Les médecins savent que la pratique régulière de l'exercice physique réduit le risque d'attaques cardiaques ou cérébrales, mais jusqu'à présent, faute d'étude approfondie sur le sujet, ils n'avaient aucune explication à proposer.

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    Crédits :  INSERM 90.BIOMATERIAUX. RUPTURE DE PLUSIEURS FIBRES SUR UNE PROTHESE CARDIAQUE EN POLYESTER.

    Crédits : INSERM 90.BIOMATERIAUX. RUPTURE DE PLUSIEURS FIBRES SUR UNE PROTHESE CARDIAQUE EN POLYESTER.

    Une équipe dirigée par les cardiologuescardiologues du Duke University Medical Center de Durham (North Carolina) publie dans le New England Journal of Medicine les résultats d'une étude portant sur 84 volontaires divisés en quatre groupes, les volontaires des trois premiers pratiquant une activité physiquephysique, en l'occurrence de la course à pied, ceux du quatrième groupe n'étant soumis à aucun exercice.

    Au commencement de l'étude, tous les volontaires, s'ils faisaient preuve d'un certain embonpoint, ne devaient en aucun cas avoir pour objectif de perdre du poids mais se contenter de respecter le programme à suivre.

    Au bout de huit mois, les médecins ont enregistré le taux de "bon" cholestérol le plus haut et de "mauvais" cholestérol le plus bas chez les volontaires totalisant la duréedurée d'exercice la plus longue.
    Ces recherches confirment que la pratique régulière de l'exercice s'avère plus profitable que la perte de poids pour réduire le risque de défaillances cardio-vasculaires.