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    L'océan. C'est à cet écosystèmeécosystème vital que la Fondation Tara Océan se consacre depuis 19 ans maintenant. Et aujourd'hui, 15 ans après sa première expédition dans l'ArctiqueArctique, elle s'apprête à y relancer une base scientifique dérivante. Objectif : mieux comprendre l'impact du réchauffement climatique sur la biodiversitébiodiversité marine unique de l'Arctique ainsi que les capacités d'adaptation des espècesespèces endémiquesendémiques.

    Nous en saurons plus au moins de juin prochain, mais la Fondation annonce d'ores et déjà que la Tara Polar Station devrait se laisser piéger par les glaces de l’Arctique dès 2024. Avec pour ambition de multiplier les dérives jusqu'en 2045. Le tout mettant en collaboration de nombreux partenaires tels que le CNRS, l'Institut Polaire Français, le CEA, le Cnes ou encore l'Institut Polaire Suisse et l'Institute Alfred WegenerAlfred Wegener (Allemagne). À bord, des climatologuesclimatologues, des biologistes, des physiciensphysiciens, des glaciologues, des océanographes, des médecins ainsi que des artistes, des marins et même des journalistes. Tous unis pour développer une approche pluridisciplinaire et percer les secrets de l'Arctique.

    Les premiers travaux qui seront menés à bord de la Tara Polar Station viseront à étudier les mécanismes du dérèglement climatique en Arctique ainsi que ses impacts sur le fonctionnement des écosystèmes. Les scientifiques s'intéresseront aussi à la migration des organismes marins vers l'Arctique. Ainsi qu'au potentiel d'adaptation de la vie aux conditions extrêmes qui règnent dans la région.  

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