8% des lésions cancéreuses échapperaient au champ de l'imagerie médicale courante, selon Medhat Osman, directeur de l'imagerie par tomographie par émission de positons (TEP) à la Saint-Louis University Hospital et professeur assistant de médecine nucléaire à la Saint-Louis University School of Medicine (Etats-Unis).

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    Mélanomehttp://www.melanom.com

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    Ses résultats ont été présenté lors de la Conférence de la Société de Médecine Nucléaire, qui a lieu à Toronto du 18 au 22 juin. Selon Osman, "les institutions médicales devraient changer les protocoles dprotocoles d'imagerie. Les patients devraient pouvoir être examinés de la tête jusqu'au doigt de pied pour des maladies telles que le cancer, afin de déterminer de manière exhaustive l'existence ou non de tumeurs malignes."

    Le succès d'Osman, avec l'applicationapplication d'un nouveau protocole d'imagerie TEP de l'organisme entier, a été présenté à de multiples conférences, au niveau international. L'image de l'organisme entier, obtenue grâce au système d'imagerie avancé alliant deux techniques : la tomographie par émission de positonstomographie par émission de positons et la tomographie informatique, permettrait de mieux diagnostiquer et traiter les cancers. Il est de nature non invasifinvasif, opère avec un large champ de vue et avec précision.

    Le TEP met en valeur des changements chimiques et physiologiques liés au métabolisme, qui apparaissent souvent avant que les dommages structurels ne soient manifestes. Il est d'une haute sensibilité dans la détection des tumeurs. Il peut aussi servir à l'identification des maladies récurrentes avant qu'elles ne se répandent dans l'organisme.