Le ch&acirc;teau de Chenonceau se situe dans la commune de Chenonceaux, en Indre-et-Loire. Il fait partie des c&eacute;l&egrave;bres ch&acirc;teaux de la Loire. B&acirc;ti en 1513 par Katherine Bri&ccedil;onnet, embelli par Diane de Poitiers puis Catherine de M&eacute;dicis, sauv&eacute; pendant la R&eacute;volution fran&ccedil;aise par Louise Dupin, il est aussi appel&eacute; &laquo; ch&acirc;teau des Dames &raquo;.&copy; Ra-smit's photo.&nbsp;CC by-nc-sa 2.0

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Le château de Chenonceau, un des châteaux de la Loire

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Le ch&acirc;teau de Beynac est situ&eacute; sur la commune de Beynac-et-Cazenac, dans le d&eacute;partement de la Dordogne et plus pr&eacute;cis&eacute;ment dans le P&eacute;rigord noir. Ce ch&acirc;teau est l'un des mieux conserv&eacute;s et l'un des plus r&eacute;put&eacute;s de la r&eacute;gion. Il a servi de cadre au tournage des films Les Visiteurs de Jean-Marie Poir&eacute;, en 1993, La Fille de d'Artagnan, de Bertrand Tavernier, en 1994, et Jeanne d'Arc, de Luc Besson, en 1999.C'est une [popupdefinition id=17955]construction[/popupdefinition] moyen&acirc;geuse, d'allure aust&egrave;re, perch&eacute;e sur le haut d'une falaise [popupdefinition id=1422]calcaire[/popupdefinition] dominant le bourg sur la rive droite de la Dordogne. Le ch&acirc;teau fort est b&acirc;ti d&egrave;s le XIIe si&egrave;cle par les barons de Beynac pour verrouiller la vall&eacute;e. L'&agrave;-pic &eacute;tant suffisant (150 m au-dessus de la Dordogne) pour d&eacute;courager toute escalade c&ocirc;t&eacute; vall&eacute;e, les d&eacute;fenses s'accumul&egrave;rent c&ocirc;t&eacute; plateau : double enceinte cr&eacute;nel&eacute;e, double douve dont l'une approfondissait un ravelin naturel, double barbacane.Cette r&eacute;gion de Dordogne fut le th&eacute;&acirc;tre de nombreuses luttes d'influence, rivalit&eacute;s et parfois combats entre partisans des Anglais et partisans des Fran&ccedil;ais. &Agrave; l'&eacute;poque de la guerre de Cent Ans, la forteresse de Beynac &eacute;tait l'une des places fortes fran&ccedil;aises. La Dordogne servait alors de fronti&egrave;re entre France et Angleterre ; non loin de l&agrave;, de l'autre c&ocirc;t&eacute; de la Dordogne, le ch&acirc;teau de Castelnaud &eacute;tait aux mains des Anglais.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_de_Beynac

Le château de Beynac, le château du film Les Visiteurs

Les liants utilisés en maçonnerie diffèrent de ceux entrant dans la composition des peintures et vernis. En construction, on utilise deux grandes familles de liants : aériens ou hydrauliques. Les liants des peintures et vernis sont constitués de macromolécules (polymères) d’origine naturelle ou synthétique.Les liants de maçonneriePoudreux ou pâteux, ils se distinguent par leur mode de durcissement ou de prise. Les liants aériens sont essentiellement de la chaux calcique (CL) ou dolomitique (DL). À base de roches calcaires, ils sont hydratés (éteints) après cuisson à une température avoisinant 900 °C. Ils durcissent lentement, au contact de l’air uniquement.Un mortier de chaux aérienne et de sable, pour le jointoiement ou l’enduisage, durcit toujours de l’extérieur vers l’intérieur. © BCB TradicaOn distingue plusieurs types de liants hydrauliques. Le ciment et le plâtre durcissent (se pétrifient) en réaction avec l’eau servant à homogénéiser le mélange. Selon leur composition, la prise est rapide, demi-lente ou lente. La chaux hydraulique naturelle (NHL) présente la particularité de durcir au contact de l’eau d’abord, puis de l’air.Bloc "Le saviez-vous ?"Les liants pour peintures et produits assimilésAssurant la fixation au support, le liant permet à la peinture ou au vernis de durcir par évaporation de son solvant ou par polymérisation. Les liants d’origine naturelle proviennent du règne animal (caséine, œuf, colle de peau…), minéral (argile, chaux…) ou végétal (argile, fécule de pomme de terre, gomme arabique, huile de carthame…). Les liants synthétiques sont des résines dérivées du caoutchouc, de la cellulose, des résines plastiques diluables à l’eau (acryliques, alkydes, uréthanes, vinyliques…) ou au white-spirit (glycérophtaliques, polyesters…). Une peinture ou vernis peut combiner plusieurs liants afin d’améliorer certaines caractéristiques : tendu ou durcissement du feuil, par exemple.Patine murale d’aspect soyeux associant une sous-couche acrylique blanche et une finition sablée métallisé, chacune en phase aqueuse. Un temps de séchage de huit heures est nécessaire entre les deux applications. © Maison DécoChamp lexical : construction | maçonnerie | décoration

