Né en 1988 en Charente, Maxime Pelletier a commencé à étudier la biologie générale et les sciences de la TerreTerre et de l'UniversUnivers (Licence BGSTU), avant de se spécialiser en PaléontologiePaléontologie et Préhistoire (Master anthropologie biologique et Préhistoire) à l'université Bordeaux 1.

En 2018, il soutient sa thèse de doctorat à l'université d'Aix-Marseille portant sur l'évolution biologique et biogéographique des léporidés (famille regroupant les lapins et les lièvres) sur le pourtour méditerranéen au cours du PléistocènePléistocène. En parallèle, ses recherches sur le terrain l'ont mené à conduire différents travaux en taphonomie, qui consiste, à partir de l'analyse des ossements de léporidés découverts, à reconstituer l'histoire de leur présence dans les sites archéologiques ainsi que leur rôle dans les sociétés préhistoriques.

Maxime Pelletier est actuellement chercheur postdoctorant à l'université d'Oulu en Finlande, où ses recherches portent sur les premières évidences de domesticationdomestication du rennerenne par les Samis dans le nord de la Fennoscandie.