Une id&eacute;e explor&eacute;e pour r&eacute;duire les tra&icirc;n&eacute;es a&eacute;rodynamiques aux extr&eacute;mit&eacute;s des ailes : les supprimer ! C'est possible avec une forme rhombo&eacute;drique, qui se referme sur l'[popupdefinition id=2055]empennage[/popupdefinition]. A&eacute;rodynamiquement, cette forme&nbsp;a un allongement infini (l'allongement &eacute;tant le rapport entre la longueur de l'aile et sa surface). L'id&eacute;e n'est pas nouvelle et a d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; test&eacute;e. Elle pose des probl&egrave;mes de [popupdefinition id=10889]r&eacute;sistance[/popupdefinition] de mat&eacute;riaux et de trop grande [popupdefinition id=2094]rigidit&eacute;[/popupdefinition]. Des nouveaux mat&eacute;riaux pourraient la rendre possible... &copy; Bauhaus Luftfahrt

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L'aile rhomboédrique

Les empennages sont des surfaces fixes, généralement disposées sur le fuselage arrière d'un aérodyne, qui sont étudiées spécialement pour développer, durant leur déplacement dans l'air, des forces susceptibles d'assurer la stabilité en tangage et en trajectoire.
Sur un avion ou un hélicoptère, les empennages sont constitués par un ensemble de plans horizontaux et verticaux :• l'empennage horizontal encore appelé plan fixe horizontal ou stabilisateur horizontal sur un hélicoptère qui assure la stabilité en tangage ;• l'empennage vertical plus couramment appelé dérive qui assure la stabilité en trajectoire, encore appelée "stabilité en lacet".

Empennage

Capacité d'un corps solide à s'opposer à des déformations lorsqu'il est soumis à des sollicitations mécaniques. Elle dépend principalement de la géométrie de la pièce et des modules d'élasticité du matériau. 
Dans le cas d'un matériau homogène et isotrope, nous pouvons exprimer :
· la rigidité en traction, en effectuant le produit E par S, E étant le module d'Young et S la section perpendiculaire à l'axe suivant lequel la traction a lieu (section droite) ;· la rigidité en flexion, en effectuant le produit de E par Iyy ou de E par Izz, avec Iyy et/ou Izz les inerties de la pièce suivant l'axe yy ou zz (l'axe xx étant normal à la section considérée).· la rigidité de cisaillement en effectuant le produit de G par S, G étant le module de cisaillement du matériau.
Les coefficients de la matrice C (expression mathématique) de la loi de comportement (S = R.e) d'un matériau élastique linéaire, donnant les contraintes S en fonction des déformations e, s'appellent "rigidités". Ils s'expriment en fonction des caractéristiques mécaniques du matériau (modules d'élasticité, coefficients de Poisson) mais sont indépendants de la géométrie des corps considérés.
Dans le cas des matériaux composites, et plus particulièrement d'un pli, les rigidités dépendent du pourcentage des divers constituants, de leurs orientations, ainsi que de leurs caractéristiques mécaniques.

Rigidité

Le terme résistance peut être employé dans le domaine de la médecine et de l'électricité.La résistance en médecineEn médecine, la résistance désigne l'adaptation des pathogènes aux traitements mis en place. On parle par exemple de la résistance aux antibiotiques (lorsque les bactéries qui n'ont pas été tuées par un antibiotique se reproduisent et donc donnent vie à des générations de bactéries résistantes aux traitements) ou plus généralement de la résistance aux médicaments (pour les virus, champignons, parasites). La conséquence de la résistance est qu'il faut trouver de nouveaux traitements pour lutter contre ces pathogènes adaptés.La résistance en électricitéLa résistance est un composant électrique dont la principale capacité, précisément, est de montrer une forte résistance au passage du courant électrique. Ce type d'appareil est d'une très grande importance dans le monde moderne et ses applications sont multiples. Il est en effet destiné à protéger les autres composants d'un circuit électronique. Les anneaux de couleur à la surface du composant sont prévus pour indiquer la valeur de la résistance ainsi que sa tolérance. Les résistances sont faites d'un mélange de carbone, de fil résistif ou de films de métal, et sont reliées au circuit électrique via deux fils de connexion. La résistance est par ailleurs à l'origine d'une perte d'énergie sous forme de chaleur, c'est ce qu'on appelle l'effet Joule. Cette production de chaleur peut être volontaire dans certains cas. C'est le cas des résistances des plaques électriques ou des grille-pain, par exemple.

Résistance

4654_l-aile-rhomboedrique

La [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition] a fait [popupdefinition id=10840]plancher[/popupdefinition] les constructeurs a&eacute;ronautiques sur des concepts d'avions bien plus &eacute;conomes. Boeing a r&eacute;pondu avec ce &laquo; Sugar &raquo;, pour Subsonic Ultra Green Aircraft Research, baptis&eacute; [popupdefinition id=369]Volt[/popupdefinition]. La motorisation serait... [popupdefinition id=2300]hybride[/popupdefinition], avec une propulsion partiellement &eacute;lectrique, utilisable au d&eacute;collage, ce qui r&eacute;duirait le bruit et la consommation de carburant. Celle-ci serait diminu&eacute;e de 70 % et la r&eacute;duction globale en [popupdefinition id=15884]&eacute;nergie[/popupdefinition] (compte tenu des phases &eacute;lectriques) serait de 55 %. On remarque aussi le tr&egrave;s grand allongement des ailes (rapport envergure-profondeur). &copy; Nasa,&nbsp;The Boeing Company

Le Boeing Sugar Volt, premier avion commercial hybride ?

Le plancher est une technique de charpenterie qui a pour but de créer une plateforme parfaitement lisse sur laquelle on pose généralement un revêtement de décoration et d'isolation de type parquet, carrelage ou encore moquette. 
Description du plancher
Le plancher est la plupart du temps monté en bois, en fer ou en béton. Ce dernier doit être particulièrement lisse afin de n'avoir aucun défaut lors de la pose du revêtement supplémentaire. Il existe quelques variantes du plancher, comme le plancher cloué formé de planches en bois clouées les unes aux autres, ainsi que le plancher technique, qui est un faux plancher. 
Différents types de plancher
Parmi les différents types de plancher, on trouve le plancher sandwich (très isolant) et le plancher chauffant (un système de chauffage par le sol). Lorsqu'il est au rez-de-chaussée, le plancher est une plateforme, mais il sert également de séparation entre les différents étages d'un bâtiment. Dans ce dernier cas, le dessous du plancher posé est plus communément appelé le plafond d'une pièce.

Plancher

Le volt — dont le symbole est V — est l’unité légale de tension — ou de différence de potentiel — et de force électromotrice. Dans le Système international (SI), il est réputé être notamment l’un des dérivés de l’ampère. On le définit d’ailleurs ainsi : 
V = m2.kg.s-3.A-1
Le volt doit son nom au physicien italien Alessandro Volta (1745-1827) connu pour ses travaux sur l’électricité. Et il renvoie à la différence de potentiel électrique qui existe entre deux points d’un circuit parcouru par un courant constant de 1 ampère lorsque la puissance dissipée entre ces points est égale à 1 watt. Un volt équivaut à 1 W/A
En d’autres mots, comprenez que pour qu’un courant circule, que des électrons se déplacent dans un circuit, il est nécessaire de faire intervenir un générateur qui va créer un déséquilibre de charge — ou une différence de potentiel — destiné à attirer ou repousser les électrons. C’est ce déséquilibre qui est qualifié de tension électrique et mesuré en volt.
Les multimètres branchés en voltmètre donnent une indication en volt, de la tension qui existe entre deux points d’un circuit électrique. © Vladimir Zhupanenko, Fotolia
Mesurer la tension électrique
Notez que la tension électrique se mesure à l’aide d’un voltmètre. Aujourd’hui, la plupart de ces instruments sont numériques. Et ils doivent être branchés sur le circuit en dérivation entre les deux points dont il s’agit d’évaluer la différence de potentiel : la borne COM du voltmètre du côté de la borne négative du générateur du circuit et la borne V du côté de sa borne positive. Pour éviter d’endommager l’appareil, il est conseillé de régler d’abord le voltmètre sur le calibre le plus élevé puis d’en changer — en fonction de la valeur grossière indiquée — pour arriver à la précision souhaitée.
Pour donner quelques exemples : 
la tension mesurée sur une impulsion nerveuse est de l’ordre du cV soit 10-2 V ;la tension aux bornes d’une pile AA ou AAA est de 1,5 V ;la tension aux bornes d’une prise murale en France est de 230 V (tension alternative) ;la basse tension du réseau de distribution se situe entre 100 et 750 V (tension alternative) ;la haute tension du réseau de transport peut atteindre 900 kV (tension continue) ;la tension produite par la foudre atteint les 100 MV.

