al-Jaber est accusé d'utiliser sa position pour conclure des marchés sur les énergies fossiles en faveur des Émirats arabes unis (EAU) et de l'Adnoc, la compagnie pétrolière nationale qu'il dirige. D'après des documents révélés dans le cadre d'une longue enquête menée par la BBC et publiée ce lundi, l'homme d'affaires aurait échangé avec pas moins de 27 pays étrangers afin de développer des projets de combustibles fossiles.

    Dans un de ces documents, une note conseille notamment que l'Adnoc informe les pays producteurs de pétrolepétrole d'Arabie saoudite et du Venezuela « qu'il n'y a pas de conflit entre le développement durabledéveloppement durable des ressources naturelles d'un pays et son engagement envers le changement climatique ». Un porteporte-parole de la COP28 a nié la véracité de ces documents fournis par un lanceurlanceur d'alerte resté anonyme pour éviter les représailles. De leur côté, les EAU ont rappelé dans une communication lapidaire que « les réunions privées sont privées ». Ambiance...

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