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Continuant sur le même chemin d’Avenir que celui tracé par des médecins précurseurs comme Catherine Kousmine dans les années 1960 ou Jean Seignalet dans les années 1990, qui travaillaient tous les deux sur les relations « Alimentation – Santé », j’ai accepté avec plaisir de faire publier ces quelques pages dans le magazine Internet : « Futura-Sciences ». Cette publication me semble une interface très efficace, entre les nouvelles connaissances quotidiennes, que les chercheurs ne peuvent ou ne savent pas divulguer et le nombre croissant d’internautes. La qualité des informations de ce Web magazine, très réactif, me semble en outre le garant moderne de la Liberté d’acquisition des connaissances par tout un chacun. Il existe bien trop peu de journalistes scientifiques et rien n’est plus intelligent, que de demander au scientifique lui-même de s’exprimer.
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Biographie
Après des études secondaires les plus banales, j'ai réussi le baccalauréat D « Mathématiques et Sciences de la nature » en 1970, pressé d'avoir « mon pain en main », j'ai entrepris des études courtes de Masso kinésithérapie que j'ai terminé en 1973 par l'obtention d'un Diplôme d'État de Masseur - KinésithérapeuteKinésithérapeute - Rééducateur (ce qui m'a permis de gagner ma vie pendant toute la duréedurée de mes longues études médicales, en rééduquant des enfants handicapés moteurs dans un centre spécialisé.))
J'ai commencé mes études de Médecine, la même année, à Grenoble. Ma thèse de Doctorat eut pour objet l'étude d'une maladie très rare : la Réticulose histiocytaire multicentrique. C'est une pathologiepathologie rhumatologique mettant en cause, le système immunitairesystème immunitaire.
J'ai fait des études de spécialisation en Rhumatologie. Je suis titulaire des attestations d'études universitaires des facultés de Lyon et Grenoble, de Médecine Manuelle, de Droit Médical et d'Aptitude à l'Expertise, m'autorisant les titres d'« Ostéopathe», et d' « Expert ».
Indépendamment des titres, il faut constamment pratiquer l' « Art manipulatif » sous peine de « perdre la main », de même il faut rester médecin clinicien et soigner des patients quotidiennement, pour faire des expertises « justes et sincères ».
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