au sommaire


    Le modèle climatique de l'Institut Pierre et Simon Laplace (IPSL) est l'un des modèles utilisés par le Giec. Ici sont résumés les processus physiques et leurs interactions, qui sont incorporés dans le modèle sous forme d'équations mathématiques. Le modèle Orchidée est le modèle des surfaces continentales, le modèle LMDZ simule les interactions atmosphériques et le modèle Orcalim les interactions océaniques. Le modèle climatique résulte du couplage de ces trois modèles. © IPSL

    Le modèle climatique de l'Institut Pierre et Simon Laplace (IPSL) est l'un des modèles utilisés par le Giec. Ici sont résumés les processus physiques et leurs interactions, qui sont incorporés dans le modèle sous forme d'équations mathématiques. Le modèle Orchidée est le modèle des surfaces continentales, le modèle LMDZ simule les interactions atmosphériques et le modèle Orcalim les interactions océaniques. Le modèle climatique résulte du couplage de ces trois modèles. © IPSL

    La modélisationmodélisation numériquenumérique couplée est de plus en plus utilisée en sciences du climat et de l'environnement. Pour prévoir l'évolution du climat, les scientifiques utilisent des modèles climatiques, qui sont précisément des modèles couplés, où interagissent les modèles atmosphériques, océaniques et de la dynamique des surfaces continentales.

    Par ailleurs, un modèle couplé permet d'étudier les différentes modifications futures de l'environnement. Il est par exemple intéressant de coupler un modèle climatique à un modèle de simulation du cycle du carbonecarbone. Cela permet d'étudier l'influence des gaz à effet de serre sur l'évolution de la température. Il peut aussi être intéressant de coupler le rôle de la végétation sur le climat. D'une manière générale, un modèle couplé permet d'étudier l'impact d'un forçage sur un autre.

    Champ lexical : modélisation numérique couplée | modèle numérique couplé