Volt

La Nasa (National Aeronautics and Space Administration) est une agence gouvernementale américaine, chargée d’exécuter le programme spatial civil. Aujourd’hui encore, elle est considérée comme un leader dans le domaine de l’aérospatiale. À son palmarès figurent les missions Apollo qui ont permis l’envoi des premiers Hommes sur la Lune, l’exploration de Mars par Curiosity ou encore les découvertes du télescope spatial Hubble.
Fondée le 29 juillet 1958 par le président Eisenhower, la Nasa vient remplacer le Naca (National Advisory Committee for Aeronautics), opérationnel depuis 1915. Guerre froide oblige, sa mission est alors de concurrencer le programme spatial soviétique. © Nasa
De nos jours, la Nasa emploie environ 20.000 personnes réparties dans une vingtaine d’institutions, comme le Goddard Space Flight Center, le Jet Propulsion Laboratory, le Langley Research Center ou encore le Kennedy Space Center. Elle accomplit des missions d’exploration et de recherche dans le domaine spatial et aérospatial par divers moyens : sondes, satellites, missions robotisées, etc. L’agence possède également un volet sciences de la Terre, pour étudier en particulier les effets du changement climatique.
Le Kennedy Space Center, en Floride, est une base de lancement située à proximité de Cap Canaveral. © Nasa
Les missions marquantes en cours et les projets futurs
La Nasa exploite la Station spatiale internationale (ISS), en coopération avec d’autres agences gouvernementales, où sont réalisées des recherches en astronomie, en sciences des matériaux et en biologie. Depuis 1990, l’agence exploite le célèbre télescope spatial Hubble, à l’origine d’avancées importantes dans notre connaissance de l’univers. Le très attendu James Webb Space Telescope viendra lui prêter main-forte en 2019.
Pour explorer Mars, la Nasa a lancé le programme Mars Science Laboratory (MSL), connu pour son rover Curiosity parcourant depuis 2012 le sol de la planète rouge à la recherche de traces de vie ancienne. Curiosity devrait être rejoint par l’atterrisseur InSight (lancement en mai 2018), puis viendra le rover Mars 2020, prévu pour le début des années 2020.
Dans le reste du Système solaire, des missions d’exploration étudient les géantes gazeuses, telle la sonde spatiale Cassini qui a plongé dans l’atmosphère de Saturne mi-septembre 2017 et la sonde New Horizons, toujours en activité, la première à avoir survolé Pluton et poursuit son exploration de la ceinture de Kuiper.

Nasa

Le terme hybride a plusieurs significations en fonction du contexte dans lequel il est employé : zoologie, botanique ou automobile.
Hybride en zoologie
En zoologie, un hybride désigne un animal issu d’un croisement entre deux espèces différentes. Cette descendance est presque toujours stérile.
L’accouplement d’une tigresse avec un lion mâle donne par exemple naissance à un ligre. 
Hybride en botanique
La signification d’hybride en botanique est plus vaste. Ce mot qualifie le ou les descendants d’un croisement entre différentes variétés d’une même plante (croisement intraspécifique) ou entre différentes espèces (croisement interspécifique). 
Lors de ses expériences avec les petits poids, Mendel a provoqué l’apparition de nombreux hybrides. 
Hybride en automobile
Une voiture est dite hybride si elle possède deux motorisations indépendantes (thermique, électrique, etc.).

Hybride

Les physiciens emploient le terme d'énergie pour désigner une capacité à modifier un état ou à produire un travail entraînant un mouvement ou générant un rayonnement électromagnétique – de la lumière, par exemple – ou de la chaleur. Le mot vient d’ailleurs du grec et signifie « force en action ».
Dans le système international, l’énergie s’exprime en joules, mais dans le langage courant, elle s’exprime plus souvent en kilowatt-heure (kWh). Quant à la tonne d’équivalent pétrole (tep), elle permet généralement de comparer les différentes sources d’énergie entre elles.
Il est à noter que, selon le premier principe de la thermodynamique, l’énergie d’un système fermé se conserve.
Pas une mais des énergies
Il existe en fait de nombreuses formes d’énergie. Ainsi, l’énergie cinétique, par exemple, est une forme d’énergie liée au mouvement d’un corps. Elle est proportionnelle au carré de sa vitesse. La combustion, quant à elle, permet de récupérer l’énergie potentielle chimique contenue dans un combustible. Les panneaux solaires captent l’énergie lumineuse pour la transformer en énergie électrique.
Les sources d’énergie
Les énergies sont également parfois classées en fonction de leur source. On peut parler des énergies fossiles – tirées du charbon ou du pétrole, par exemple –, de l’énergie nucléaire – qui provient de réactions nucléaires –, ou encore des énergies renouvelables, qui sont naturellement régénérées comme l’énergie solaire ou l’énergie éolienne.
Énergie primaire, secondaire, finale ou utile
Une autre classification vient du fait que les énergies qui nous sont utiles dans la vie de tous les jours ne sont pas forcément disponibles, prêtes à l’emploi dans la nature. On parle ainsi :
d’énergie primaire quand elle est directement exploitable (le rayonnement solaire, par exemple) ;d’énergie secondaire pour celle obtenue après transformation (l’électricité, par exemple) ;d’énergie finale pour l’ensemble des énergies prêtes à l’emploi, délivrées au consommateur (l’essence disponible à la pompe, etc.) ;d’énergie utile pour celle qui rend réellement service à l’utilisateur (la lumière issue d’une lampe, etc.).

Énergie

4631_le-boeing-sugar-volt--premier-avion-commercial-hybride--

Boeing et la [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition] ont collabor&eacute; sur un projet d'aile volante qui a abouti &agrave; la r&eacute;alisation de prototypes en mod&egrave;les r&eacute;duits, les X48 B et C. Le concept est celui de l'aile volante ou BWB pour Blended Wing Body, en anglais, qui signifie &laquo; ailes et [popupdefinition id=2057]fuselage[/popupdefinition] fusionn&eacute;s &raquo;. On voit ici une image de synth&egrave;se de ce qu'il pourrait &ecirc;tre dans le futur. Le principe de l'aile volante pr&eacute;sente de nombreuses difficult&eacute;s (stabilit&eacute;, vols &agrave; faible [popupdefinition id=324]vitesse[/popupdefinition], pressurisation...). &copy; Nasa, The Boeing Company

L'aile volante X48 BWB de Boeing

La vitesse est le rapport d'une longueur par un temps. Son unité du système international est le mètre par seconde (m.s-1).La vitesse ayant une direction et une intensité est représentée par un vecteur, le vecteur vitesse. La vitesse relative est la vitesse d'un corps par rapport à un autre ou par rapport à un repère. Elle est fondamentale dans de nombreux contextes, que ce soit en mécanique pour décrire le déplacement d'un objet, en cinématique pour étudier le mouvement, ou encore en météorologie pour analyser les déplacements atmosphériques.Calcul de la vitesseLa vitesse peut être calculée en divisant la distance parcourue par le temps nécessaire pour parcourir cette distance. La formule générale pour calculer la vitesse est :Vitesse=Distance parcourue/Temps La vitesse est généralement exprimée en mètres par seconde (m/s), kilomètres par heure (km/h), miles par heure (mph) ou toute autre unité de distance divisée par une unité de temps.Histoire de la notion de vitessePendant longtemps, la notion de vitesse a manqué d'une définition formelle, en raison de l'interdiction pour les mathématiciens de diviser deux grandeurs non homogènes. Diviser une distance par un temps était considéré comme aussi incorrect que de sommer ces deux valeurs de nos jours.La formalisation de la notion de vitesse instantanée est attribuée à Pierre Varignon le 5 juillet 1698. Il la définit comme le rapport d'une longueur infiniment petite dx sur le temps infiniment petit dt nécessaire pour parcourir cette distance, utilisant le formalisme du calcul différentiel développé quatorze ans auparavant par le mathématicien allemand Gottfried Wilhelm Leibniz. Ce dernier est l'inventeur du calcul infinitésimal, également connu sous le nom de calcul différentiel et intégral. Son travail dans ce domaine a jeté les bases de ce qui est maintenant une branche fondamentale des mathématiques utilisée dans le calcul des variations, la physique, l'ingénierie et de nombreux autres domaines.Champ lexical : vélocité | rapidité

Vitesse

Corps fuselé qui, sur un avion, un planeur ou un giravion, relie la voilure à l'empennage et constitue généralement la partie qui reçoit la charge transportée. 
Le fuselage d'un avion monomoteur contient le propulseur dans la partie avant, le poste de pilotage et la cabine, séparés ou non, dans la partie centrale.
Sur un avion multimoteurs, dont les moteurs sont disposés sous ou sur la voilure, le fuselage se décompose en trois parties distinctes :• la partie avant qui comprend le poste de pilotage ou cockpit, différentes soutes et enfin la pointe avant, qui abrite le radar dont l'antenne est recouverte par le radôme, partie non métallique laissant passer les ondes radar ;• la partie centrale qui sert de cabine pour les passagers ou de soute pour les bagages ou le fret et à laquelle sont fixées les ailes et, certaines fois, le train d'atterrissage principal ;• la partie arrière, tronçon de forme conique, généralement monobloc, sur laquelle viennent se raccorder les empennages horizontaux et verticaux et dont l'extrémité est appelée le cône arrière.
Le fuselage d'un hélicoptère se décompose de la même manière, hormis le cas de l'hélicoptère léger, dont la partie avant et la partie centrale peuvent se confondre en un seul et même habitacle appelé "bulle", réalisé en plexiglas.

