Concept de [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] bi-&eacute;tage d&eacute;nomm&eacute; CH (propulsion m&eacute;thane/[popupdefinition id=798]oxyg&egrave;ne[/popupdefinition] [popupdefinition id=15334]liquide[/popupdefinition] pour l'&eacute;tage principal et propulsion cryog&eacute;nique pour l'&eacute;tage sup&eacute;rieur).Cr&eacute;dits Astrium / Esa

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Un des quatre concepts de lanceur de nouvelle génération

Troisième élément le plus fréquent dans l’univers, l’oxygène est l’une des pierres angulaires du vivant et forme des composés avec presque tous les autres éléments.
Généralités
Symbole : ONuméro atomique : 8Électrons par niveau d’énergie : 2, 6Masse atomique : 15,999 uIsotopes les plus stables : 16O stable avec huit neutrons (99,762 %), 17O stable avec 9 neutrons (0,038 %), 18O stable avec dix neutrons (0,2 %)Série : non-métauxGroupe, période, bloc : 16, 2, pDensité : 0,00143Point de fusion : -218,79 °CPoint d’ébullition : -182,95 °C
Historique de l’oxygène
L’oxygène a été découvert indépendamment par Scheele en 1772 et Priestley en 1774. Son nom lui a été donné par Lavoisier en 1777, à partir du grec « oxus », « acide ».
Propriétés de l’oxygène
Dans les conditions normales de température et de pression, l'oxygène est un gaz inodore et incolore. C'est également le plus paramagnétique des gaz. L'oxygène liquide, quant à lui, est également paramagnétique.
L'oxygène est un élément capital pour le vivant car il est au centre de la respiration de nombreux êtres vivants. Il participe également aux processus de combustion. L'oxygène est l'élément le plus abondant dans la croûte terrestre et un cinquième de l'atmosphère terrestre est composé d'oxygène sous forme de gaz diatomique, O2, mais aussi, à l'état de traces, sous forme d'ozone O3.
L'une des principales particularités de l'oxygène est de former des oxydes avec presque tous les autres éléments, à l'exception de l'hélium, du néon, de l'argon et du krypton.
Utilisation de l’oxygène
Il est possible d'isoler l'oxygène de l'air par distillation ou par liquéfaction fractionnée. On emploie l'oxygène principalement dans la fabrication des métaux, notamment l'acier, ainsi que de produits chimiques qui nécessitent une oxydation. La propulsion des fusées est une autre application majeure.
Effets de l’oxygène pur sur la santé
 La respiration de l'oxygène concentré de 50 à 100 % à pression normale par périodes prolongées peut endommager le poumon. Un suivi est nécessaire pour s’assurer du bon fonctionnement des poumons dans les professions où l’exposition à de l’oxygène pur est fréquente.

Oxygène

Avec notamment l’état solide et l’état gazeux, l’état liquide fait partie des différents états de la matière. Dans l’état liquide, ions, atomes ou molécules sont faiblement liés les uns aux autres. De quoi rendre la matière facilement déformable. Toutefois, les atomes d’un liquide restent liés et ne peuvent pas s’éloigner à volonté les uns des autres.
Différence entre état liquide et état gazeux
À l'échelle microscopique, l’état liquide possède une cohésion que ne présente pas l’état gazeux. La proximité entre les atomes de liquide fait également que, comme pour les solides, celui-ci reste difficilement compressible.
Différence entre état liquide et état solide
À l'échelle macroscopique, un liquide ne présente pas de forme propre et ne peut pas être saisi, à la différence d'un solide. C’est un fluide qui s’adapte à la forme du récipient dans lequel il est placé. Transvasé dans un autre récipient, un liquide conserve tout de même son volume. Un liquide possède donc bien un volume propre. Au repos, la surface libre d’un liquide est plane et horizontale.
La viscosité d'un liquide
La viscosité est l’une des caractéristiques essentielles d’un liquide. Elle rend compte de l’attachement des atomes entre eux. Plus sa viscosité est grande, plus un liquide résiste à un corps qui voudrait le traverser.

Liquide

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

Lanceur

3582_un-des-quatre-concepts-de-lanceur-de-nouvelle-generation

Concept de [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] bi-&eacute;tage d&eacute;nomm&eacute; HH (propulsion cryog&eacute;nique d'[popupdefinition id=798]Oxyg&egrave;ne[/popupdefinition] [popupdefinition id=15334]liquide[/popupdefinition]/ [popupdefinition id=14495]Hydrog&egrave;ne[/popupdefinition] liquide pour l'&eacute;tage principal et l'&eacute;tage sup&eacute;rieur). Dans cette configuration, le moteur principal est un moteur de tr&egrave;s forte pouss&eacute;e (HTE: High Thrust Engine) bas&eacute; sur la technologie [popupdefinition id=10705]g&eacute;n&eacute;rateur[/popupdefinition] de [popupdefinition id=15336]gaz[/popupdefinition] identique &agrave; Vulcain II.Cr&eacute;dits Astrium / Esa

