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    Cette photo du ciel nocturnenocturne au dessus de Santiago au Chili, prise par l'astronomeastronome Juan Carlos Munoz et postée sur son compte Twitter, montre l'étendue de la pollution lumineuse sur la capitale. Le photographe a recouvert son objectif d'une grille de diffractiondiffraction, qui divise la lumièrelumière en stries verticales selon leur longueur d'ondeslongueur d'ondes. On aperçoit ainsi les lignes issues des différents types d'éclairage s'élever dans le ciel.
     


    Les lampes au sodiumsodium, les moins lumineuses, émettent dans le spectrespectre orange. La lumière verte et violette correspond aux lampes halogèneshalogènes tandis que les LEDLED apparaissent en blanc (tache en forme de goutte au centre de la photo). Malgré leur bénéfice écologique en matièrematière de consommation électrique, « ce sont les pires pour la pollution lumineusepollution lumineuse, car elles émettent dans tout le spectre visible », indique Juan Carlos Munoz.

    L'éclairage public est non seulement un fléau pour observer le ciel, mais il perturbe les animaux nocturnes. En France, cela coûte 2 milliards d'euros aux collectivités chaque année. Selon l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes, la lumière de l'éclairage public a augmenté de 94 % ces vingt dernières années, sans compter les panneaux publicitaires et les vitrines.

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