En 1957, en plein cœur de la guerre froide, l'Année géophysique internationale avait vu la naissance d'une coopération scientifique mondiale. A l'occasion de son cinquantième anniversaire, quatre événements scientifiques sont prévus cette année : l'Année polaire internationale, l'Année internationale de la planète Terre, l'Année géophysique électronique et l'Année internationale de l'héliophysique.
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La première Assemblée générale européenne de l'année internationale de l'héliophysique se tient du 10 au 13 Janvier à Paris. Jean-Louis Bougeret, directeur du Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysiqueastrophysique, et Anne-Marie Lagrange, directrice adjointe scientifique à l'Institut National des Sciences de l'UniversUnivers du CNRS, seront de la partie.

D'après une source du CNRS, l'un des objectifs de cette discipline est " d'étudier le système Soleil/Héliosphère (la zone où souffle le vent solairevent solaire, qui entoure le SoleilSoleil et s'étend au-delà de l'orbiteorbite de PlutonPluton) pour identifier les facteurs influençant :

  • Le climatclimat terrestre et l'actuel réchauffement climatiqueréchauffement climatique ;
  • Les instruments des avions et des satellites ;
  • La santé humaine des équipages, passagers et astronautesastronautes ;

  • Les télécommunications ;
  • Les centrales électriques ;
  • Les plasmasplasmas et leur confinement pour la fusion nucléaire".