Fuselage

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Un concept de Lockheed Martin pour un avion moyen courrier bir&eacute;acteur &agrave; faible consommation. Les r&eacute;acteurs sont &agrave; tr&egrave;s large ouverture avec un flux d'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition] central tr&egrave;s &eacute;troit. On note surtout la voilure extravagante, plus pr&eacute;cis&eacute;ment rhombo&eacute;drique. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], Lockheed Martin

Lockheed Martin et son moyen-courrier biréacteur économe

Le terme « air » désigne le fluide gazeux parfait, incolore, inodore et invisible qui constitue l’atmosphère terrestre. On l'associe plus généralement à la troposphère, la couche de l’atmosphère de la Terre la plus proche de la surface du globe. En contact direct avec cette dernière, l’air est donc sensible à l’évaporation des océans, à la photosynthèse ou encore aux activités humaines.
Composition de l'air
L’air est un mélange de différents corps purs dans leur état gazeux. La composition de l'air sec est la suivante :
78 % de diazote ;21 % de dioxygène ;environ 1 % d’argon ;des traces de néon, de krypton, de xénon et d’hélium.
Ces proportions — même si la concentration de l’air diminue avec l’altitude — sont identiques quel que soit le lieu et jusqu’à une altitude de 100 kilomètres. Au-delà, il n’y a pas quasiment plus d’air.
L’air contient également de la vapeur d’eau dans des concentrations qui peuvent beaucoup varier, aussi bien dans le temps que dans l’espace. Ainsi, dans un air froid, le volume de vapeur d’eau dans l’air ne dépasse pas les 0,6 %. En revanche, dans un air chaud, il peut monter jusqu’à plus de 4 %.
Certaines activités humaines affectent la composition de l’atmosphère. En France, la qualité de l’air est désormais surveillée. En fonction des prévisions météo, des pics de pollution peuvent être prévus sur des zones assez précises. © SD-Pictures, Pixabay, DP
Pollution de l’air
La pollution atmosphérique est susceptible de modifier la composition de l’air et d’y ajouter ou d’y supprimer de l’ozone, du méthane ou encore du dioxyde de carbone, par exemple. Les proportions de ces gaz aussi peuvent varier avec l’altitude. Ainsi, l’ozone se concentre entre 20 et 40 kilomètres d’altitude, dans la couche d’ozone.
L’air véhicule aussi des aérosols, des particules solides ou liquides formées par des phénomènes naturels — comme les éruptions volcaniques ou la dispersion du pollen — ou par des activités industrielles. La concentration des aérosols est bien sûr variable.
Mouvements de l’air
L’air est aminé de mouvements incessants provoqués par des différences de température et de pression. En effet, la température de l’air, par exemple, décroît, dans la troposphère, de quelque 6 °C par kilomètre d’altitude. De quoi créer des mouvements de convection rapide. Les mouvements de l’air se ressentent notamment lorsque le vent souffle.

4632_lockheed-martin-et-son-moyen-courrier-bireacteur-econome

Le D8 &laquo; double bulle &raquo; du Massachusetts Institute of Technology (MIT) propose une cabine large, pour 180 passagers sur ce projet. Les mat&eacute;riaux composites all&egrave;gent la cellule et les r&eacute;acteurs, dispos&eacute;s au-dessus de la cellule (ce qui r&eacute;duit le bruit), sont &agrave; double flux mais avec un flux central (chaud, car sortant de la turbine) tr&egrave;s &eacute;troit, tandis que le flux p&eacute;riph&eacute;rique (issu du grand <a href="/maison/comparatifs/meilleur-rafraichisseur-dair-comparatif/" title="Comparatif rafra&icirc;chisseur air" class="link-type-comparo">ventilateur</a> [popupdefinition id=1210]frontal[/popupdefinition]) est plus large. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], MIT, [popupdefinition id=4141]Aurora[/popupdefinition] Flight Sciences

La double bulle D8 du MIT

En informatique, le terme « frontal » (anglais « front-end ») désigne un ordinateur relié à un serveur qui loge les données. L’ordinateur frontal sert d’interface vers le serveur ou ordinateur dit « back-end » par opposition à « front-end » - front désignant ce qui est devant et back ce qui est à l’arrière.Dans un même ordre d’idée, les applications « frontales » sont des applications présentes sur les ordinateurs frontaux. Lorsque l’utilisateur d’une application frontale demande une information précise, la requête est relayée au serveur / ordinateur « back-end ». La réponse du serveur est ensuite envoyée à l’application « frontale ».Le frontal dans la pratiqueQuelques exemples simples vont aider à matérialiser ces concepts.Lorsque vous consultez une page de Futura Sciences, celle-ci vient s’afficher sur votre Mac ou PC qui joue le rôle d’ordinateur frontal. Si vous demandez à consulter un article sur les éruptions solaires, la requête est envoyée au serveur de Futura Sciences (l’ordinateur « back-end »). Une fois l’article repéré, celui-ci est envoyé à votre ordinateur frontal.Il en est de même lorsque vous tapez une requête sur le moteur de recherche Google. La requête tapée sur votre Mac/PC (le frontal) part vers l’un des serveurs de Google situés en Californie ou ailleurs. Elle est traitée par l’un de ces ordinateurs « back-end ». Puis la réponse à votre requête vient s'afficher sur votre ordinateur frontal.De même, lorsque nous cliquons sur un lien sur une page Web, une requête est adressée à un serveur éloigné, qui nous renvoie la page demandée.On parle également d’architecture « client / serveur », l’ordinateur frontal étant le client et le serveur l’ordinateur « back-end ».Pourquoi une telle architecture ?Pourquoi l’informatique a-t-elle suivi ce modèle ? Car celui-ci permet de placer l’essentiel de la capacité informatique vers un ou plusieurs serveurs ultra-puissants. Inversement, le PC frontal n’a pas besoin d’être particulièrement puissant, puisque l’essentiel des opérations complexes est effectué sur le « back-end ».Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pasIl est courant de représenter le frontal et le « back-end » ainsi :Le frontal désigne ce que l’on voit,Le « back-end » est ce que l’on ne voit pas.Par exemple, lorsqu’on reçoit une lettre dans sa boîte postale, on ne voit aucunement le travail nécessité par son expédition par voie ferroviaire, maritime ou aérienne, l’aiguillage de la lettre vers la bonne destination, etc. – soit autant d'activités effectuées en « back-end ».

Frontal

Aurora est un programme technologique qui a été proposé par l'ESA à l'approbation des délégués et entériné par le Conseil de l'ESA réuni au niveau ministériel à Edimbourg les 14 et 15 novembre 2002. 
Préparé en commun par la Direction des Programmes Scientifiques et celle de la Microgravité et des Vols habités, Aurora a pour finalité première de développer en Europe les technologies nécessaires et un réseau de compétences pour arriver in fine à une exploration humaine de Mars, et d'élaborer un plan européen à long terme d'exploration, par l'homme ou à l'aide de robots, des objets du système solaire et notamment de ceux qui pourraient contenir des traces de vie. 
Ce programme est multidisciplinaire. Il englobe de nombreux domaine de la recherche spatiale.
Différentes phases
Deux phases principales sont prévues. 
La première (2005 - 2015) doit permettre d'acquérir des connaissances, de développer et de démontrer les technologies requises pour une mission habitée à destination de Mars et de la Lune, de façon à pouvoir décider de mener ou non une telle mission. 
Cette phase initiale sera suivie d'une seconde phase (2015 - 2030) consacrée au développement, à la vérification et à la mise en œuvre des éléments européens d'une mission habitée, qui sera sans doute menée à l'échelle internationale. 
Les étapes clés prévues pour le programme Aurora sont : deux missions de retour d'échantillons martiens (2011 - 2017) ; la décision d'engager une mission habitée (2015) ; un avant-poste robotique sur Mars et éventuellement une mission habitée à destination de la Lune (2020 - 2025) ; et une mission habitée à destination de Mars (2025 - 2030).
Principales missions
La mission ExoMars, dont l'objectif est d'évaluer l'environnement biologique martien avant de faire atterrir d'autres véhicules ou des humains sur la planète rouge. 
Une mission de retour d'échantillons (Mars Sample Return) qui comprendra un module de descente et un véhicule de retour sur Terre. Le premier descendra à la surface de Mars une plateforme de prélèvement et le véhicule de remontée en orbite. Pour cette phase, la précision requise à l'atterrissage sera limitée. L'échantillon serait délivré dans un conteneur sur une orbite à 150 km d'altitude. Le véhicule de retour vers la Terre le récupérerait alors et le larguerait une fois revenu en orbite terrestre sur une trajectoire balistique de rentrée atmosphérique. Un parachute ou un système gonflable garantissant la sûreté de l'arrivée.

Aurora

4633_la-double-bulle-d8-du-mit

Cet avion a l'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition] tr&egrave;s ordinaire mais il ne l'est pas du tout. Pour ce Select (pour Silent Efficient Low Emissions Commercial Transport, en anglais), Northrop Grumman a &eacute;tudi&eacute; un appareil de petite capacit&eacute; - 120 passagers - &agrave; tr&egrave;s faibles [popupdefinition id=389]&eacute;missions[/popupdefinition] de [popupdefinition id=3873]carbone[/popupdefinition], r&eacute;unissant [popupdefinition id=16640]alliages[/popupdefinition] &agrave; [popupdefinition id=19073]m&eacute;moire de forme[/popupdefinition], [popupdefinition id=4783]nanotechnologies[/popupdefinition] et mat&eacute;riaux composites en [popupdefinition id=16686]c&eacute;ramique[/popupdefinition]. Le Select pourrait se poser sur des pistes courtes (1 500 m&egrave;tres) pour utiliser des petits a&eacute;roports, ce qui permettrait de d&eacute;concentrer le trafic a&eacute;rien. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], Northrop Grumman Systems Corporation