Liant

Logiciel à la fois système de composition de pages Web, outil de travail collaboratif et espace de discussion. Il s'exécute sur le serveur et permet aux utilisateurs de modifier le contenu d'une page Web librement, avec n'importe quel navigateur.Un Wiki reconnaît les hyperliens et dispose d'une interface textuelle simple pour créer de nouvelles pages, les liens se faisant à la volée. Le Wiki possède ses lettres de noblesse aux adresses http://wiki.org/ et http://c2.com/cgi/wiki.P.S. : Wiki vient de l'hawaïen "wikiwiki" qui signifie "vite".

Wiki

Le calcaire est une roche sédimentaire carbonatée, composée d'au moins 50 % de calcite CaCO3 (ou carbonate de calcium) et pouvant contenir de la dolomite, de l'aragonite. Les calcaires se forment soit par accumulation de fragments de squelettes ou de coquilles calcaires (coraux, bivalves, foraminifères...), soit par précipitation chimique ou biochimique de carbonates de calcium. 
Les roches calcaires sont classées en fonction :
des fossiles contenus : calcaire coquiller, calcaire à ammonites…de la structure de la roche : par exemple, les calcaires oolithiques sont formés de petites sphères,de leur grain : le calcaire lithographique utilisé en imprimerie possède un grain très fin, la craie est elle aussi un calcaire au grain très fin,des impuretés présentes : les calcaires purs contiennent une proportion élevée de calcite, tandis que les calcaires siliceux contiennent plus de silice et les calcaires dolomitiques plus de dolomite ; la marne est un mélange de calcaire et d’argile,de leur lieu de dépôt : calcaire marin, lacustre ou récifal.
Roches calcaires et reliefs karstiques
La calcite du calcaire est attaquée par des molécules acides présentes dans l’eau. L’érosion du calcaire conduit à la formation de roches et de structures caractéristiques :
dans les calcaires siliceux se forment des meulières, des roches très résistantes utilisées dans les meules à grain. Le dépôt de silice dans des roches calcaires peut conduire à la formation de silex ; ces roches ont été utilisées par les hommes préhistoriques pour la fabrication d’outils comme les bifaces,dans les calcaires purs et résistants se forment des structures typiques du milieu karstique. Par exemple, la doline est une dépression circulaire à fond plat que l’on trouve dans les Causses ; un aven est un entonnoir caractéristique d’un gouffre ; un canyon décrit une vallée très encaissée ; une vallée sèche a été construite par un cours d’eau disparu,le relief karstique présente aussi souvent des structures souterraines : siphons, galeries, grottes, stalactites, stalagmites, rivières et lacs souterrains…

