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La grande innovation n’est pas les mains, ni même l’architecture du robot, mais dans les capteurs présents sur l’exosquelette qui en permettent le contrôle. En effet, ce sont les mains du pilote qui, en se déplaçant, contrôlent celles du robot et ce de façon très précise. L’interface inclut aussi un retour de force, permettant au porteur de sentir les mouvements qui pourraient le déséquilibrer.
Le robot est aussi équipé d’une caméra, laissant à son conducteur le loisir de percevoir ce qui l’entoure en vue subjective. Ce type de robots pourrait avoir une application en cas de catastrophe naturelle, la où les réflexes et l’intelligence humaine sont indispensables pour agir vite, tout en réduisant les risques physiques à zéro, puisque seul le robot se trouve exposé.
© MIT