Né quelques mois après les premiers pas de Neil ArmstrongNeil Armstrong sur la LuneLune, en 1969 donc, rien ne me destinait à vivre de ma passion : je suis ce que l'on appelle un autodidacte, du moins dans le domaine du spatial. J'ai profité d'un séjour militaire à Mururoa pour amorcer une formation aux sciences spatiales. Je me suis aussi très tôt intéressé à l'observation du ciel et pour approfondir cette passion, je me suis inscrit dans un club d'astronomie dans le Vercors.

Une fascination pour l'espace

L'arrivée d'InternetInternet à renforcé cet attrait, fasciné par autant d'informations dans tous les domaines à portée de clique. Par la suite, en dehors de mes activités professionnelles, j'ai créé un bulletin d'informations sur l'actualité spatiale et un site Internet (flashespace.com) qui au fil du temps à trouvé son public. Mes centres d'intérêt se sont alors déplacés. J'ai peu à peu délaissé l'observation du ciel pour m'intéresser aux programmes spatiaux, aux satellites, aux moyens d'accéder à l'espace et à l'exploration robotiquerobotique et humaine du Système solaireSystème solaire...

Une passion devenue mon métier

Repéré par Geoman, un site Internet de vulgarisation et d'informations lié à l'astronomie et l'astronautiqueastronautique, aujourd'hui disparu, j'ai collaboré et travaillé au sein de son équipe jusqu'à sa fermeture. Depuis 2010, j'ai intégré l'équipe éditoriale de Futura où je m'occupe de l'actualité du « spatial » dans son ensemble. Je suis également pigiste et je travaille dans la prospective spatiale ce qui me permet d'accéder à de nombreux sites spatiaux un peu partout dans le monde occidental et en Russie avant 2022.