Un générateur électrique convertit l'énergie mécanique en énergie électrique en utilisant le principe de l'induction électromagnétique découvert par Michael Faraday en 1831. Cette énergie électrique peut ensuite être utilisée pour alimenter une grande variété d'appareils et de systèmes. Le fonctionnement d'un générateur électrique repose sur des principes physiques tels que l'électromagnétisme, la mécanique et la thermodynamique. Historique et découverte du générateur électriqueL'histoire du générateur électrique remonte au XIXe siècle, lorsque les scientifiques et les inventeurs ont commencé à étudier les phénomènes électriques et magnétiques. Voici quelques-unes des étapes clés de la découverte et du développement du générateur électrique :1820 : Hans Christian Ørsted, un physicien danois, découvre que les courants électriques produisent des champs magnétiques. Cette découverte a ouvert la voie à l'étude de l'électromagnétisme.1831 : Michael Faraday, un scientifique britannique, découvre le principe de l'induction électromagnétique. Il a constaté que lorsqu'un aimant est déplacé à travers une bobine de fil, un courant électrique est produit dans le fil. Cette découverte a été la base du développement du générateur électrique.1832 : Hippolyte Pixii, un fabricant d'instruments français, construit la première dynamo, un type de générateur électrique qui utilise un aimant permanent pour produire un courant électrique.1866 : Werner von Siemens, un ingénieur allemand, construit le premier générateur électrique à courant alternatif.1870 : Zenobe Gramme, un ingénieur belge, invente le générateur électrique à courant continu, qui est plus efficace que la dynamo de Pixii.1882 : Thomas Edison, un inventeur américain, construit la première centrale électrique à New York, qui utilise des générateurs électriques pour produire de l'électricité pour l'éclairage public.1887 : Nikola Tesla, un ingénieur serbo-américain, invente le moteur à induction à courant alternatif, qui est plus efficace que le moteur à courant continu de Gramme.Un générateur de courant multipolaire direct, 1920. © Oz, Domaine public, Wikimedia CommonsPrincipe de fonctionnement du générateur électrique Le principe de fonctionnement d'un générateur électrique repose sur l'induction électromagnétique, découverte par Michael Faraday. Il s'agit de la production d'un courant électrique dans un conducteur lorsque celui-ci est soumis à un champ magnétique variable.Voici les étapes de base du fonctionnement d'un générateur électrique :Une source d'énergie mécanique, telle qu'un moteur, une turbine ou une éolienne, fait tourner le rotor du générateur. Ce rotor est constitué d'aimants permanents ou d'électroaimants qui créent un champ magnétique lorsqu'ils sont en mouvement. Le stator, qui est la partie fixe du générateur, est constitué de bobines de fil conducteur enroulées autour d'un noyau en fer doux. Lorsque le rotor tourne, le champ magnétique qu'il crée traverse les bobines du stator. Ce champ magnétique variable induit alors un courant électrique alternatif dans les bobines, grâce à l'effet d'induction électromagnétique.Le courant électrique produit dans les bobines est ensuite acheminé vers une charge, telle qu'un appareil électrique, grâce à des câbles de sortie. Selon les besoins, le courant électrique alternatif produit par le générateur peut être transformé en courant continu grâce à un redresseur, ou sa tension peut être ajustée grâce à un transformateur.À quoi sert un générateur électrique ? Aujourd'hui, les générateurs électriques sont utilisés dans de nombreuses applications, allant de la production d'électricité dans les centrales électriques à l'alimentation de secours en cas de panne de courant. Un générateur électrique est un équipement essentiel pour fournir de l'électricité dans les situations où l'accès au réseau électrique est limité ou indisponible, ou pour fournir une alimentation de secours en cas de panne de courant. Il peut être utilisé dans diverses applications, notamment :alimentation de secours : en cas de panne de courant, un générateur électrique peut fournir de l'électricité d'urgence aux bâtiments, aux maisons et aux entreprises ;applications industrielles : les générateurs électriques sont utilisés dans de nombreuses industries pour alimenter des machines, des équipements et des processus ;événements en plein air : les générateurs électriques sont souvent utilisés pour fournir de l'électricité aux événements en plein air, tels que les concerts, les festivals et les marchés ;systèmes d'alimentation électrique autonomes : les générateurs électriques peuvent être utilisés pour fournir de l'électricité aux bâtiments, aux maisons et aux communautés qui ne sont pas connectés au réseau électrique ;énergie renouvelable : les générateurs électriques peuvent être utilisés dans les systèmes d'énergie renouvelable, tels que les éoliennes et les panneaux solaires, pour convertir l'énergie renouvelable en électricité.Ici, un générateur électrique américain de la General Electric. © Joe Mabel, CC BY-SA 3.0, Wikimedia CommonsLes différents types de générateur électriqueIl existe plusieurs types de générateurs électriques, chacun ayant des caractéristiques et des applications différentes. Voici une liste des principaux types de générateurs électriques :Générateurs électrochimiquesCes générateurs utilisent des réactions chimiques pour produire de l'électricité. Les piles et les batteries sont des exemples courants de générateurs électrochimiques. Ils se composent de deux électrodes, une anode et une cathode, séparées par un électrolyte. Lorsque les électrodes sont connectées à un circuit électrique, les réactions chimiques libèrent des électrons qui se déplacent à travers le circuit pour fournir de l'électricité. Ils sont largement utilisés dans les appareils électroniques portables, les véhicules électriques et les systèmes de stockage d'énergie renouvelable.Générateurs électromagnétiquesCes générateurs convertissent l'énergie mécanique en énergie électrique en utilisant le principe d'induction électromagnétique. Ils sont couramment utilisés dans les centrales électriques pour produire de l'électricité à grande échelle à partir de sources d'énergie telles que le charbon, le gaz naturel, l'énergie nucléaire, l'énergie hydraulique et l'énergie éolienne. Ils sont également utilisés dans les moteurs électriques, les alternateurs de voiture et d'autres applications où une source d'énergie mécanique est disponible pour produire de l'électricité.Générateurs électrostatiquesCes dispositifs produisent de l'électricité à partir de l'accumulation de charges électriques statiques. Ils se composent d'un dispositif de génération de charge, tel qu'un frottement ou une induction, et d'un dispositif de collecte de charge, tel qu'une plaque ou un cylindre. Ils sont couramment utilisés dans les équipements de traitement électrostatique, les équipements de mesure de la charge électrostatique et les démonstrations scientifiques.Générateurs thermoélectriquesCes générateurs utilisent l'effet thermoélectrique pour convertir directement la chaleur en électricité. Ils sont principalement utilisés dans les applications où une source de chaleur est disponible, comme les centrales électriques à combustible fossile, les centrales nucléaires et les véhicules spatiaux.Générateurs piézoélectriquesCes générateurs utilisent l'effet piézoélectrique pour convertir l'énergie mécanique en électricité. Ils sont principalement utilisés dans les applications où une source de vibration ou de pression est disponible, comme les capteurs de pression, les montres à quartz et les récupérateurs d'énergie cinétique.Générateurs à aimant permanentCes générateurs utilisent des aimants permanents pour produire de l'électricité. Ils sont principalement utilisés dans les applications où une source de mouvement rotatif est disponible, comme les éoliennes, les turbines hydrauliques et les vélos électriques.Générateurs à piles à combustibleCes générateurs utilisent des piles à combustible pour convertir directement l'énergie chimique en électricité. Ils sont principalement utilisés dans les applications où une source de carburant est disponible, comme les véhicules électriques à hydrogène et les centrales électriques à hydrogène. 

