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    Les activités humaines concernées

    Les activités humaines concernées

    Sources de rejets atmosphériques :

    L'industrie et les transports sont producteurs de gaz toxiques qui nuisent à la végétation et aux être vivants, soit par le contact direct, soit par le retour des substances acides avec les eaux de pluie. De plus, le CO, CO² et NOxNOx sont des gaz à effet de serregaz à effet de serre et contribuent au réchauffement de la planète.

    Abattage des forêts :

    Sans compter la destruction de sources productrices d'oxygène, la végétation abattue génère aussi de grandes quantités de CO et CO² dans son processus de décomposition, le CO étant le gaz le plus toxique pour l'homme et plus généralement pour la vie.

    Agriculture :

    L'utilisation de pesticidespesticides chimiques pour « déparasiter » les cultures ainsi que les engrais riches en nitrates et phosphatesphosphates sont drainés par les eaux pluviales et atteignent des cours d'eau dont l'équilibre peut être gravement perturbé par des proliférationsd'alguesalgues indésirables qui profitent de ces apports.

    Pollution urbaine :

    Les transports comptent parmi les plus gros producteurs de gaz à effet de serre avec en plus des rejets de corps gras et d'hydrocarbures imbrûlés qui pénètrent dans le sol et polluent les nappes phréatiquesnappes phréatiques. La collecte, le tri et le recyclagerecyclage des déchetsdéchets est le second souci majeur des agglomérations, toujours en voie de progrès, mais de manière très insuffisante.

    Pollution maritime :

    Souvenez-vous de la campagne « SOS Mer Propre » de la Fondation Nicolas HulotNicolas Hulot dont les spots télévisés affichaient : « certains en font des tonnes, n'en rajoutons pas ! » ... Les tonnes sont les catastrophes pétrolières qui comprennent les échouages et accidentsaccidents de navires, mais surtout les dégazagesdégazages permanents qui au cours d'une année font bien plus de dégâts que les naufrages de l'Erica et du Prestige réunis. « Ce que l'on rajoute », ce sont les déchets abandonnés et le souillage du « je m'en foutisme » individuel qui multiplié par le nombre d'âmes concernées reste le pire fléau de la terre !

    Pollution par les déchets solides :

    C'est celle qui découle des deux points précédents, du comportement de chacun et qui sert de triste exemple dans nos activités pédagogiques.

    Copyright Photo Christian Coudre

    Copyright Photo Christian Coudre

    Hors mis les déchets non biodégradablesbiodégradables comme le verre ou les métauxmétaux lourds, la plupart des plastiquesplastiques et caoutchouc mettent des centaines d'années pour se dégrader, lorsque ce ne sont pas des sacs dérivants qui tuent directement des Cétacés, TortuesTortues, Môles, qui les ingèrent en les prenant pour des MédusesMéduses.

    De nombreux déchets solidessolides sont encore abandonnés dans la nature comme le montrent ces tristes images de plages après une belle saisonsaison touristique.