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Conclusion et remerciements
Mal comprise au XIXe siècle, lorsque les programmes scolaires d'Histoire ont été établis dans leurs grandes lignes, et laissée dans l'ombre à cause de la prédominance de l'étude des civilisations gréco-latines dans le cursus universitaire français, la connaissance des Celtes a fait des progrès extraordinaires en Europe au cours du XXe siècle et mériterait qu'on lui accordât à l'école la même place qu'à d'autres périodes de notre Histoire.
Après avoir été creusé, le fossé s'est peu à peu rempli d'une terre de surface. Une coupe pratiquée perpendiculairement à son axe permet d'en établir la forme et les mesures, grâce au contrastecontraste des couleurs correspondant aux terres différentes.
Le substrat celtique toujours présent
En effet le substratsubstrat celtique demeure dans la société de l'Europe, en Alsace comme ailleurs, non seulement en osmose avec la civilisation gréco-romaine, mais ensuite lié au christianisme. II n'est pas concevable de nos jours, au vu de ces apports divers, de ces brassages de populations qui non seulement ont touché l'Europe elle-même, mais aussi mêlé l'Europe et l'Orient, d'exagérer ou de minimiser telle ou telle influence. Nier un seul de ces apports, c'est appauvrir la vision et la compréhension de notre culture.
Remerciements à Bernard Normand, Docteur ès Lettres et Sciences Humaines et à Pierre Kessler, Responsable des productions numériquesnumériques et webmestre : CRDP d'Alsace