Générateur

Un gaz est un état de la matière, tout comme les états solide et liquide. Dans l'état gazeux, les particules de matière qui composent un gaz (atomes, molécules ou ions) sont très éloignées les unes des autres et sont en mouvement constant et rapide. Ce mouvement dans toutes les directions et ces grandes distances entre les particules font que les gaz sont hautement compressibles et qu'ils prennent la forme et le volume du contenant dans lequel ils se trouvent.Bloc "Le saviez-vous ?"Les gaz n'ont donc ni forme ni volume définis et se dilatent pour remplir leur contenant. Ils sont facilement compressibles et ont une faible résistance à la déformation. Les exemples courants de gaz comprennent l'air que nous respirons, qui est un mélange de plusieurs gaz comme l'oxygène, l'azote et le dioxyde de carbone, ainsi que le gaz naturel, l'hélium et la vapeur d'eau.Les caractéristiques des gazLes gaz sont caractérisés par une faible densité, une compressibilité élevée, une tendance à se dilater et à occuper tout l'espace disponible, une pression qui est le résultat des collisions des particules avec les parois du contenant, une diffusion rapide et une énergie cinétique élevée des particules.Voici quelques-unes des principales caractéristiques des gaz :faible densité : les gaz ont une faible densité en raison des grandes distances entre les particules qui les composent. Cela signifie que les gaz ont une masse par unité de volume plus faible que les solides et les liquides ;compressibilité : les gaz sont hautement compressibles en raison des grandes distances entre les particules. Cela signifie que la densité d'un gaz peut être augmentée en réduisant le volume qu'il occupe, par exemple en le comprimant dans un récipient ;expansion : les gaz ont tendance à se dilater et à occuper tout l'espace disponible dans un contenant. Cela est dû au mouvement constant et rapide des particules qui les composent ;pression : les gaz exercent une pression sur les parois du contenant dans lequel ils se trouvent. Cela est dû aux collisions des particules avec les parois du contenant. La pression d'un gaz est directement proportionnelle à sa température et à sa densité ;diffusion : les gaz ont tendance à se mélanger et à se répandre uniformément dans un espace donné. Cela est dû au mouvement aléatoire et rapide des particules qui les composent ;énergie cinétique élevée : les particules qui composent un gaz ont une énergie cinétique élevée en raison de leur mouvement constant et rapide. La température d'un gaz est une mesure de l'énergie cinétique moyenne de ses particules. Les gaz, comme les liquides, n’ont pas ni volume ni forme propres, ce qui les rend compressibles. Ils sont généralement miscibles entre eux. © SaroStock, Adobe StockAutres propriétés des gazLes gaz sont généralement miscibles entre eux, ce qui signifie qu'ils peuvent se mélanger dans toutes proportions pour former un mélange homogène.Voici quelques exemples de gaz qui sont miscibles entre eux et forment un mélange homogène :Oxygène et azote : l'air que nous respirons est un mélange d'environ 21 % d'oxygène et 78 % d'azote.Hydrogène et oxygène : l'hydrogène et l'oxygène sont des gaz qui réagissent ensemble pour former de l'eau. Cependant, avant la réaction, ils sont complètement miscibles et peuvent former un mélange explosif.Dioxyde de carbone et oxygène : le dioxyde de carbone et l'oxygène sont des gaz qui se trouvent dans l'atmosphère terrestre.Hélium et azote : l'hélium et l'azote sont des gaz qui sont souvent utilisés pour gonfler des ballons.Méthane et hydrogène : le méthane et l'hydrogène sont des gaz qui sont souvent utilisés comme carburants.Un gaz peut se dissoudre dans un liquide, comme le fait par exemple l’oxygène dans le sang. Cependant, il existe également des gaz qui ne sont pas complètement miscibles, comme le dioxyde de soufre et l'air, ou le chlore et l'hydrogène. Dans ces cas, les gaz peuvent former des mélanges hétérogènes ou réagir ensemble pour former des composés différents.Les différents types de gazIl existe de nombreux types de gaz, chacun avec ses propres propriétés et utilisations. Voici quelques-uns des types de gaz les plus courants :Gaz noblesLes gaz nobles, également appelés gaz rares, sont un groupe de six éléments chimiques qui se trouvent dans la colonne de droite du tableau périodique dans le groupe 18 du tableau périodique. Ils comprennent l'hélium (He), le néon (Ne), l'argon (Ar), le krypton (Kr), le xénon (Xe) et le radon (Rn). Les gaz nobles sont très stables et ont peu tendance à réagir chimiquement avec d'autres éléments. Ils sont tous des gaz à température et pression ambiantes, sauf le radon qui est radioactif et se trouve à l'état de trace dans l'air.Les gaz rares sont présents dans l'atmosphère terrestre en faibles quantités. L'argon est le gaz rare le plus abondant dans l'air, représentant environ 0,93 % du volume total. L'hélium est le deuxième gaz rare le plus abondant, mais il est beaucoup plus rare que l'argon, représentant environ 0,0005 % du volume total de l'air. Les autres gaz rares sont encore plus rares dans l'atmosphère. Les gaz rares sont également présents dans le sol et les roches, mais en quantités beaucoup plus faibles que dans l'atmosphère. Le radon, par exemple, est un gaz rare qui est produit par la désintégration radioactive de l'uranium et du radium dans le sol et les roches.Les gaz rares ont de nombreuses utilisations dans l'industrie, la science et la technologie. L'hélium est utilisé pour gonfler des ballons et des dirigeables, ainsi que pour la réfrigération et la soudure. L'argon est utilisé pour la production de puces électroniques et pour la soudure. Le krypton et le xénon sont utilisés dans les lampes à décharge pour produire de la lumière vive et colorée. Le radon est utilisé dans certains types de traitements contre le cancer.Gaz diatomiquesLes gaz diatomiques sont des molécules composées de deux atomes identiques ou différents. Les exemples courants de gaz diatomiques comprennent l'oxygène (O2), l'azote (N2), l'hydrogène (H2) et le monoxyde de carbone (CO).Gaz