Le Select de Northrop Grumman, un avion économe

Les nanotechnologies et les nanosciences sont l'étude, la fabrication et la manipulation de structures, de dispositifs et de systèmes matériels à l'échelle de moins d'une quarantaine de nanomètres.Découvrez notre dossier spécial sur les nanotechnologies >>Les nanotechnologies reçoivent chaque année d'énormes budgets d'investissement en recherche et développement. C’est donc un secteur en forte croissance. Dominique Vinck, sociologue des sciences et de l’innovation, nous parle de la révolution nanotechnologique. © Futura-SciencesLes nanosciences et les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie, l'optique, la biologie qui manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre.Un des objectifs majeurs des nanotechnologies est de créer des nanomachines.La Nanotechnologie c'est quoi ?La nanotechnologie ou nanoscience s’intéresse à des matériaux qui ont pour échelle le nanomètre, soit le milliardième du mètre. Les nanomatériaux voient leurs propriétés changer par rapport à leur taille micro ou macro.On parle également de nanoscience La nanotechnologie a pour synonyme nanoscience. Elle désigne l’ensemble des technologies et des sciences traitant des matériaux qui a pour point commun le nanomètre, soit le milliardième du mètre. Les dimensions comprises entre 1 et cent nanomètres ou nm, ne sont pas visibles à l’œil nu. Les nanotechnologies recoupent des champs scientifiques très vastes et travaillent sur des nanomatériaux à l’exemple du virus qui mesure 10 à 100 nm. Le diamètre d’un cheveu humain, qui possède une dimension de 70 000 à 80 000 nm, fait figure de géant. L’usage des nanoparticules suppose le recours à des microscopes électroniques spécialement dédiés.Des matériaux plus réactifsLes matières ont des propriétés différentes à l’échelle nanométrique qu’aux dimensions micro ou macro. Elles sont :plus réactives,plus légères,plus résistantes un nanotube de carbone est plus solide qu’un tube d’acier,plus efficaces que les fils de cuivre pour assurer le transport de l’électricité.La Nanotechnologie comment ça marche ?Les nanosciences fabriquent intentionnellement des nanomatériaux à des fins de recherche et de production. Elles présentent néanmoins des risques pour la santé.La fabrication de nanoparticulesIl existe plusieurs types de nanoparticules :les nanoparticules naturelles comme les virus,les nanoparticules qui sont des sous-produits des processus de production issus notamment du gaz d’échappement,les nanoparticules fabriquées intentionnellement dans le cadre des nanotechnologies.Les nanosciences fabriquent les nanoparticules artificielles de plusieurs manières : en réduisant peu à peu les particules,en les construisant atome par atome,par autoassemblage.Une science à risques ? Les effets des nanoparticules sur la santé sont d’autant moins connus que chacune d’entre elles est unique. On peut néanmoins constater :de possibles réactions inflammatoires ou neuro-immunitaires, comme on l’a testé sur les ratsdes dommages sur les tissus pulmonaires, les cellules in vitrodes conséquences cardiovasculaires dangereuses, comme l’ont démontré des expériences menées sur des souris.Les nanoparticules pénètrent l’organisme par la peau, l’inhalation et le système digestif.La Nanotechnologie à quoi ça sert ? Les nanotechnologies s’appliquent à des matières variées du moment qu’elles sont de taille nanométrique. La liste que nous fournissons ici n’est pas exhaustive : L’aviation et l’aéronautique Les nanosciences présentent l’intérêt de fabriquer des pièces plus solides et plus légères, en mesure de faciliter le déplacement dans les airs voire la sortie de l’atmosphère.La médecine et la santé La nanobiologie et la nanomédecine facilitent la lutte contre le cancer, fabriquent des tissus intelligents dotés de détecteurs pour accélérer le processus de guérison, des pansements plus efficaces, etc. Elles contribuent également à améliorer l’imagerie médicale. Indirectement les nanotechnologies peuvent améliorer le filtrage des eaux, la production agricole, les écrans d’ordinateur, les lunettes, etc.L’automobileLes nanosciences transforment les batteries, les capteurs, les systèmes de sécurité, etc.

Nanotechnologie

Les matelas à mémoire de forme sont devenus très populaires auprès des consommateurs de tous âges. Et pour cause, ils offrent un confort sans compromis. Ils ont l’avantage de s’adapter parfaitement à la forme du corps, du dos et des cervicales privilégiant ainsi une position naturelle et confortable. La mémoire de forme est assurée par la chaleur du corps. La matière réagit et épouse les contours du dormeur pour lui offrir un lit douillet et adapté à sa morphologie.La matière mémoire de formeConçue par la Nasa dans les années 60 pour protéger les astronautes des chocs ressentis lors du décollage et de l'atterrissage des fusées, la mousse à mémoire de forme est en fait du viscoélastique. Une matière à la fois visqueuse et élastique qui peut subir des déformations sous l’effet de la chaleur. Utilisée dans les matelas en latex ou à ressorts, cette matière à mémoire de forme constitue une enveloppe. Elle se trouve souvent sur le dessus et le dessous du matelas, en épaisseur plus ou moins conséquente. Il existe plusieurs densités de matière à mémoire de forme. Plus celle-ci est dense, plus le matelas reprendra sa forme initiale rapidement. C’est souvent un facteur de prix important qui peut expliquer les différences entre les matelas à mémoire de forme. Une matière dense est un indice de qualité qui ne trompe pas.Plusieurs densités existent sur le marché. © Ihor, Adobe StockLes avantages de la mémoire de formeLes matelas à mémoire de forme ont l’avantage de favoriser le relâchement musculaire. Ils évitent aussi de prendre des mauvaises positions durant la nuit et de contraindre le corps et les muscles. Souvent recommandés aux personnes souffrant de maux de dos, les matelas à mémoire de forme permettent de répartir de manière homogène les points de pression sur le corps. Ils absorbent également tous les mouvements du dormeur et évitent à la personne qui dort à côté de les ressentir. C’est donc la garantie d’un bon sommeil pour quelqu’un dont le partenaire bouge beaucoup durant la nuit.Les inconvénients de la mémoire de formeSi la mémoire de forme est une matière thermo-réactive, elle peut se déformer rapidement si l’environnement est soumis à de fortes chaleurs. C’est aussi un type de matelas qui est déconseillé aux personnes qui transpirent beaucoup.Au contraire, durant l’hiver, les dormeurs pourront avoir du mal à s’adapter à leur matelas à mémoire de forme si la chambre est fraîche. Celui-ci aura tendance à être plus dur et moins enveloppant. Si la pièce est chauffée correctement, le souci sera alors minimisé. La matière à mémoire de forme s’adapte à la température ambiante de la maison. Champ lexical : literie | matelas

Mémoire de forme

Dans le langage courant, le terme céramique désigne un objet fabriqué en terre et qui a été cuit à une température plus ou moins élevée. Dans l’histoire de l’Homme, l’art de travailler la céramique arrive avant celui de travailler le verre ou le métal, dès le Néolithique. Et il s’avère que les céramiques présentent des propriétés différentes selon la nature de leurs composants et leur température de cuisson. On distingue par exemple les poteries, les faïences, les porcelaines, etc.Une définition plus large des céramiques précise qu’il s’agit là de matériaux non métalliques et non organiques obtenus par l’action de fortes températures. Ce sont ces fortes températures qui induisent, au cœur de la matière première, une transformation irréversible qui confère à la céramique produite, des propriétés nouvelles : solidité et résistance à l’usure, résistance à la chaleur, propriétés isolantes, etc.Certaines couronnes dentaires sont faites de céramique. © golubovy, FotoliaDifférentes céramiques, différents usagesLongtemps, les céramiques ont servi à fabriquer des objets d’art, des poteries ou des porcelaines pour la cuisine. Mais toutes les propriétés de ces matériaux ont conduit les ingénieurs à imaginer des applications industrielles aux céramiques. On parle alors de céramiques techniques. Elles sont utilisées comme supports d’éléments chauffants, comme billes de roulement, comme outils de coupe, comme isolants électriques ou encore comme renfort aux matériaux composites métalliques.Céramique et verre, quelle différence ?Les céramiques et les verres peuvent être obtenus à partir des mêmes matières premières. Cependant, dans le cas du verre, la mise en forme a lieu après le passage au point de fusion du matériau. Les céramiques, elles, sont d’abord façonnées à température ambiante puis chauffées, mais à une température qui reste bien inférieure à leur température de fusion. Une technique baptisée technique de frittage.Quelle est la différence entre céramique et poterie ?La céramique est un terme générique qui englobe un large éventail de produits fabriqués à partir d'argile durcie par la chaleur. Elle peut inclure des objets tels que de la vaisselle, des carreaux, des sculptures, etc. La céramique peut être fabriquée à partir de divers types d'argile et de mélanges d'argile, souvent associés à d'autres matériaux tels que le sable, le quartz ou le feldspath. La céramique est généralement cuite à des températures élevées dans un four, ce qui lui confère une résistance et une durabilité accrues. Elle peut également être émaillée pour obtenir différentes finitions et couleurs.La poterie désigne les objets (récipients, vases...) à usage essentiellement culinaire ou domestique fabriqués à base de terre cuite. Elle est généralement de couleur rouge ou brune en raison de la présence d'oxydes de fer dans l'argile. La terre cuite est souvent utilisée dans la construction pour fabriquer des briques, des tuiles, des éléments de décoration architecturale, des pots de fleurs, etc. Contrairement à la céramique, la terre cuite n'est pas émaillée et est généralement cuite à des températures moins élevées. Cela donne à la terre cuite une texture plus poreuse et une apparence naturelle.

Céramique

Historiquement, on appelle alliage, une combinaison de deux ou plusieurs métaux, ou d’un métal et d’un autre élément (comme le carbone, par exemple). 
Il existe trois grandes familles d’alliages : 
les alliages à base de fer,les alliages à base de cuivre,les alliages à base d’aluminium.
Citons parmi les alliages les plus connus : la fonte (fer et carbone), l’acier (fer et carbone), le bronze (cuivre et étain) ou encore le laiton (cuivre et zinc).
Les alliages sont produits dans le but d’améliorer les propriétés d’un métal ou même de lui conférer des propriétés inédites. Pour fabriquer un alliage homogène, il faut que les métaux qui le composent soient miscibles entre eux. En les chauffant, il faut en effet qu’ils puissent se mélanger parfaitement afin que les espèces qui le composent ne soient plus distinguables. Mais comme généralement les éléments ne sont pas parfaitement miscibles, certaines proportions doivent être respectées pour assurer la production d’un bon alliage.
Cliché de microscopie électronique à balayage d’un alliage de polymères constitué d’une matrice de polyamide dans laquelle sont dispersées des inclusions de polypropylène. La barre d’échelle représente une longueur de 2 μm. © Cerdato, Arkema
Le terme d’alliage se généralise
Un alliage est défini comme l’association d’atomes ou de molécules différentes dans le but d’améliorer les propriétés initiales des constituants. Ainsi, on parle également d’alliages de polymères. Ils correspondent à des dispersions extrêmement fines d’un polymère A dans une matrice polymère B obtenues dans une extrudeuse à haute température.
Les propriétés (résistance aux impacts, résistance aux attaques chimiques, etc.) de l’alliage polymère dépendent bien sûr de la nature de ses composants mais aussi beaucoup de la morphologie des dispersions. Le recours à un agent d’interface — qui se place entre les deux composants de l’alliage — permet de diminuer l’énergie de surface et d’obtenir des dispersions fines. Les plus intéressantes d’un point de vue industriel.

