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Le grand show d'Apple, c'est aujourd'hui. © Apple
Comme GoogleGoogle et Amazon, qui ont lancé des services de ce genre, Apple veut sa part du gâteau de l'informatique dans les nuagesnuages, le cloud computing, qui installe les données et les moyens informatiques sur le réseau plutôt que dans un ordinateur. Présenté comme une évolution de l'iTunesiTunes, cet iCloud commercialisera des morceaux de musique et des films qui ne seront pas téléchargés par l'acheteur mais simplement loués et accessibles à tout moment.
Apple a déjà tâté du cloud avec Mobile Me, un service de synchronisation des agendas, carnets d'adresses et boîtes à courriels entre iPadiPad et iPhone. Coûteux (80 euros par an en France), Mobile Me n'a pas rencontré un gros succès.
Boutiques en ligne
L'idée de multimédia en streamingstreaming est dans l'airair du temps. Google a lancé le 10 mai dernier son service Music aux États-Unis, peu après le Cloud Drive d'Amazon, ouvert en mars. Réservées au système d'exploitationsystème d'exploitation Android, ces deux boutiques en ligne ne sont donc pas accessibles aux iPhoneiPhone et iPodiPod d'Apple.
Réponse du berger à la bergère, l'iCloud sera destiné aux appareils d'Apple. Une fois de plus, les appareils mobiles sont considérés comme des Caddy pour aller acheter des produits dans les boutiques de la marque.
Steve JobsSteve Jobs, toujours en congé maladie, présentera lui-même ce nouveau service ce soir à Cupertino pour la WWDC 2011, World Wide Developper Conference, la présentation annuelle des projets de l'entreprise. D'autres annonces sont au programme. Peut-être y aura-t-il au menu d'autres services en cloud.