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    Schéma de fonctionnement d’une centrale nucléaire à eau pressurisée. À gauche, le réacteur abrite la cuve contenant le combustible nucléaire (uranium enrichi). Le modérateur (de l’eau) circule, maintenu sous pression grâce au pressuriseur. Les réactions nucléaires sont régulées par les barres de contrôle (si on les descend toutes, les réactions s’arrêtent). Dans un échangeur de chaleur, celle-ci est transmise au caloporteur (de l’eau), qui se transforme en vapeur et va faire tourner une turbine, laquelle actionne un générateur d’électricité. L’eau doit ensuite être refroidie, par exemple avec l’eau d’une rivière, pour repartir vers l’échangeur. En cas de problème, de nombreuses centrales peuvent se mettre en arrêt à froid par sécurité. Le réacteur est alors totalement arrêté. © Pâris Almageste, Licence Creative Commons

    Schéma de fonctionnement d’une centrale nucléaire à eau pressurisée. À gauche, le réacteur abrite la cuve contenant le combustible nucléaire (uranium enrichi). Le modérateur (de l’eau) circule, maintenu sous pression grâce au pressuriseur. Les réactions nucléaires sont régulées par les barres de contrôle (si on les descend toutes, les réactions s’arrêtent). Dans un échangeur de chaleur, celle-ci est transmise au caloporteur (de l’eau), qui se transforme en vapeur et va faire tourner une turbine, laquelle actionne un générateur d’électricité. L’eau doit ensuite être refroidie, par exemple avec l’eau d’une rivière, pour repartir vers l’échangeur. En cas de problème, de nombreuses centrales peuvent se mettre en arrêt à froid par sécurité. Le réacteur est alors totalement arrêté. © Pâris Almageste, Licence Creative Commons

    L'arrêt à froid est un terme d'ingénierie du nucléaire. Il s'agit d'une situation durant laquelle le réacteur nucléaire d'une centrale est à l'arrêt, avec son fluide de refroidissement présentant une pression atmosphériquepression atmosphérique et une température inférieure à 95 °C (il ne bout pas).