Alliage

Fait d'émettre (des particules, des radiations, une substance, etc). En particulier, dans le cas de gaz nocifs, dégagement ou rejet de contaminants.

Émission

Élément indispensable à la vie et en chimie organique, le carbone forme plus de composés que tous les autres éléments chimiques réunis.
Généralités
Symbole : CNuméro atomique : 6Électrons par niveau d’énergie : 2, 4Masse atomique : 12,011 uIsotopes les plus stables : 12C stable avec six neutrons (98,93 %), 13C stable avec sept neutrons (1,07 %)Série : non-métauxGroupe, période, bloc : 14, 2, pDensité : entre 1,8 (carbone amorphe) et 3,5 (diamant)Point d’ébullition : 3.825 °C (sublimation)
Historique du carbone
« Carbone » provient du latin carbo, qui signifie « charbon ». Sous forme de suie et de charbon de bois, le carbone est connu depuis la Préhistoire. En 1772, Lavoisier démontra que le diamant est une forme de carbone. Il en sera de même pour le graphite en 1779 par Carl Wilhelm Scheele. C’est à nouveau Lavoisier qui répertoria le carbone comme un élément dans ses œuvres dès 1789.
Le carbone est un élément central dans la vie sur Terre, aussi bien pour les végétaux que pour les animaux. © Elle EPP, Flickr, CC by-nc-sa 2.0
Propriétés du carbone
Le carbone cristallin pur existe dans la nature sous forme de diamant et de graphite. Le carbone élémentaire est inerte et insoluble dans l’eau ou les solvants organiques. À haute température, il s’oxyde pour former du monoxyde et du dioxyde de carbone.
Nous connaissons plus d’un million de composés qui possèdent du carbone lié à l’hydrogène, ainsi qu’un grand nombre de composés inorganiques qui contiennent du carbone. On retrouve le carbone lié à l’hydrogène notamment dans toutes les plantes et tous les animaux. Les dépôts de matière organique issue du vivant fossilisent pour donner divers hydrocarbures. Les carbonates sont inclus dans de nombreux minéraux, le gypse et le marbre pour ne citer qu’eux.
Utilisation du carbone
Sous la forme d’élément libre, le carbone présent dans le diamant sert en joaillerie et dans l’industrie pour sa dureté. Le graphite est employé comme lubrifiant, pour fabriquer des creusets et se retrouve aussi dans les mines de crayon.
Sous forme composée, les applications du carbone sont très nombreuses. Le CO2, par exemple, est notamment employé dans les boissons (pour ajouter des bulles de gaz), dans les extincteurs, ou encore comme réfrigérant, sous forme de glace sèche, dans l’industrie des semi-conducteurs. Le monoxyde de carbone (CO) sert de gaz réducteur dans beaucoup de processus industriels. De nombreux carbures métalliques sont appréciés pour leur grande résistance à la chaleur. Le tétrachlorure de carbone (CCl4) et le disulfure de carbone (CS2) sont d’importants dissolvants. Le chlorofluorocarbure (CCl2F2), aussi appelé Fréon R12, est un gaz employé dans les systèmes de refroidissement.
Effets du carbone sur la santé
Le carbone peut être dangereux sous certaines formes non élémentaires. L’inhalation chronique de charbon noir peut causer des dommages de gravité variée aux poumons comme au cœur. Le carbone 14, radioactif, peut induire un risque accru de cancer, car il peut se lier organiquement aux cellules de l’organisme.
Le disulfure de carbone (CS2) est un liquide extrêmement toxique utilisé pour la vulcanisation. Le monoxyde de carbone peut provoquer l’empoisonnement de l’hémoglobine en cas d’inhalation prolongée. On trouve aussi le carbone dans les ions cyanure (CN-). Les composés qui en contiennent sont hautement toxiques. Quant à l’éventuelle toxicité des nouvelles formes de carbone comme les nanotubes (des feuilles de graphène roulés en cylindres) et le fullerène, elle est actuellement étudiée.

Carbone

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Pour augmenter la capacit&eacute; des avions, pourquoi ne pas mettre deux [popupdefinition id=2057]fuselages[/popupdefinition] plut&ocirc;t qu'un ? Le concept vient de chez Northrop Grumman et se fait remarquer aussi par ses ailes hautes, c'est-&agrave;-dire fix&eacute;es sur le haut de l'avion. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], Northrop Grumman

L'avion de Northrop Grumman aux ailes hautes et à deux fuselages

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Sur ce supersonique imagin&eacute; par Lockheed Martin, les ailes forment un V assez prononc&eacute; et les moteurs sont install&eacute;s au-dessus. Cette disposition devrait emp&ecirc;cher, ou r&eacute;duire fortement, le &laquo; bang &raquo;, cet &eacute;norme bruit qui suit un avion se d&eacute;pla&ccedil;ant plus vite que les [popupdefinition id=15526]ondes sonores[/popupdefinition], franchissant ainsi le [popupdefinition id=12825]mur du son[/popupdefinition]. Un tel avion pourrait donc voler en supersonique au-dessus des continents. &copy; Lockheed Martin<link http:="">

L'avion supersonique silencieux de Lockheed Martin

Derrière l’expression « mur du son » se cache un ensemble de phénomènes aérodynamiques qui se produisent quand un aéronef se déplace dans l'air avec une vitesse voisine de celle du son. 
X-Plane, un avion supersonique sans bang promis par la Nasa
Le terme remonterait aux années 1940 et il serait dû à l'ingénieur britannique W.-F. Hilton, qui se demandait si un avion ne pourrait jamais dépasser la vitesse du son. En effet, à cette époque les chasseurs en piqué approchant la vitesse de 1.200 km/h étaient confrontés à des phénomènes nouveaux, comme des vibrations pouvant disloquer les appareils et un durcissement des commandes, le tout pouvant provoquer la mort des pilotes cherchant à dépasser cette vitesse qui correspond à celle des ondes sonores à basses altitudes.
Felix Baumgartner franchit le mur du son en chute libre, le 14 octobre 2012. © redbull-YouTube
Les dépassements du mur du son
On finit par comprendre qu’il s’agissait d’un phénomène lié à la physique des écoulements d’air autour des avions et pas à un problème lié aux avions eux-mêmes. Le pilote américain Chuck Yeager réussira finalement à dépasser le mur du son en produisant un bang supersonique le 14 octobre 1947, à bord du XS-1 (rebaptisé X-1 en 1962), un avion expérimental à moteur-fusée.

Mur du son

Une onde sonore correspond à la propagation de perturbations mécaniques dans un milieu élastique. Ces perturbations sont perçues, entre autres, par l’oreille humaine qui les interprète comme des sons. La science qui étudie ces ondes s’appelle l’acoustique.
Les ondes sonores peuvent subir des réflexions, lorsque l’on entend un écho, par exemple. Elles peuvent aussi subir des réfractions, lorsqu’elles traversent une paroi. Elles peuvent enfin subir des interférences.
Les ondes sonores, contrairement aux ondes lumineuses, ne se propagent pas dans le vide. Elles s’appuient nécessairement sur un milieu matériel.
Caractéristiques des ondes acoustiques
La fréquence, exprimée en hertz (Hz), est l’une des caractéristiques majeures d’une onde sonore. Ainsi, les fréquences des ondes sonores perceptibles par l’être humain se situent approximativement entre 20 Hz et 20 kHz.
En-dessous de ces valeurs, on se situe dans la plage des infrasons – que les éléphants, par exemple, utilisent pour communiquer à grande distance – et au-dessus, dans celle des ultrasons – que les chiens et les chats sont capables d’entendre.
Il existe d'autres caractéristiques physiques du son comme :
son intensité, exprimée en décibels (dB), correspondant à l’amplitude de l’onde qui lui est associée ; l'intensité d'un son peut être à l'origine de nuisances sonores ; ainsi, le niveau d’une conversation animée peut atteindre les 60 dB, et le seuil de la douleur se situe à environ 130 dB.le timbre, qui est lié à la forme de l’onde ; les ondes sonores, en effet, ne se représentent généralement pas à l’aide de sinusoïdes parfaites.
Vitesse de propagation d’une onde sonore
La vitesse du son dépend de la nature, de la température et de la pression du milieu dans lequel l’onde acoustique se propage. Au cas d’une propagation dans un gaz parfait, la vitesse augmente lorsque la densité et/ou la compressibilité du gaz augmente.
Dans les conditions normales de température et de pression, la vitesse du son dans l’air est d’environ 340 m.s-1. Dans l’eau, elle est près de cinq fois plus élevée.
Lorsqu'un objet se déplace plus vite que le son dans un milieu donné, on dit qu'il franchit le mur du son.