Calcaire

Le vent correspond au déplacement d’une masse d’air consécutif à des différences locales de température et de pression. D’une légère brise à une forte tempête, la vitesse et l’amplitude géographique des vents peuvent être très variables dans l’espace et dans le temps. Parfois destructeur, le vent participe à de nombreux processus sur Terre, comme l’oxygénation des océans et des rivières, ou l’érosion des sols et le déplacement de minéraux. L'Homme l’utilise aujourd’hui comme source d’énergie : l’éolien.
Principe de formation du vent
Deux paramètres principaux contribuent à la formation des vents à la surface de la Terre : la température et la pression. Par exemple, lorsqu’une masse d’air se réchauffe, elle s’élève en altitude au-dessus des couches plus froides, ce qui génère une diminution de la pression. Pour combler le vide, la masse d’air voisine va s’engouffrer dans l’espace laissé vacant : ce mouvement crée le vent.
Un exemple concret : celui de la brise de mer et la brise de terre. Le jour, la terre se réchauffe plus vite que la mer. L’air au-dessus de la terre s’élève et crée une dépression, compensée par l’air surplombant la mer, générant ainsi une brise qui circule de la mer vers le continent. À l’inverse, la nuit, l’eau conserve mieux sa chaleur et l’air de la terre se refroidit plus vite. Cette différence thermique génère un courant d’air de la terre vers la mer : une brise de terre.
La rotation de la Terre sur elle-même contribue également à la formation des vents, à leur localisation et à leur orientation, par la force de Coriolis. À cela, il faut également rajouter la topographie des continents qui peut favoriser les rencontres entre les masses d’air
La mesure du vent
La vitesse du vent se mesure à l’aide d’un anémomètre. Des échelles ont été établies afin d’estimer l’intensité des vents. L’échelle de Beaufort s’étale de 0 à 12. Elle repose sur la vitesse moyenne des vents sur une durée de 10 minutes, utilisée en association avec l’état de la mer qui en découle. Au niveau 0, le vent est nul, tandis qu’au niveau 12, les vents d’un ouragan soufflent à plus de 118 km/h, générant une mer déchaînée. L’échelle de Fujita se limite quant à elle à la classification des tornades, phénomène climatique générant les vents les plus violents à l’échelle de la Terre, mais sur une petite zone géographique.
L’éolien, l’énergie tirée du vent
Le vent fait également office d’énergie renouvelable et devient de plus en plus prisé afin de compenser les énergies fossiles, accusées de contribuer au réchauffement climatique, ou le nucléaire, du fait des potentiels dangers que cette source énergétique représente. En 2012 par exemple, en France, le vent a généré 14,9 térawattheures (TWh) d’électricité. En 2011, 459,9 TWh d’électricité ont été produits par l’énergie éolienne dans le monde.

Vent

2449_le-chateau-de-beynac--le-chateau-du-film-les-visiteurs

Le ch&acirc;teau de Suscinio, construit &agrave; la fin du Moyen &Acirc;ge, r&eacute;sidence des ducs de Bretagne, est situ&eacute; au bord de l'oc&eacute;an Atlantique, dans la commune de Sarzeau (Morbihan).Con&ccedil;u comme demeure de loisirs, entre une for&ecirc;t giboyeuse et le bord de mer, le premier logis est construit au d&eacute;but du XIIIe si&egrave;cle. Le ch&acirc;teau n'est fortifi&eacute; qu'ult&eacute;rieurement et agrandi &agrave; la fin du XIVe si&egrave;cle quand les h&eacute;ritiers du duch&eacute; se battaient pour pr&eacute;server leur patrimoine, apr&egrave;s que Suscinio fut pris par Du Guesclin en 1373.Au d&eacute;but du XXIe si&egrave;cle, le ch&acirc;teau de Suscinio retrouva son allure de forteresse m&eacute;di&eacute;vale intacte, m&ecirc;me si les travaux continuent. Il abrite &agrave; pr&eacute;sent des expositions et quelques manifestations estivales. C'est l'un des monuments les plus visit&eacute;s de la r&eacute;gion.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_de_Suscinio

Le château de Suscinio, dans le Morbihan

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Le ch&acirc;teau d'Eilean Donan, sur l'&icirc;le du m&ecirc;me nom,&nbsp;dans les Highlands d'&Eacute;cosse.&copy; Guillaume Piolle, Wikimedia Commons, CC by 3.0

Le château d'Eilean Donan, en Écosse

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Le fort Boyard est une fortification situ&eacute;e entre l'&icirc;le d'Aix et l'&icirc;le d'Ol&eacute;ron et&nbsp;rattach&eacute;e &agrave; la commune de l'&Icirc;le-d'Aix, dans le d&eacute;partement de la Charente-Maritime.Il fut construit initialement pour prot&eacute;ger la rade de la marine anglaise du XVIIe si&egrave;cle. Le fort Boyard fait partie int&eacute;grante de l'Arsenal Maritime de Rochefort qui s'&eacute;tend tout au long de l'[popupdefinition id=3828]estuaire[/popupdefinition] de la Charente. C'est aujourd'hui une propri&eacute;t&eacute; du conseil g&eacute;n&eacute;ral de la Charente-Maritime.&copy; Philippe Dufour,&nbsp;http://pagesperso-orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html

Visite au fort Boyard, en Charente-Maritime - Photos Futura

Le vent correspond au déplacement d’une masse d’air consécutif à des différences locales de température et de pression. D’une légère brise à une forte tempête, la vitesse et l’amplitude géographique d...