polyatomiquesLes gaz polyatomiques sont des molécules composées de trois atomes ou plus. Les exemples courants de gaz polyatomiques comprennent le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'ozone (O3) et le sulfure d'hydrogène (H2S).Gaz combustiblesLes gaz combustibles sont des gaz qui peuvent brûler ou exploser lorsqu'ils sont mélangés avec de l'air ou d'autres gaz oxydants. Les exemples courants de gaz combustibles comprennent le méthane, le propane, le butane et l'hydrogène.Gaz inertesLes gaz inertes sont des gaz qui ne réagissent pas chimiquement avec d'autres substances. Les gaz nobles sont des exemples de gaz inertes, mais il existe également d'autres gaz inertes tels que le dioxyde de carbone et l'azote.Gaz toxiquesLes gaz toxiques sont des gaz qui peuvent causer des dommages ou la mort aux êtres vivants. Les exemples courants de gaz toxiques comprennent le monoxyde de carbone, le chlore, le cyanure d'hydrogène et le phosgène.Quels sont les gaz les plus courants ?Il existe de nombreux gaz courants qui sont utilisés dans une variété d'applications, notamment :Oxygène (O2) : l'oxygène est un gaz incolore et inodore qui est essentiel à la vie. Il est utilisé dans les hôpitaux pour aider les patients à respirer, dans l'industrie pour la combustion et l'oxydation, et dans les systèmes de soutien de la vie pour les plongeurs et les astronautes.Azote (N2) : l'azote est un gaz incolore et inodore qui représente environ 78 % de l'atmosphère terrestre. Il est utilisé dans l'industrie pour la production d'engrais, la conservation des aliments et la fabrication de produits chimiques.Dioxyde de carbone (CO2) : le dioxyde de carbone est un gaz incolore et inodore qui est produit par la respiration et la combustion. Il est utilisé dans l'industrie pour la production de boissons gazeuses, la conservation des aliments et la fabrication de produits chimiques.Hydrogène (H2) : l'hydrogène est un gaz léger et hautement inflammable qui est utilisé dans l'industrie pour la production d'ammoniac, de méthanol et d'autres produits chimiques. Il est également utilisé comme carburant pour les piles à combustible et les fusées.Hélium (He) : l'hélium est un gaz léger et inerte qui est utilisé dans l'industrie pour la soudure, la réfrigération et la production de ballons et de dirigeables.Méthane (CH4) : le méthane est un gaz incolore et inodore qui est le principal composant du gaz naturel. Il est utilisé comme carburant pour la production d'électricité, le chauffage et la cuisson.Propane (C3H8) : le propane est un gaz liquéfié sous pression qui est utilisé comme carburant pour les véhicules, les barbecues et les chauffe-eau.Butane (C4H10) : le butane est un gaz liquéfié sous pression qui est utilisé comme carburant pour les briquets et les réchauds de camping.Ces gaz courants sont utilisés dans une variété d'applications, allant de la production d'énergie à la conservation des aliments en passant par la production de produits chimiques.Qu'appelle-t-on un gaz parfait ?Un gaz parfait, également appelé gaz idéal, est un modèle théorique de gaz qui obéit à des lois simples et qui permet de faire des prédictions sur le comportement des gaz réels dans certaines conditions. Bien que le modèle de gaz parfait soit une approximation, il permet de faire des prédictions précises sur le comportement des gaz réels dans des conditions de pression et de température modérées. Cependant, dans des conditions extrêmes (basses températures, hautes pressions), les gaz réels peuvent présenter des écarts importants par rapport au comportement prédit par le modèle de gaz parfait.Les gaz à effet de serre Les gaz à effet de serre (GES) sont des gaz présents dans l'atmosphère terrestre qui absorbent et émettent des rayonnements infrarouges, ce qui contribue à l'effet de serre et au réchauffement climatique.La nature des gaz à effet de serre est diverse, mais ils ont tous en commun la capacité d'absorber et d'émettre des rayonnements infrarouges. Les principaux gaz à effet de serre sont :Dioxyde de carbone (CO2) : le CO2 est le principal gaz à effet de serre d'origine anthropique, c'est-à-dire résultant des activités humaines telles que la combustion de combustibles fossiles, la déforestation et l'agriculture. Le CO2 est également produit naturellement par la respiration des êtres vivants et les éruptions volcaniques.Méthane (CH4) : le méthane est un gaz à effet de serre puissant, avec un potentiel de réchauffement global environ 25 fois supérieur à celui du CO2 sur une période de 100 ans. Le CH4 est produit naturellement par la décomposition de matières organiques dans les zones humides, les rizières et les intestins des animaux. Les activités humaines telles que l'élevage, la production de déchets et l'exploitation de combustibles fossiles contribuent également à l'émission de CH4.Protoxyde d'azote (N2O) : le protoxyde d'azote est un gaz à effet de serre puissant, avec un potentiel de réchauffement global environ 300 fois supérieur à celui du CO2 sur une période de 100 ans. Le N2O est produit naturellement par la décomposition de matières organiques et les processus microbiens dans les sols. Les activités humaines telles que l'agriculture, la production de déchets et la combustion de combustibles fossiles contribuent également à l'émission de N2O.Ozone (O3) : l'ozone est un gaz à effet de serre présent naturellement dans la stratosphère, où il protège la Terre des rayonnements ultraviolets nocifs. Cependant, l'ozone troposphérique, qui est produit par la réaction chimique entre les oxydes d'azote et les composés organiques volatils en présence de lumière solaire, est un polluant et un gaz à effet de serre.Chlorofluorocarbures (CFC) et hydrochlorofluorocarbures (HCFC) : les CFC et les HCFC sont des gaz à effet de serre puissants qui ont été utilisés dans le passé comme réfrigérants, propulseurs pour les aérosols et agents d'expansion pour les mousses isolantes. Ils ont été interdits dans de nombreux pays en raison de leur impact sur la couche d'ozone stratosphérique et leur contribution au réchauffement climatique.