Onde sonore

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Pour d&eacute;sengorger le trafic a&eacute;rien, il est possible de r&eacute;duire la taille des avions et distribuer le trafic sur des a&eacute;roports plus petits et plus nombreux. Dans cette perspective, GE Aviation a &eacute;tudi&eacute; ce petit appareil de 20 places propuls&eacute; par des turbopropulseurs, autrement dit des h&eacute;lices, qui permettent des d&eacute;collages et des atterrissages courts. Une [popupdefinition id=3652]pile &agrave; combustible[/popupdefinition] produirait l'[popupdefinition id=15884]&eacute;nergie[/popupdefinition] &eacute;lectrique &agrave; bord. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], GE Aviation

Le petit avion de GE Aviation pour déconcentrer le trafic aérien

Le principe de fonctionnement de la pile à combustible repose sur l’oxydation d’un combustible (par exemple l’hydrogène) et la réduction d’un comburant (par exemple l’oxygène) aboutissant à la production simultanée d’eau, d’énergie électrique (W) et de chaleur (Q). Elle est constituée par deux électrodes (une anode émettrice d’électrons et une cathode réceptrice d’électrons), séparées par un électrolyte permettant le passage des ions. Une membrane évite la mise en contact des réactifs à l’anode et à la cathode.À l’anode, on a donc une oxydation électrochimique de l’hydrogène : H2 → 2H+ + 2e-À la cathode, on observe la réduction de l’oxygène 1⁄2O2 + 2H+ +2e- → H2OLe bilan global est alors : H2 + 1/2 O2 → H2OSelon les paramètres souhaités ou les applications, il existe différents types de piles à combustible utilisant des électrolytes et des électrodes de nature différente. La PEMFC (Proton Exchange Membrane Fuel Cell, ou pile à membrane à échange de protons) est, par exemple, utilisée par tous les constructeurs automobiles car elle fonctionne à basse température et évite un chauffage préalable, permettant un démarrage rapide. Grâce à son électrolyte solide, elle a aussi une durée de vie plus longue (jusqu’à 100.000 heures) et elle est compacte, ce qui en fait également un candidat idéal pour l’électronique portable (téléphones, caméras, groupes électrogènes…). Son inconvénient : le platine, utilisé comme catalyseur aux électrodes, coûte très cher. Fonctionnement d’une pile PEMFC ﻿© Connaissance des ÉnergiesPlusieurs types de piles à combustibleAutre technologie, la MCFC (Molten Carbonate Fuel Cell), dont l’électrolyte est constitué de sels fondus et qui utilise le nickel comme catalyseur, ou encore la SOFC (Solid Oxide Fuel Cell), avec un électrolyte en céramique et qui offre un excellent rendement, supérieur à 80 %. D’autres piles font l’objet de recherches mais n’en sont pas encore au stade industriel, comme les MFC (Microbial Fuel Cell), qui produisent de l’électricité par digestion de microbes lors du traitement des eaux usées. À noter que si l’hydrogène est le combustible le plus largement utilisé, il est parfaitement possible d’envisager une pile à combustible fonctionnant au méthane (Direct Methanol Fuel Cell﻿), à l’éthanol ou au gaz naturel.Les différents types de piles à combustible et leur utilisation. © C.D, Futura, d’après AfhypacLes applications de la pile à combustibleLes principaux domaines d’applications de la pile à combustible sont le transport (voitures, bus, bateaux…), l’électronique (micropiles à combustible), la production d’électricité ou encore l’espace (alimentation des satellites). Silencieuses, modulaires, sans rejet de CO2 (pour les piles à hydrogène), les piles à combustible ont de sérieux atouts. Mais si l’hydrogène est produit avec des énergies fossiles (ce qui est encore aujourd’hui majoritairement le cas), le bénéfice environnemental est nul. En revanche, elle pourrait s’avérer très utile comme moyen de stockage et de production à partir des énergies intermittentes, en plein essor. Autres freins : le coût élevé du platine et les problèmes de sécurité (l’hydrogène est un gaz hautement inflammable et explosif en présence d’oxygène).

Pile à combustible

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L&rsquo;&eacute;quipe du projet CleanEra, men&eacute;e par Etnel Straatsma, de l&rsquo;universit&eacute; technologique de Delft (Hollande), a imagin&eacute; une gigantesque soucoupe volante, une forme cens&eacute;e r&eacute;duire la consommation. Cette &eacute;quipe hollandaise &eacute;tudie diff&eacute;rentes solutions pour des avions plus &eacute;conomes, notamment le retour &agrave; l&rsquo;h&eacute;lice. &copy; CleanEra, Delft University of Technology

Projet CleanEra : pourquoi pas une soucoupe volante ?

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[popupdefinition id=546]Icon[/popupdefinition]-II est une &eacute;tude de Boeing pour un supersonique silencieux, du moins &agrave; peu pr&egrave;s exempt de bang supersonique. Il pourrait voler plus vite que le son au-dessus des terres habit&eacute;es, contrairement au [popupdefinition id=4277]Concorde[/popupdefinition] auquel certaines contraintes &eacute;taient impos&eacute;es. On remarque les r&eacute;acteurs plac&eacute;s au-dessus des ailes. &copy; [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition], Boeing

Icon-II, le Boeing supersonique silencieux

Sur un écran, symbole graphique qui représente une fonction ou une application logicielle particulière que l'on peut sélectionner et activer à partir d'un dispositif tel qu'une souris.Anglais : icon.

Icône

Le Concorde était un avion supersonique, dont la vitesse de croisière atteignait Mach 2,02 et volant à une altitude comprise entre 16.000 et 18.000 m. Il était doté d'une aile delta et de moteurs à postcombustion. Son premier vol commercial date du 21 janvier 1976, et, suite à un tragique accident, ses vols ont été suspendus. Son dernier vol date du 26 novembre 2003.

Un Concorde d'Air France à l'atterrissage. © DR
Histoire du Concorde
Le Concorde a volé pour la première fois le 2 mars 1969, pendant 42 minutes, à la vitesse maximum de 463 kilomètres à l'heure.
C'est en 1959 qu'ont eu lieu les premières ébauches de projet d'avion supersonique pour succéder au malheureux Comet, la Bac (sous la houlette du Dr. Archibald Rusell, son directeur technique) et le gouvernement britannique souhaitant mettre au point 2 projets : l'un de 50 passagers à Mach 2 et l'autre de 100 passagers à Mach 1,2, le « Bac 223 ».
En France c'est vers 1960 que les sociétés Sud Aviation, Nord Aviation et Dassault ont également l'idée d'un moyen courrier à Mach 2, la SuperCaravelle. Finalement Sud Aviation, avec son directeur Louis Guista, sera le principal maître d'œuvre du projet côté français.
Le 13 janvier 1963, le président de la République Charles de Gaulle prononce officiellement le nom « Concorde » lors d'un discours de politique générale. Outre-Manche, le gouvernement retient Concord, sans le e final. Le 24 octobre 1963 est présentée la première maquette en bois à l'échelle 1 à Filton. Cette maquette est destinée aux études des divers aménagements et passages de tuyauteries. Le CEAT à Toulouse recevra lui aussi une maquette en bois pour les aménagements divers dans le fuselage.
Le 12 janvier 1979, le Concorde reçoit sa certification par la FAA.
Le 21 septembre 1979, les gouvernements britannique et français décident d'un commun accord d'arrêter la production du supersonique. À Toulouse comme à Filton, les chaînes de montage s'arrêtent, près de douze ans après la sortie du premier prototype. En tout, 16 appareils et 88 réacteurs auront été construits. Les cinq Concorde invendus vont être attribués aux opérateurs des deux pays : British Airways, qui possède cinq supersoniques, obtiendra ainsi deux Concorde alors qu'Air France, dont la flotte comprend quatre Concorde, s'est engagée à verser un franc symbolique pour chacun des trois avions qui va leur être attribué.
Le mardi 25 juillet 2000, un Concorde de la compagnie Air France s'écrase à Gonesse, dans le Val d'Oise, avec cent personnes a bord. Lors de décollage de la piste 26 droite de l'aérodrome de Paris-Charles de Gaulle, peu avant la rotation, le pneu avant droit du train gauche se détériore et des morceaux de pneu sont projetés contre la structure. Un feu important se déclare sous la voilure gauche. Des problèmes moteur apparaissent peu après sur le moteur 2 et momentanément sur le moteur 1. L'avion ne peut ni prendre d'altitude ni accélérer. L'équipage constate que le train ne rentre pas. À la vitesse de 200 nœuds et à l'altitude radio sonde de 200 pieds, il vole pendant environ une minute. Le moteur 1 s'arrête. L'avion s'écrase sur un hôtel au lieu-dit La Patte d'Oie de Gonesse.
23 juillet 2005, après quatre ans d'expertises, l'information judiciaire ouverte au lendemain de l'accident aboutit fin 2004 à un rapport final désignant deux causes majeures :
une lamelle métallique, perdue avant le décollage du Concorde par un DC-10 de Continental Airlines ; un défaut du Concorde au niveau de l'intrados de l'aile de l'avion, connu du constructeur depuis 1979.
Caractéristiques techniques

Longueur : 62,10 mEnvergure : 25,56 m Hauteur : 11,40 m Largeur fuselage : 2,87 mLongueur entre trains : 18,19 m Largeur entre trains : 7,72 m Passagers : 100Personnel navigant technique : 2 pilotes + 1 ingénieur mécanicien Personnel navigant commercial : 6Masse à vide : 77.500 kg Masse maximum hors carburant : 92.080 kg Charge nominale : 11.340 kg Charge maximale : 12.700 kg Capacité maximum de kérosène : 119.280 litres (95 tonnes)Motorisation : 4 turboréacteurs Rolls-Royce Snecma Olympus 593-610Poussée : 4 * 17.260 kgp soit 69.040 Kgp au totalRayon d'action maximal avec phase supersonique : 6.580 km Rayon d'action maximal sans phase supersonique à Mach 0,95 et 9.100 m : 5.110 kmAltitude de croisière : entre 16.000 et 18.000 mVitesse de croisière : mach 2,02, soit environ 2.179 km/h à 18.000 m

