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Roland Lehoucq

Roland Lehoucq

Chercheur Astrophysique

Contrairement à ce que l'on entend souvent, le grand public est intéressé par les sciences pourvu qu'on lui en parle de façon attirante et compréhensible. C'est ce que réussit à faire Futura-Sciences en exposant l'évolution des connaissances scientifiques grâce à des dossiers pédagogiques et à un suivi permanent de l'actualité. Futura-Sciences participe ainsi à intégrer les sciences dans la culture générale. Cela ne peut que favoriser une maîtrise citoyenne des enjeux scientifiques posés à notre société.

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Biographie

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Diffusion de la connaissance

Participation à la réalisation de trois expositions :

1 - « Mission Biospace », Cité de l'Espace de Toulouse.
2 - « Le monde de Franquin », Cité des Sciences et de l'Industrie de Paris.
3 - « Star Wars l'expo », Cité des Sciences et de l'Industrie de Paris.

Plus de 80 articles publiés dans des revues de vulgarisation (Pour la Science, la Recherche, Science et Vie Junior, Ca m'intéresse, Science et Avenir, WapitiWapiti, Le Monde Diplomatique, Le Monde 2, Bifrost).

Dix livres publiés  :

SF : la science mène l'enquête Le Pommier 2007

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Faire de la physiquephysique avec Star Wars, éditions Le Pommier, collection Collège de la Cité, octobre 2005.

La lumièrelumière à la loupe,éditions Le Pommier, collection les Mini-Pommes, septembre 2005.

Les constantes fondamentales, éditions Belin, avril 2005.

Qu'est-ce que la matièrematière ? éditions Le Pommier, collection Collège de la Cité, mars 2005.

Le SoleilSoleil, notre étoileétoile, éditions Le Pommier, collection Les Mini-Pommes, 2004

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Où est passé le Temple du Soleil, enquête scientifique au pays d'Hergé, écrit en collaboration avec R. Mochkovitch, éditions Flammarion, 2003.

D'où viennent les pouvoirs de Superman ? Physique ordinaire d'un superhéros, EDP Sciences, 2003.

Les lois du monde, Notre environnement expliqué par la physique ,écrit en collaboration avec J.-M. Courty et E. Kierlik, éditions Belin, 2003.

La force, écrit en collaboration avec M. Lévy, EDP Sciences2003.

L'universunivers a-t-il une forme ?, éditions Flammarion, 2002 ; réédition dans la collection au format poche dans la collection Champs, 2004

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Aux éditions Le Pommier

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métier

Le métier de chercheur est plutôt varié, et encore plus si l'on s'occupe de communication scientifique. Aucune journée ne ressemble aux autres et la liberté d'organisation de son temps est totale. Voici une courte liste d'activités que l'on retrouve régulièrement. • Le travail de recherche : calcul avec papier et crayon, travail sur ordinateur pour mettre au point un programme de simulation numérique, lecture d'articles, rédaction de ses articles, discussions avec ses collaborateurs sont le quotidien d'un chercheur théoricien.
• La bibliographie : il s'agit de consulter régulièrement les bases de données d'articles scientifiques (comme http://fr.arxiv.org/) pour se tenir au courant des dernières publications, sélectionner celles qui relèvent de votre domaine de recherche, les imprimer avant de les lire. J'aime aussi aller régulièrement à la grande bibliothèque du centre de Saclay, pour y consulter les nouveaux livres et me tenir au courant de l'actualité scientifique au-delà de ma discipline.
• La discussion avec les collègues : moment convivial d'échange d'information, de nouvelles, d'exposition de ses difficultés ou de ses succès, qui se passe très souvent autour d'un café.
• Assister à un séminaire : il s'agit là d'écouter un chercheur présenter ses résultats, pas forcément dans la même discipline. En région parisienne, plusieurs centaines de séminaires sont donnés chaque semaine. En général, on assiste seulement à ceux de son laboratoire, une fois par semaine environ.
• Les conférences, cours, séminaires et activités extérieures au laboratoire : je donne environ 20 à 25 conférences par an, chacune me prend en moyenne 3 heures, trajet compris, temps qui n'est pas toujours pris sur mon travail, mais aussi sur mes loisirs. Il faut aussi compter le temps de préparation de ces interventions, qui est rapidement rentabilisé si l'on en fait suffisamment régulièrement.
• Le courrier électronique : LE moyen de communication de la communauté scientifique. J'en reçois entre 30 et 50 par jour (hors spam !), auxquels je réponds avec un délai aussi bref que possible. J'estime que cette tâche épistolaire me prend au moins une heure par jour, parfois plus quand il s'agit d'une réponse scientifique détaillée à un collaborateur.