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    L'échec de la mission CryoSat  suite à un mauvais fonctionnement du deuxième étage du lanceur Rockot, fut vécu par beaucoup de personnes comme une tragédie, à l'heure où ses mesures de l'épaisseur de la banquisebanquise auraient permis de mieux prévoir l'impact du réchauffement climatiqueréchauffement climatique. Mais tout espoir n'est pas perdu.

    En effet, un CryoSatCryoSat 2 pourrait voir le jour. CloneClone du premier satellite, il serait moins coûteux et ne nécessiterait que 3 ans de développement, au lieu des 5 de la première version, car l'équipe ne repartirait pas de zéro. Autre solution : embarquer de nouvelles versions des instruments de CryoSat sur d'autres satellites. La conférence ministérielle de l'ESA des 5 et 6 décembre prochains à Berlin, qui votera le budget du programme d'Observation de la TerreObservation de la Terre, sera en ce sens déterminante.