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La station spatiale internationale terminée (dessin d'artiste).
Elle s'apprête donc à soumettre une liste de risques potentiels à l'Engineering and Safety Center (Virginie), organisme indépendant créé à la suite du crash de la navette pour contrôler les mesures de sécurité de la NASA.
Ce document met notamment en avant les problèmes liés aux collisions avec les micrométéorites ou des objets de fabrication humaine (morceaux de satellites ou de fuséesfusées) ainsi que ceux liés à la présence de bactériesbactéries dans les systèmes de refroidissement de la station.
La communication difficile entre la NASA et son homologue russe, qui se partagent la gestion de l'ISSISS, reste également un problème sérieux. Celui-ci avait d'ailleurs été pointé en son temps par l'Aerospace Safety Advisory Panel, dissout la semaine dernière, toujours en conséquence de la catastrophe de ColumbiaColumbia.