Simulation du lancement de la mission GPM Core Observatory depuis le centre spatial japonais Tanegashima, prévu le 27 février 2014 par un lanceur H-IIA. À 407 km du sol, ce satellite, réalisé par la Nasa et la Jaxa, mesurera pendant trois ans les teneurs en eau de l'atmosphère sous différentes formes (liquide, vapeur ou glace). © Jaxa

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    La mission GPM (Global Precipitation Measurement), de la Jaxa (agence spatiale japonaiseagence spatiale japonaise) et de la Nasa (et dirigée par le centre Goddard), s'inscrit dans un travail de surveillance plus vaste mené par une constellation de satellites réalisés par d'autres agences spatiales (dont l'Esa). Cette armada doit surveiller, toutes les deux à trois heures, les précipitationsprécipitations sur toute la planète. Ces observations doivent servir à mieux comprendre le climatclimat et, potentiellement, à mieux prédire des événements catastrophiques. © Jaxa