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    L'ALS, ou sclérosesclérose amyotrophique latérale, plus connue sous le nom de maladie de Lou Gehrig, reste une maladie neurologique extrêmement rare.

    Publiés dans le dernier numéro de Neurology, les résultats d'une étude menée par des chercheurs du ColumbiaColumbia-Presbyterian Medical Center de New York semblent indiquer que le risque de développer cette maladie serait deux fois plus élevé chez les personnes minces.
    Cette étude portant sur 431 patients atteints de maladies neurologiques a permis par ailleurs d'observer que ce risque était quasiment aussi élevé au sein d'un groupe de personnes ayant pratiqué des sports de haut niveau au lycée et à l'université.
    Cependant, il semble qu'il n'existe pas de lien entre la maladie de Lou Gehrig et la pratique d'une activité physiquephysique importante, le risque n'étant pas aussi élevé chez les personnes ayant eu une activité professionnelle physiquement difficile. Les chercheurs du Columbia-Presbyterian Medical Center soulignent toutefois que la minceur n'est pas la seule piste à explorer pour élucider les causes de la maladie de Lou Gehrig.