Concorde

4640_icon-ii--le-boeing-supersonique-silencieux

Sur ce concept d'avion &eacute;tudi&eacute; par Airbus pour 2030 &agrave; 2050, les ailes sont plus longues et plus fines, pour une meilleure efficacit&eacute;, le [popupdefinition id=2057]fuselage[/popupdefinition] n'est pas tubulaire mais &eacute;largi, pour un [popupdefinition id=15919]volume[/popupdefinition] int&eacute;rieur plus grand, les r&eacute;acteurs sont install&eacute;s contre le fuselage et non sous les ailes. Selon Airbus, la fiabilit&eacute; des moteurs futurs sera meilleure et r&eacute;duira le besoin d'une grande accessibilit&eacute;. Cette disposition r&eacute;duit le bruit et autorise des voilures diff&eacute;rentes. Ici, l'[popupdefinition id=2055]empennage[/popupdefinition] est en U, sans queue centrale. &copy; Airbus

Un Airbus aux longues ailes

Pour le physicien, le volume représente l’espace occupé par un corps, quel que soit son état, solide, liquide ou gazeux. Les solides et les liquides disposent d’ailleurs d’un volume propre, contrairement aux gaz.Volume : mètre cube et litreDans le système international, l’unité de volume est le mètre cube (m3). Toutefois, le litre reste largement employé, lorsqu’il s’agit de parler du volume d’un liquide notamment.Le volume est une grandeur que l’on qualifie de grandeur extensive. Le volume d’un corps est proportionnel à la quantité de matière que ce corps contient.Calcul : déterminer un volumePour mesurer le volume d’un liquide, par exemple, on peut le verser dans une éprouvette graduée et lire l’indication qui correspond au bas du ménisque formé par la surface libre du liquide.Pour mesurer le volume d’un solide, on peut le plonger dans un liquide. Une lecture de la hauteur du liquide, avant et après, permet de déduire le volume du solide.Le volume d’un solide peut être calculé mathématiquement, s’il s’agit d’un solide de forme régulière. Ainsi, le volume d’un cube est donné par la formule suivante : V = c3 ; celui d’un parallélépipède rectangle, par la formule : V = L x l x h.Quel outil permet de faire une mesure de volume ?Pour mesurer un volume, l'un des outils les plus couramment utilisés est l'éprouvette graduée. Cette verrerie de laboratoire présente des marques de graduation le long de son corps transparent, ce qui permet de quantifier avec précision le volume d'un liquide. En remplissant l'éprouvette jusqu'à un certain niveau et en lisant la mesure à la hauteur du liquide, il est possible d'obtenir une estimation précise du volume occupé. L'éprouvette est largement utilisée dans divers domaines tels que la chimie, la biologie, la pharmacie et l'industrie alimentaire pour des mesures précises de volumes liquides.Le cylindre gradué, un autre instrument pour mesurer le volume Pour mesurer un volume, le cylindre gradué est également fréquemment employé. Cet instrument de mesure présente des marques de graduation le long de sa paroi, permettant ainsi de quantifier le volume d'un liquide ou d'un solide granulaire. En remplissant le cylindre jusqu'à un certain niveau et en relevant la mesure à la hauteur du liquide ou des particules solides, il est possible d'estimer avec précision le volume occupé

Volume

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Le concept de &laquo; rotor ouvert &raquo; (open rotor) est &agrave; l'&eacute;tude chez plusieurs motoristes, comme Snecma (du groupe [popupdefinition id=10390]Safran[/popupdefinition]). L'id&eacute;e n'est pas nouvelle puisqu'elle a &eacute;t&eacute; test&eacute;e, sous le nom de UDF (pour unducted fan), dans les ann&eacute;es 1980... et abandonn&eacute;e. Mais la voil&agrave; de nouveau sur les rails, avec l'espoir d'une r&eacute;duction de la consommation de 25 %.Comme dans un r&eacute;acteur double flux actuel, la partie centrale est une turbine qui assure une pouss&eacute;e avec un flux d'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition] chaud et acc&eacute;l&eacute;r&eacute;. Autour, une &laquo; soufflante &raquo;, entra&icirc;n&eacute;e par cette m&ecirc;me turbine, fonctionne un peu comme une h&eacute;lice. Elle produit un flux annulaire autour du flux chaud. Le principe de l'open rotor est d'&ocirc;ter le [popupdefinition id=2054]car&eacute;nage[/popupdefinition] du r&eacute;acteur et d'installer une soufflante prenant la forme de deux [popupdefinition id=2065]propulseurs[/popupdefinition] &agrave; pales contrarotatives (tournant en sens inverse). &copy; Snecma

Moteur du futur : le retour de l'hélice grâce à l'open rotor ?

De la famille des iridacées, le safran est originaire d’Asie. Surtout connu comme une épice précieuse, le safran a pourtant aussi, d’autres utilisations. Utilisé en phytothérapie traditionnelle, il serait notamment efficace pour soulager les douleurs de la poussée dentaire. Mais son coût élevé constitue un réel obstacle ! Le safran en effet n’est pas une plante mais seulement le pistil d’une petite plante à bulbe – une variété de crocus cultivée pour ses qualités aromatiques. 
À l’automne, Crocus sativus L. donne une à deux fleurs violettes divisées en 6 lobes. Leur pistil (ou style) jaune se partage en trois, chaque partie étant terminée par un stigmate orangé. C’est ce dernier qui est récolté, coupé à la main, puis séché pour acquérir l’arôme particulier du safran. 
Du safran pour soulager les douleurs de la poussée dentaire 
En médecine chinoise, classé parmi les plantes dites « à saveur douce et de nature sèche », le safran est prescrit pour son action sédative. Notamment dans le traitement de différents types de mélancolie, en cas d’aménorrhée ainsi que pour lutter contre les douleurs abdominales. 
À fortes doses, c’est-à-dire au-delà de 5 g (une fortune !), le safran aurait des effets toxiques. L’utilisation de la plante est donc déconseillée par voie orale. Le safran est par ailleurs utilisé en pharmacologie pour la préparation de teintures, d’eaux oculaires et de collyres. Mais surtout de pilules abortives. Des chercheurs indiens auraient démontré que le safran possédait une activité antioxydante. Par ailleurs, des études menées sur l’animal ont montré que certains composants de la plante (des lectines, la crocine) se révélaient capables d’empêcher le développement de certains cancers. Ce qui reste bien entendu à confirmer. 
Source : Plantes médicinales, Gründ

Safran

Dispositif embarqué sur un lanceur ou un missile destiné à produire la force assurant son déplacement.

Propulseur

Panneau généralement démontable, en matériaux composites ou métalliques recouvrant les organes qui, sur un aéronef ou un engin, constitue un volume externe au fuselage ou à la voilure.
Les moteurs, les trains d'atterrissage, les boîtes et arbres de transmission sont recouverts par des carénages. Sur le plan aérodynamique, ces carénages doivent permettre de réduire autant que possible la traînée provoquée par le volume excroissant et sont conçus pour pouvoir jouer, en vol, le même rôle que n'importe quelle autre partie de revêtement du fuselage ou de la voilure. Ainsi distingue-t-on :• des carénages d'emplanture d'ailes (Karman) ou de dérive ;• des carénages de train sur les avions et les hélicoptères ;• des carénages de moteur ou d'éléments mécaniques comme les boîtes et arbres de transmission d'hélicoptère ;• des carénages d'entrées d'air à l'avant des turbines d'hélicoptère ou d'avion, etc.Les carénages sont le plus souvent démontables pour pouvoir accéder à l'organe qu'ils recouvrent sous tous les angles.

Carénage

4652_moteur-du-futur-:-le-retour-de-l-helice-grace-a-l-open-rotor--

Le [popupdefinition id=11117]dirigeable[/popupdefinition] joue l'&eacute;ternel retour : &eacute;conomique, spacieux et capable d'emporter d'&eacute;normes charges, il pr&eacute;sente de bons atouts. Mais il a aussi quelques d&eacute;fauts : il est lent, difficile &agrave; man&oelig;uvrer (surtout par grand [popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition]) et il est vraiment tr&egrave;s encombrant. L'id&eacute;e reste cependant toujours valable, notamment pour des transports de fret et pour des missions de surveillance. L'entreprise Aeros, sp&eacute;cialiste du domaine, a pr&eacute;sent&eacute; un projet pour une sorte de yacht a&eacute;rien de luxe, l'Aeroscraft ML 866. Son avenir est incertain mais il illustre la persistance de l'id&eacute;e d'utiliser des &laquo; [popupdefinition id=2052]a&eacute;ronefs[/popupdefinition] &raquo; plus l&eacute;gers que l'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition]. &copy; Aeros

L'Aeroscraft ML 866, un dirigeable de luxe

Le dirigeable, ou ballon dirigeable, est un aéronef nommé aussi aérostat. Il possède la caractéristique essentielle d'être plus léger que l'air. Le dirigeable dispose de plusieurs dispositifs pour amener à son décollage, à son atterrissage et à sa propulsion. Il se distingue des montgolfières et des ballons par le fait qu'il est capable de ne pas subir la direction des vents. Il est ainsi totalement manœuvrable verticalement.
Inventé en 1852 par Henri Giffard
Principe et description du ballon dirigeable
Son invention est attribuée à Henri Giffard, chercheur français spécialisé dans le domaine de la navigation aérienne. Il passe à la postérité en 1852, lorsqu'il parvient à faire voler son dirigeable le 24 septembre de cette même année, entre l'hippodrome de Paris et la ville de Trappes, parcourant de ce fait 27 km. Son engin mesure 44 m de long et possède une forme en cigare. Il est muni d'un moteur à vapeur qui actionne une hélice positionnée sous le ventre de l'appareil. Henri Giffard atteint une vitesse de 10 km/h, mais la dirigeabilité de son aérostat ne lui permet pas de remonter des courants venteux puissants. Par cet exploit retentissant, Henri Giffard est considéré, à l'image des frères Montgolfier et Wright, comme un précurseur du vol aérien. 
Évolution du dirigeable
Il faut par la suite attendre 1871 pour que le Français Henri Dupuy de Lôme développe une nouvelle version d'aérostat motorisé. D'autres noms d'inventeurs jalonnent son évolution : Gaston et Albert Tissandier, Charles Renard et Arthur Krebs, David Schwartz, etc. Le dirigeable connaît son âge d'or dans l'entre-deux-guerres, notamment avec le ballon Zeppelin. Désormais, l'aérostat utilise la propulsion par hélices par des moteurs à explosion, par des moteurs électriques grâce à l'énergie photovoltaïque et même par des pédaliers.

