« Ce sont les expositions fréquentes, à des niveaux modérés de pollution, qui sont responsables de l'essentiel de l'impact sanitaire, et non les pics de pollution ». Voilà en substance la conclusion de l'Agence française de Sécurité sanitaire de l'Environnement et du TravailAgence française de Sécurité sanitaire de l'Environnement et du Travail (Afsset) qui a piloté une expertise sur les particules dans l'airair ambiant. Ce travail a été commandité en août 2007 par les ministères de la Santé et de l'Environnement. Elle vient de publier son rapport.
Plutôt que d'annoncer les pics, il vaudrait mieux réduire les émissions...
Après plus d'un an et demi d'enquêtes, de prélèvements et de mesures, une première idée reçue est bousculée : les pics de pollution ne sont responsables que de 3% des effets négatifs sur notre santé. Les 97% restant sont en fait « attribuables à des niveaux de pollution modérés [moins de 50 microgrammes/m3 NDLRNDLR], mais fréquents ».
Partant, « la réduction des émissionsémissions (de particules) doit passer avant le dispositif d'information et d'alerte sur les pics » insiste l'Afsset, d'autant plus que l'Agence n'a pas observé « un seuil de concentration en particules en deçà duquel aucun effet sanitaire ne serait constaté »...
Pour réduire les émissions de particules pas de miracles, il faut s'attaquer à la source : la combustioncombustion du boisbois, du charboncharbon, du fioulfioul. Dans les zones urbaines, les « transports qui contribuent de manière importante à la pollution ».
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