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

Élément le plus léger dans l’univers et premier élément dans le tableau périodique, l’hydrogène est aussi le plus abondant, constituant les étoiles comme les nuages moléculaires. Il compose aussi l’une des molécules vitales pour la vie : l’eau.
Généralités
Symbole : H Numéro atomique : 1Électrons par niveau d’énergie : 1Masse atomique : 1,008 uIsotopes les plus stables : 1H stable avec 0 neutron (99,985 %), 2H (deutérium) stable avec 1 neutron (0,015 %)Série : non-métauxGroupe, période, bloc : 1, 1, sDensité : 0,00009, 0,07 (liquide et solide) Point de fusion : -259,14 °C (dihydrogène)Point d’ébullition : -252,8 °C (dihydrogène)
Historique de l’hydrogène
En 1671, Robert Boyle décrivit la réaction entre le fer et des acides dilués, qui produit du dihydrogène. La substance sera appelée « air inflammable » par Cavendish en 1766, à qui on attribue également la découverte de l'hydrogène en tant qu'élément. Lavoisier fixa le nom « hydrogène » en 1783, de « hydro », « eau », et « gène », « engendrer ».
 L’hydrogène et l’oxygène sont beaucoup utilisés dans les moteurs-fusées à propergols liquides. © Nasa, DP
Propriétés de l’hydrogène
Le dihydrogène se présente comme un gaz transparent aux conditions normales de température et de pression. De nombreux métaux ont la propriété d'absorber l'hydrogène, ce qui peut les rendre cassants, pour l'acier notamment.
La plupart du temps, l'hydrogène est présent sous forme diatomique mais il peut exister en atomes seuls à haute température. C'est un puissant agent réducteur. Il réduit notamment certains sels pour former leur état métallique (NaH, KH, H2S, etc.). L'hydrogène atomique produit en outre avec l'oxygène du peroxyde, H2O2.
En réagissant avec l'oxygène, l'hydrogène peut donner de l'eau au cours d'une réaction très lente à température ambiante mais qui peut devenir violente si elle est réalisée avec un catalyseur.
Utilisation de l’hydrogène
L’une des principales applications de l’hydrogène consiste en la production d’ammoniac et de nombreux composés organiques. 
L’hydrogène a été largement utilisé comme gaz pour gonfler les dirigeables, jusqu’à l’accident du Hindenburg en 1937, puis remplacé par l’hélium. Deux isotopes de l’hydrogène, le deutérium 2H et le tritium 3H, sont utilisés pour les expériences de fusion nucléaire, un noyau de chaque donnant un noyau d’hélium et un neutron. L'hydrogène est également employé dans les bombes à hydrogène ou bombes H, l'élément fusionnant là aussi pour donner de l'hélium.
Dans les moteurs-fusées à propergols liquides, le dihydrogène et le dioxygène liquides sont employés comme ergols cryotechniques. L’hydrogène est également pressenti comme un carburant du futur, notamment dans les piles à combustible.
Risques de l’hydrogène sur la santé
L’hydrogène est extrêmement inflammable et produit des composés qui le sont eux aussi. Leur simple chauffage peut provoquer de violentes explosions.

Hydrogène

3583_un-des-quatre-concepts-de-lanceur-de-nouvelle-generation

Concept de [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] &agrave; deux &eacute;tages d&eacute;nomm&eacute; HH (propulsion cryog&eacute;nique d'[popupdefinition id=798]Oxyg&egrave;ne[/popupdefinition] [popupdefinition id=15334]liquide[/popupdefinition]/ [popupdefinition id=14495]Hydrog&egrave;ne[/popupdefinition] liquide pour l'&eacute;tage principal et l'&eacute;tage sup&eacute;rieur). Dans cette configuration, le moteur principal est un moteur de tr&egrave;s forte pouss&eacute;e (HTE: High Thrust Engine) bas&eacute; sur la technologie de [popupdefinition id=3790]combustion[/popupdefinition] &eacute;tag&eacute;e plus performante mais non encore op&eacute;rationnelle en Europe.Cr&eacute;dits Astrium / Esa

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

La combustion est une réaction chimique d’oxydoréduction entre un combustible et un comburant (le plus souvent, le comburant est le dioxygène de l’air).
Chaleur : la combustion, une réaction exothermique
Le combustible est oxydé et le comburant est réduit. Cette réaction produit de la chaleur. On dit qu’elle est exothermique. Lorsqu’elle est vive, il y a formation d’une flamme voire explosion si la vitesse du front de flamme vient à dépasser la vitesse du son.
Lorsque la combustion est complète, la totalité du carburant est consommée et la quantité d’énergie maximale est produite.
Combustibles et pouvoirs calorifiques
Le terme « pouvoir calorifique » est employé pour décrire l’énergie qui peut être obtenue par la combustion d’un kilogramme de combustible. Ainsi, par exemple, le pouvoir calorifique moyen du bois est de 15 mégajoules par kilogramme et celui de l’essence de 47,3 mégajoules par kilogramme.
Cette énergie est concentrée dans l’eau dégagée par la réaction sous forme de vapeur. Lorsque le carburant (combustible fournissant l'énergie d'un moteur thermique) est un hydrocarbure, il y a également dégagement de dioxyde de carbone (CO2). Si la combustion est incomplète, c'est-à-dire lorsque l’alimentation en oxygène est insuffisante, il peut y avoir production d’imbrûlés (des suies qui encrassent la chaudière) ou de composés organiques volatils (COV) et, plus grave encore, d’éléments partiellement oxydés comme le monoxyde de carbone (CO), un gaz extrêmement dangereux pour l’Homme.
Combustion de bois, de charbon, de gaz, de pétrole…
Nous faisons quotidiennement appel à des réactions de combustion. Lorsque nous allumons un feu de cheminée, bien sûr, mais aussi lorsque nous nous déplaçons en voiture ou lorsque nous faisons cuire des aliments. Dans les centrales thermiques, la combustion de charbon, de gaz ou de pétrole est utilisée pour produire de l’électricité. La combustion sert également dans l’industrie métallurgique et à la production de ciment, par exemple.

