Nicolas Gérardin explique comment les mesures prises en faveur du mérou brun dans le parc national de Port-Cros ont permis d’augmenter la population de quelques dizaines d’individus dans les années 1970 à plus de 500 de nos jours.

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    Dans les années 1970, la chasse sous-marine, la pêchepêche à l'hameçon ou le dérangement par les mouillages des bateaux menacent le mérou brunmérou brun à Port-Cros. Un groupe de protection se forme alors pour réagir. Afin d'observer les effets de mesures de protection (suspension de sa chasse et de sa pêche), un collectif de plongeurs recense les mérous tous les trois ans dans la zone. Attaché au parc national de Port-Cros, Nicolas Gérardin se réjouit des résultats. L'accroissement de la population est au rendez-vous à chaque recensement, avec environ 500 individus actuellement. © Nature Productions