Le protocole de Montréal a démontré l'action destructrice de certains fluides frigorigènes sur la couche d'ozone, notamment les CFC et HCFC. Ils ont été remplacés par les fluides frigorigènes HFC, dont les plus courants en climatisation sont le R407C et le R410A. Les HFC présentent l'avantage d'une réelle innocuité pour la couche d'ozone et la santé des utilisateurs, tout en assurant un meilleur rendement énergétique.
Problème : ce sont des gaz à effet de serre 140 à 11700 fois plus puissants que le CO2 ! D'où les nuisances causées à l'environnement par les pertes de fluide frigorigène de certains climatiseurs. Moralité de l'histoire, on recherche actuellement le moyen d'utiliser le CO2 en climatisation, chauffage et production d'eau chaude sanitaire. À suivre...
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