Combustion

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Ce concept est le seul [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] &agrave; trois &eacute;tages &agrave; l'&eacute;tude. D&eacute;nomm&eacute; PPH (propulsion&nbsp;[popupdefinition id=15332]solide[/popupdefinition] pour l'&eacute;tage principal et le 2&egrave;me &eacute;tage) il utilisera pour l'&eacute;tage sup&eacute;rieur un moteur cryog&eacute;nique d&eacute;riv&eacute; du moteur VINCI d&eacute;velopp&eacute; dans le cadre du programme [popupdefinition id=1677]A5[/popupdefinition] ME.Cr&eacute;dits Astrium / Esa

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

Avec notamment l’état liquide et l’état gazeux, l’état solide est l’un des états de la matière. Dans l’état solide, ions, atomes ou molécules sont fortement liés les un(e)s aux autres et ne disposent que de très peu de liberté de mouvement.
Cristaux et solides amorphes
À l’échelle macroscopique, un solide présente une forme et un volume déterminés. Ceux-ci ne peuvent varier que si une force d’une intensité suffisamment élevée est appliquée au solide.
À l’échelle microscopique, on distingue :
les cristaux dans lesquels les atomes sont ordonnés et disposés de façon régulière ;les solides amorphes dans lesquels il ne règne pas un tel ordre.
Les liaisons fortes des solides
Parmi les liaisons qui maintiennent les atomes d’un solide ensemble, on peut citer les liaisons covalentes. Généralement, l’existence de ce type de liaison conduit à des solides particulièrement durs, comme le diamant.
On peut parler également des liaisons ioniques qui interviennent entre des ions de charges opposées. Elles assurent, par exemple, la cohésion d’un grain de sel.
État solide de l'eau
Les liaisons métalliques rendent les solides plus malléables, les liaisons hydrogène permettent d’atteindre l’état solide à faible température (eau-glace) et les liaisons de Van der Waals rendent la matière solide à très basse température.

Solide

Algorithme cryptographique secret utilisé dans les téléphones cellulaires européens.

3585_un-des-quatre-concepts-de-lanceur-de-nouvelle-generation

En [popupdefinition id=15841]mati&egrave;re[/popupdefinition] de [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] du futur, le profil a&eacute;rodynamique est &eacute;galement &eacute;tudi&eacute;. Aujourd'hui, tous les lanceurs en ligne se ressemble. Il n'est pas exclut qu'un lanceur au design 'original' voit le jour.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Concept enivsgé en 2008, abandonné depuis

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

On désigne par le terme de matière tout ce qui compose les corps qui nous entourent, tout ce qui a une masse et un volume. Cette définition englobe une variété de composants et de caractéristiques, donnant naissance à des catégories spécifiques qui enrichissent notre compréhension de la matière dans son ensemble.Matière organique, matière azotée, etc.Il existe différentes familles de matière, chacune apportant sa propre contribution à la diversité de notre univers physique :
La matière organique, présente dans les êtres vivants (animaux ou végétaux) ou sous forme décomposée, joue un rôle crucial dans les cycles biogéochimiques et la régulation de la vie sur Terre. Son étude est essentielle pour comprendre les processus biologiques et écologiques.
La matière azotée, issue des transformations de l'azote, constitue un élément fondamental dans la composition de nombreux composés chimiques. Son importance s'étend aux domaines de l'agriculture, de la chimie et de la biologie, où l'azote participe à des réactions vitales pour la croissance des plantes et la synthèse de molécules complexes.
Les états de la matièreDans la vie de tous les jours, nous avons affaire à trois états de la matière, chacun caractérisé par des propriétés distinctes :
L'état solide, où les particules sont étroitement liées et organisées, conférant une structure rigide à la matière.
L'état liquide, où les particules sont mobiles mais conservent une cohésion suffisante pour maintenir le volume de la substance.
L'état gazeux, où les particules sont dispersées et se déplacent librement, occupant tout l'espace disponible.
La chimie, en tant que science, explore ces états ainsi que la composition et les transformations de la matière, nous permettant de comprendre les bases moléculaires du monde qui nous entoure.Matière baryonique et non baryonique : la matière sombreAu-delà de la matière ordinaire que nous connaissons, il existe une classification fascinante :
La matière baryonique, constituée de baryons tels que le proton et le neutron, forme la matière ordinaire que nous côtoyons au quotidien. Elle compose les atomes qui forment la structure de notre réalité tangible.
La matière non baryonique, comme la mystérieuse matière sombre, suscite l'intérêt de la cosmologie. Supposée être composée de particules exotiques ne faisant pas partie de notre compréhension conventionnelle, la matière sombre joue un rôle crucial dans la formation et la structure de l'Univers.
Antimatière et antiparticulesUn aspect intrigant de la matière est l'existence de son opposé :L'antimatière, rare en quantité, est constituée d'antiparticules présentant des charges opposées à celles des particules ordinaires. Si les antiparticules entrent en contact avec des particules de matière, elles peuvent s'annihiler mutuellement. Cette dualité entre matière et antimatière soulève des questions fondamentales sur la nature symétrique de l'univers et les mystères de l'origine cosmique.