Dirigeable

Tout appareil, conçu par l'homme, capable de s'élever ou de circuler dans les airs.

Aéronef

Le vent correspond au déplacement d’une masse d’air consécutif à des différences locales de température et de pression. D’une légère brise à une forte tempête, la vitesse et l’amplitude géographique des vents peuvent être très variables dans l’espace et dans le temps. Parfois destructeur, le vent participe à de nombreux processus sur Terre, comme l’oxygénation des océans et des rivières, ou l’érosion des sols et le déplacement de minéraux. L'Homme l’utilise aujourd’hui comme source d’énergie : l’éolien.
Principe de formation du vent
Deux paramètres principaux contribuent à la formation des vents à la surface de la Terre : la température et la pression. Par exemple, lorsqu’une masse d’air se réchauffe, elle s’élève en altitude au-dessus des couches plus froides, ce qui génère une diminution de la pression. Pour combler le vide, la masse d’air voisine va s’engouffrer dans l’espace laissé vacant : ce mouvement crée le vent.
Un exemple concret : celui de la brise de mer et la brise de terre. Le jour, la terre se réchauffe plus vite que la mer. L’air au-dessus de la terre s’élève et crée une dépression, compensée par l’air surplombant la mer, générant ainsi une brise qui circule de la mer vers le continent. À l’inverse, la nuit, l’eau conserve mieux sa chaleur et l’air de la terre se refroidit plus vite. Cette différence thermique génère un courant d’air de la terre vers la mer : une brise de terre.
La rotation de la Terre sur elle-même contribue également à la formation des vents, à leur localisation et à leur orientation, par la force de Coriolis. À cela, il faut également rajouter la topographie des continents qui peut favoriser les rencontres entre les masses d’air
La mesure du vent
La vitesse du vent se mesure à l’aide d’un anémomètre. Des échelles ont été établies afin d’estimer l’intensité des vents. L’échelle de Beaufort s’étale de 0 à 12. Elle repose sur la vitesse moyenne des vents sur une durée de 10 minutes, utilisée en association avec l’état de la mer qui en découle. Au niveau 0, le vent est nul, tandis qu’au niveau 12, les vents d’un ouragan soufflent à plus de 118 km/h, générant une mer déchaînée. L’échelle de Fujita se limite quant à elle à la classification des tornades, phénomène climatique générant les vents les plus violents à l’échelle de la Terre, mais sur une petite zone géographique.
L’éolien, l’énergie tirée du vent
Le vent fait également office d’énergie renouvelable et devient de plus en plus prisé afin de compenser les énergies fossiles, accusées de contribuer au réchauffement climatique, ou le nucléaire, du fait des potentiels dangers que cette source énergétique représente. En 2012 par exemple, en France, le vent a généré 14,9 térawattheures (TWh) d’électricité. En 2011, 459,9 TWh d’électricité ont été produits par l’énergie éolienne dans le monde.

Vent

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Pour r&eacute;duire le bruit des avions per&ccedil;u au sol, une excellente solution, simple mais efficace, est d'installer les moteurs au-dessus de l'avion. Pourquoi n'y a-t-on pas pens&eacute; plus t&ocirc;t ? Parce que les &eacute;quipes de maintenance n'aiment pas... L'acc&egrave;s ais&eacute; aux moteurs est en effet un gage de s&eacute;curit&eacute; mais aussi d'&eacute;conomie puisqu'il est plus rapide. Les placer sur le [popupdefinition id=2057]fuselage[/popupdefinition] ou les ailes, voire les int&eacute;grer dans le corps de l'avion, comme dans les ailes volantes, a toujours fait peur aux avionneurs. Mais si les moteurs du futur sont plus fiables ? &copy; Bauhaus Luftfahrt

Des moteurs au-dessus de l'avion plutôt que dessous

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Avec le projet X48, Boeing reprend une &eacute;tude sur une aile volante men&eacute;e par McDonnell Douglas dans les ann&eacute;es 1990. Le projet s'est poursuivi sous la forme d'une collaboration avec la [popupdefinition id=2468]Nasa[/popupdefinition] et l'universit&eacute; britannique de Cranfield pour un appareil &agrave; [popupdefinition id=2057]fuselage[/popupdefinition] porteur. Apr&egrave;s le X48A, rest&eacute; dans les cartons, deux mod&egrave;les r&eacute;duits baptis&eacute;s X48B ont &eacute;t&eacute; construits et test&eacute;s en vol. Une autre version, le X48C, a &eacute;t&eacute; test&eacute; en vol &eacute;galement entre 2012 et 2013.En 2011, Boeing a pr&eacute;sent&eacute; ce projet &agrave; la Nasa dans le cadre de son &eacute;tude sur les avions de 2025. On voit ici une image d'artiste avec deux types de motorisation. Les moteurs sont install&eacute;s sur la partie sup&eacute;rieure, ce qui r&eacute;duit le bruit per&ccedil;u au sol. &copy; Nasa, The Boeing Company

Le projet X48, de Boeing, basé sur une étude de McDonnell Douglas

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Le concept de Boeing X48 BWB (Blended Wing Body, [popupdefinition id=2057]fuselage[/popupdefinition] porteur) a inspir&eacute; des plaisantins qui ont utilis&eacute; cette image publi&eacute;e dans la revue Popular Science pour annoncer, au moment de la pr&eacute;sentation de l'Airbus A380, ce &laquo; Boeing 797 &raquo; qui pourrait embarquer un millier de passagers. Il s'agissait d'un [popupdefinition id=15672]canular[/popupdefinition] (ou hoax) mais la r&eacute;alit&eacute; pourrait un jour rattraper la fiction... &copy; DR

Hoax : le Boeing 797, un vrai-faux projet d'avion géant - Photos Futura

Corps fuselé qui, sur un avion, un planeur ou un giravion, relie la voilure à l'empennage et constitue généralement la partie qui reçoit la charge transportée. 
Le fuselage d'un avion monomoteur conti...

Hoax est un terme anglais qui signifie « canular ». En informatique, il s’agit d’une information erronée ou invérifiable qui profite de la puissance d’Internet pour se propager à grande échelle.Exempl...

Hoax

Hoax : le Boeing 797, un vrai-faux projet d'avion géant

4630_hoax-:-le-boeing-797--un-vrai-faux-projet-d-avion-geant

Aile volante

Avion géant

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Sugar Volt

Avion hybride

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Les gaz à effet de serre (GES) sont les gaz qui participent à l'effet de serre. L'augmentation de leur concentration dans l'atmosphère terrestre est à l'origine du réchauffement climatique.
 Pour appréhender le réchauffement climatique, il faut comprendre son lien avec le phénomène naturel de l’effet de serre. François-Marie Bréon, chercheur au laboratoire des sciences du climat, a accepté de clarifier la question au cours de cette interview. © Futura-Sciences
Les principaux gaz à effet de serre émis par l’activité humaine sont :
 la vapeur d'eau (H2O) ; le dioxyde de carbone (CO2) ; le méthane (CH4) ; le protoxyde d’azote (ou N2O) ; l'ozone (O3). 
Citons aussi : les chlorofluorocarbures (CFC), le perfluorométhane (CF4), etc.

Gaz à effet de serre

Une automobile est un véhicule terrestre disposant de roues et équipé d'un moteur embarqué qui le propulse. 
Inventée en 1886 par Carl Benz
La toute première automobile : à vapeur 
La première ébauche d'un véhicule mobile a lieu en 1796 lorsque le Français Joseph Cugnot plaça une machine à vapeur à l'arrière d'une charrette : le fardier. Plusieurs tentatives furent opérées dans les décennies suivantes, toutes se basant sur la machine à vapeur. Mais cette dernière empêchait tout véhicule de devenir réellement mobile, en raison de sa lourdeur, de sa faible vitesse et de son autonomie de quelques dizaines de minutes. Il fallut attendre le moteur à explosion en 1859 pour voir apparaître les premières automobiles.
Les évolutions de l'automobile moderne
L'ingénieur allemand Carl Benz est considéré comme l'inventeur de l'automobile moderne : il s'inspira du modèle de moteur mis au point par Nikolaus Otto pour créer son véhicule, équipé de trois roues et d'un moteur à explosion. Il dépose alors un brevet qui est validé le 29 janvier 1886. Carl Benz entreprend immédiatement la création d'une entreprise qui porte son nom et qui, en l'espace de 15 ans, devient leader mondial de ce secteur. À partir des années 1920, l'automobile se démocratise dans le monde entier, avec le développement des routes goudronnées et l'instauration du code de la route. Elle est composée d'un châssis roulant sur lequel est installé un groupe motopropulseur commandé par le conducteur à l'aide d'un volant et d'éventuelles pédales. Le moteur installé est un moteur à combustion interne ou un moteur électrique. L'essor des accessoires tels que l'ABS et l'airbag lui ont permis de devenir plus sûre et de réduire le nombre de morts sur les routes.