au sommaire
Arrivé à bord de la Station spatiale internationale le 19 novembre 2016, le Français Thomas Pesquet s'est distingué dès le début de son séjour pour ses clichés de la Terre très maîtrisés. Quasiment tous les jours, le spationaute nous régale avec des vues en haute résolutionrésolution prises à 400 km d'altitude, de jour comme de nuit, nous montrant les diverses beautés de notre planète.
Les grandes villes n'y échappent pas : ici on reconnaît les grands monuments de Paris, là ceux de Rome, ou encore d'Athènes... Sans oublier Bruxelles, ainsi que toute la Belgique. De nuit, les lumières de nos voisins sont faciles à reconnaître de l'espace... car elles sont plus jaunâtres qu'aux alentours (voir les premières secondes, à gauche).
Des étoiles sur la Terre et dans le ciel
Dans cette vidéo timelapsetimelapse (accélérée 25 fois), on survole pour commencer l'Europe du nord. À nos pieds, on peut admirer le tapis des villes françaises. Paris domine, mais pas autant que la Belgique voisine. Au loin vers le limbelimbe, sous la lueur verdâtre de notre atmosphèreatmosphère, on reconnaît la botte de l'Italie, saturée de lumière elle aussi, surtout dans la vallée du Pô. Puis progressivement, on file vers des contrées moins éclairées, l'Europe centrale et l'Asie centrale.
Mais il n'y a pas que la Terre à regarder. « Sur la Station, les étoiles se lèvent tout au long de la nuit et en faisant un peu attention, on reconnaît même certaines constellations... » a commenté le spationaute. À la neuvième seconde, on peut voir se lever AntarèsAntarès, l'étoile la plus brillante du Scorpion. Et quelques instants plus tard, à la 24e seconde, tandis que des oragesorages font ragerage sur Terre, on assiste au lever de M7, une grappe d'étoiles près du dard du Scorpion.
© Nasa, ESA