Matière

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Parmi les solutions envisag&eacute;es pour faire &eacute;voluer [popupdefinition id=3455]Ariane 5[/popupdefinition] vers un [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] encore plus performant, celle utilisant des [popupdefinition id=3598]boosters[/popupdefinition] d'appoint plus puissants que les actuels [popupdefinition id=3457]EAP[/popupdefinition] d'Ariane 5 est fr&eacute;quemment avanc&eacute;e.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Ebauche de lanceur du futur

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

L'Etage d'Accélération à Poudre fonctionne avec deux propulseurs solides, faisant chacun plus de 30 mètres de haut avec 237, 8 tonnes métriques de propergol. 
Les propulseurs sont allumés sur la zone de lancement une fois que le moteur Vulcain de l'Etage Principal Cryogénique a stabilisé sa puissance de propulsion. 
Les moteurs de propulsion fournissent plus de 90 pour cent de la propulsion totale du lanceur en début de vol. Ils mettent 130 secondes à se consumer après quoi ils sont détachés puis jetés en un point précis de l'océan. 
Le moteur de propulsion solide est composé de trois segments : le segment arrière (inférieur) de 11,1 mètres de long qui est chargé de 106,7 tonnes métriques de propergol ; le segment central d'une longueur de 10,17 mètres et contenant 107, 4 tonnes métriques de propergol ; et le segment avant (supérieur), chargé de 23,4 tonnes métriques de propergol. 
Le propergol utilisé pour les propulseurs solides contient 68 % d'ammonium perchlorate (oxydant), 18 % d'aluminium (carburant) et 14 % de polybutadiène (relieur). 
Le processus de combustion est initié par un appareil pyrotechnique, et le propergol solide brûle à la vélocité du radium (à partir de la face centrale externe) qui est d'environ 7,4 mm/sec. 
Le contrôle du vol est effectué par la tuyère mobile des propulseurs qui est dirigée par des servocommandes hydrauliques.

Etage d'Accélération à Poudre

Aussi appelé Etage d'accélération à poudre. Moteur à propergol solide ou liquide à très forte poussée fonctionnant en parallèle du moteur principal d'un moteur fusée pendant les premières minutes du décollage.
Ex : ils sont utilisé en deux ou quatre exemplaires sur certains lanceurs Ariane.

Booster

Ariane 5 est un lanceur composé d'un corps central monoétage pourvu de deux accélérateurs à poudre et d'un étage supérieur.
Cette architecture, bâtie autour d'un étage principal cryotechnique, allie simplicité et robustesse avec un nombre d'éléments propulsifs limité, tout en offrant un important potentiel évolutif, notamment au niveau des parties hautes.
Le moteur Vulcain
Le moteur Vulcain est l'élément propulsif de l'EPC. Il délivre jusqu'à 116 tonnes de poussée dans le vide. Sa mise à feu 7 secondes avant le décollage permet de contrôler sa parfaite montée et sa stabilisation en puissance.
Les étages accélérateurs à poudre (EAP) 
Les deux accélérateurs à poudre ont pour mission d'arracher les 725 tonnes du lanceur à la table de lancement avec une accélération de 0,5 G au décollage. 
D'une hauteur de plus de 30 m, les EAP sont chargés chacun de 237 tonnes de propergol solide. Ils délivrent une poussée combinée de 1370 tonnes au décollage, soit plus de 90% de la poussée totale du lanceur à ce moment.
Leur durée totale de fonctionnement est de 130 secondes avec une poussée moyenne de 1000 tonnes avant leur largage vers 70 km d'altitude. Ils retombent dans une zone contrôlée de l'Océan Atlantique et sont le cas échéant, récupérés pour expertise.
L'étage à propergol stockable (EPS)
L'EPS est l'étage supérieur destiné à propulser la charge utile d'Ariane 5 vers son orbite finale et assurer une injection orbitale de précision. Il emporte pour cela 9,7 tonnes d'ergols stockables qui alimentent son moteur Aestus, de 3 tonnes de poussée, par simple pressurisation des réservoirs. 
Légende de l'image
1. Coiffe2. Adaptateurs de charges utiles3. Speltra et Sylda 54. Case à équipements5. L'Etage Supérieur à Propergols Stockables6. Etage Principal Cryogénique7. Moteur à Propergol Solide8. Propulseurs à Propergol Solide 9. Système de Propulsion Vulcain

Ariane 5

3587_ebauche-de-lanceur-du-futur

Les concepts de [popupdefinition id=2059]lanceurs[/popupdefinition] partiellement ou totalement r&eacute;utilisables ont &eacute;t&eacute; abandonn&eacute;s. Les sauts technologiques &agrave; franchir sont trop importants.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Lanceur partiellement réutilisable - Photos Futura

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou...

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consist...

Lanceur partiellement réutilisable

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Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Concept FLPP abandonné

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
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3589_concept-flpp-abandonne

L'utilisation d'un [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] partiellement r&eacute;utilisable n'est pas envisageable avant plusieurs d&eacute;cennies. Les sauts technologiques &agrave; franchir sont trop importants et la r&eacute;ussite &eacute;conomique est tr&egrave;s al&eacute;atoire.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
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3590_concept-flpp-abandonne

Hopper &eacute;tait un concept de [popupdefinition id=2059]lanceur[/popupdefinition] r&eacute;utilisable sur lequel travaillait Astrium aujourd'hui aandonn&eacute; ou remis&eacute; au fond d'un tiroir. Il &eacute;tait con&ccedil;u pour d&eacute;coller de fa&ccedil;on horizontale et emporter un &eacute;tage sup&eacute;rieur comprenant la charge utile. A une altitude d'environ 130 km, le lanceur se s&eacute;parera de son &eacute;tage sup&eacute;rieur qui acheminera la charge utile vers son [popupdefinition id=873]orbite[/popupdefinition]. En fin de mission, Hopper retourne se poser sur Terre, comme un avion.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

