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    Après les langes et les couches-culottes en coton attachées avec une grosse épingle, les couches jetables sont commercialisées à la fin des années 1960 et s'imposent alors sur le marché. Depuis, de nombreuses questions ont été posées à leur sujet, notamment celle des couches jetables mauvaises pour l'environnement.

    La composition des couches jetables

    Les couches jetables sont fabriquées à partir de pâte à bois blanchie au chlorechlore, de plastiqueplastique en polyéthylènepolyéthylène, de polyacrylate de sodiumsodium ainsi que de cellulosecellulose. Elles sont composées de pétrolepétrole et de produits organiques volatiles (toluènetoluène, éthylbenzène, xylènexylène et dipentène). En 2000, Greenpeace a découvert des traces de TBT (tributyl étainétain) et a relancé le débat de la pollution qu'elles génèrent.

    Des couches jetables mauvaises pour l'environnement

    La question de la nocivité des couches jetables continue de se poser. Il s'agit d'un déchet non-compostable et non-biodégradable. Ces couches ne peuvent pas être recyclées car elles sont composées de 30 % de plastique. Leur procédé de fabrication demande beaucoup d'énergieénergie et d'eau. Il favorise la déforestation. Les couches jetables sont parfois incinérées, mais cela crée de la pollution : elles émettent de la dioxine. Vous pouvez également en trouver lors du stade du blanchiment au chlore. De même, le gel absorbant est nocif pour l'environnement ainsi que pour la santé des bébés.

    Pense-bête : il existe une alternative aux couches jetables. Il s'agit de la couche lavable. En coton, elle est réutilisable plusieurs fois et demeure la solution la plus économique et écologique.