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    Il arrive à notre SoleilSoleil, lorsqu'il entre en éruption, d'expulser des sortes de nuagesnuages de plasma. Les astronomesastronomes les qualifient d'éjections de massemasse coronale (CMECME). Ces derniers jours, le Soleil, qui s'approche toujours plus du pic de son activité, a envoyé vers la Terre, non pas une, mais bien plusieurs de ces CME. Les modèles estiment qu'au moins trois d'entre elles devraient frapper notre Terre ce 13 février 2024.

    Une possibilité de forte tempête solaire provoquée par à une éjection de masse coronale

    De quoi déclencher des tempêtestempêtes géomagnétiques mineures à modérées, de classe G1 à G2. Avec des aurores boréales qui ne devraient pas devenir visibles à de très basses latitudeslatitudes.

    Mais la possibilité demeure pour que se produise un événement plus rare. Les chercheurs parlent de CME cannibale. Parce que toutes les éjections de masse coronale ne se déplacent pas dans l'espace à la même vitessevitesse. Si l'une de celles en route vers la Terre devait être plus rapide que les autres, elle pourrait les rattraper. La puissance combinée de ces CME donnerait alors naissance à une forte tempête solaire, de classe G3. Et potentiellement, à des aurores boréalesaurores boréales jusqu'à des latitudes moyennes.

    Ces éruptions peuvent-elles menacer internet ? La réponse dans cet épisode de Vitamine Tech. © Futura
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