Lanceur réutilisable Hopper

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

Le mot orbite vient du latin orbita qui était employé pour désigner la trace laissée par une roue. Il est utilisé aussi bien en astronomie qu’en anatomie, avec des sens très différents.L’orbite en astronomieCette photo, prise depuis la Station spatiale internationale, en orbite autour de la Terre, représente notre Planète bleue, gravitant elle-même sur une orbite parcourue en une année autour du Soleil, en arrière-plan. © Nasa's Marshall Space Flight Center, Flickr, cc by nc 2.0En astronomie, l’orbite désigne la trajectoire fermée suivie par un corps céleste autour d’un autre corps céleste de manière périodique, sous l’influence de la gravitation et de forces d’inertie. Cette orbite peut être circulaire, elliptique, parabolique ou hyperbolique.Le terme peut être employé pour décrire le mouvement d’une planète tournant autour d’une étoile, comme dans le cas de la Terre et du Soleil. Il est aussi employé lorsqu’il est question de la trajectoire d’un satellite naturel ou artificiel gravitant autour d’une planète, comme dans le cas de la Lune autour de la Terre. Dans le cas d’une orbite centrée sur notre Planète, on parle d’orbite géocentrique, une catégorie dans laquelle se placent aussi l’orbite géosynchrone et l’orbite géostationnaire, par exemple. Les comètes ou les astéroïdes décrivent aussi des orbites autour d’autres astres.Plusieurs paramètres peuvent être utiles à caractériser une orbite. Sa période ou son inclinaison. Son excentricité également. Lorsque celle-ci est nulle, la trajectoire de l’objet en orbite est circulaire.L’orbite en anatomieLe terme orbite est aussi bien employé en astronomie, qu’ici, en anatomie, pour désigner la cavité osseuse dans laquelle repose notamment le globe oculaire. © oka, Adobe StockEn anatomie, l’orbite correspond à la cavité osseuse dans laquelle reposent les yeux et leurs composants (globes oculaires, muscles oculomoteurs, nerf optique, vaisseaux sanguins, etc.). Elle se forme grâce aux prolongements de sept os crâniens. Sur l’avant, la base de l’orbite est large et ouverte, de quelque 40 sur 35 mm. Sur l’arrière, en moyenne 45 mm en profondeur, elle est plus étroite.En tant que cavité osseuse, l’orbite peut être affectée de divers troubles tels que des fractures, des inflammations ou même des tumeurs. La cellulite orbitaire, par exemple, peut se propager à l’orbite à partir des sinus. C’est une infection fréquente chez l’enfant. Elle se caractérise par des douleurs, des gonflements et des rougeurs, des troubles de la vision et de la fièvre, notamment. Elle se soigne par antibiotiques.

Orbite

Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicleChamp lexical : launcher | launch vehicle

3591_lanceur-reutilisable-hopper

Lanceur partiellement r&eacute;utilisable. Le d&eacute;sign des [popupdefinition id=3598]boosters[/popupdefinition] d'appoint laisse &agrave; penser qu'ils sont con&ccedil;us pour &ecirc;tre r&eacute;cup&eacute;rables.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

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Lanceur en ligne qui reprend le principe de la modularit&eacute; mise en oeuvre avec la famille Ariane 4.Cr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

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Lanceur en ligne &agrave; plusieurs &eacute;tagesCr&eacute;dits [popupdefinition id=2466]ESA[/popupdefinition] /C. Vijoux

L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

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L'ESA (European Space Agency) est l'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe. 
L'Agence spatiale européenne représente pour l'Europe une porte d'accès à l'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte que les citoyens européens continuent à bénéficier des investissements réalisés dans le domaine spatial. 
L'ESA compte 18 États membres. En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, elle peut entreprendre des programmes et des activités qui vont largement au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel. 
Que fait l'ESA ?
L'ESA a pour mission d'élaborer le programme spatial européen et de le mener à bien. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. 
Qui fait partie de l'ESA ?
Les 18 États membres de l'ESA sont l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni. La Roumanie deviendra membre de l'ESA en 2011. De plus, la Hongrie, la Pologne, l’Slovénie et l’Estonie sont des États européens coopérant avec l’ESA. Le Canada participe à certains projets de l'ESA au titre d’un accord de coopération. 
Comme il ressort de cette liste, tous les pays membres de l'Union européenne ne sont pas membres de l'ESA et inversement tous les États membres de l'ESA ne sont pas membres de l'UE. L'ESA est une organisation entièrement indépendante bien qu'elle entretienne des relations étroites avec l'UE en vertu d'un accord-cadre conclu entre les deux organisations. L'ESA et l'UE partagent une même stratégie européenne pour l'espace et élaborent ensemble une politique spatiale européenne. 
En 2011, son budget s'est élevé à 4 milliards d'euros. Bien moins que sa consœur la NASA. 
Tout savoir sur l'ESA >Champ lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space AgencyChamp lexical : agence Spatiale Européenne | european Space Agency

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Véhicule propulsé capable d'envoyer une charge utile dans l'espace. Terme principalement utilisé pour les fusées à usage civil. 
En général, un lanceur se compose de plusieurs étages (fusée gigogne ou composite).
Chaque étage comporte :• un ou deux réservoirs (carburant et comburant) ou propulseurs (poudre) ;• un ou plusieurs moteurs (2 ou 4) ;• une ou des jupes (éléments de jonction avec l'étage suivant) ;• des systèmes de séparation.
En outre un lanceur possède :• une case à équipement ;• un adaptateur de charge utile ;• une coiffe, extrémité antérieure largable ;• des empennages, servant à la stabilisation aérodynamique du lanceur ;• des systèmes pyrotechniques ;• des propulseurs d'appoint.Champ lexical : launcher | launch vehicle

Lanceur partiellement réutilisable

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