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    Le rejet du racisme

    Le rejet du racisme

    Le rejet de la notion de « races inférieures », à partir des années 1940, s'est nourri de la révélation des crimes du nazisme, accompagné par la décolonisation et l'accession à l'indépendance des peuples jusque là assujettis.

    Cliquer sur l'image pour l'agrandir - L’arbre de la famille des primates. Notre dernier ancêtre commun avec le chimpanzé remonte à six ou sept millions d’années.

    Cliquer sur l'image pour l'agrandir - L’arbre de la famille des primates. Notre dernier ancêtre commun avec le chimpanzé remonte à six ou sept millions d’années.

    Il s'est aussi appuyé sur l'impossibilité de prouver des différences d'ordre génétiquegénétique entre groupes de population en ce qui concerne les aptitudes et les performances.

    Image du site Futura Sciences
    La vision actuelle du peuplement de la Terre par l’homme moderne (Homo sapiens) à partir de l’Afrique.

    Enfin les preuves de plus en plus convaincantes d'une origine unique de l'homme moderne, en Afrique il y a 150 000 ans environ, et du peuplement de la terre par des migrations successives débutant il y a seulement 60 à 70 000 ans ont porté un coup fatal à l'idée de races dont l'inégalité serait « logique, expliquée, permanente et indélébile », pour reprendre une expression de Gobineau.