L’estuaire est l’endroit où un fleuve se jette dans la mer et qui constitue la transition entre le domaine continental et le domaine marin. Selon les critères, est considéré comme un estuaire la zone ...

Estuaire

Visite au fort Boyard, en Charente-Maritime

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Le ch&acirc;teau de Cheverny est un ch&acirc;teau de la Loire, en Sologne. Il se trouve dans la commune de Cheverny (Loir-et-Cher). Il a inspir&eacute; Herg&eacute; pour la cr&eacute;ation du ch&acirc;teau de Moulinsart, dans Les Aventures de Tintin, qui en est la r&eacute;plique mutil&eacute;e de ses deux pavillons ext&eacute;rieurs.C'est l'un des plus c&eacute;l&egrave;bres ch&acirc;teaux de la Loire avec ceux de Blois et de Chambord, tout proches. Blois est une [popupdefinition id=17955]construction[/popupdefinition] qui [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] les [popupdefinition id=1048]strates[/popupdefinition] de [popupdefinition id=14968]style[/popupdefinition] s'&eacute;tendant sur quatre si&egrave;cles d'architecture, Cheverny est construit dans un style classique homog&egrave;ne.Blois et Chambord sont des demeures royales contrairement &agrave; Cheverny qui reste une propri&eacute;t&eacute; priv&eacute;e. De plus, Cheverny a conserv&eacute; son mobilier et sa d&eacute;coration du XVIIe si&egrave;cle. La demeure comporte plusieurs pi&egrave;ces sur deux &eacute;tages.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_de_Cheverny

Le château de Moulinsart, des Aventures de Tintin, inspiré du château de Cheverny

On appelle « gnomon », ou « style », la tige, verticale ou non, qui projette son ombre sur un cadran solaire. Le terme vient du grec signifiant : « celui qui sait ».
Gnomon : du simple bâton au cadran solaire
Dans l’Antiquité, le gnomon était en général un simple bâton de bois planté à même le sol. Il servait à déterminer la hauteur du Soleil dans le ciel, en fonction de la longueur de l’ombre projetée.
Le gnomon de Saint-Sulpice 
Le gnomon de l’église Saint-Sulpice, à Paris, érigé au XVIIIe siècle, rendu célèbre par le Da Vinci Code de Dan Brown, est un peu plus sophistiqué. Il a été élevé là au départ pour déterminer la date de la fête de Pâques. Celle-ci est en effet célébrée le dimanche qui suit la première pleine Lune après l’équinoxe de printemps.
On retrouve ainsi dans le transept de l’église, un obélisque de plus de 10 mètres de haut, au pied duquel part une méridienne. Lorsque les rayons du Soleil traversent la lentille placée à l’aplomb, ils forment sur le sol un rond de lumière qui croise la méridienne à midi. Selon les saisons, le croisement se fait à des hauteurs différentes et l’équinoxe de printemps, par exemple, est symbolisé par une plaque de cuivre ovale située à quelque 24 mètres de la base de l’obélisque.

Gnomon

Les liants utilisés en maçonnerie diffèrent de ceux entrant dans la composition des peintures et vernis. En construction, on utilise deux grandes familles de liants : aériens ou hydrauliques. Les liants des peintures et vernis sont constitués de macromolécules (polymères) d’origine naturelle ou synthétique.Les liants de maçonneriePoudreux ou pâteux, ils se distinguent par leur mode de durcissement ou de prise. Les liants aériens sont essentiellement de la chaux calcique (CL) ou dolomitique (DL). À base de roches calcaires, ils sont hydratés (éteints) après cuisson à une température avoisinant 900 °C. Ils durcissent lentement, au contact de l’air uniquement.Un mortier de chaux aérienne et de sable, pour le jointoiement ou l’enduisage, durcit toujours de l’extérieur vers l’intérieur. © BCB TradicaOn distingue plusieurs types de liants hydrauliques. Le ciment et le plâtre durcissent (se pétrifient) en réaction avec l’eau servant à homogénéiser le mélange. Selon leur composition, la prise est rapide, demi-lente ou lente. La chaux hydraulique naturelle (NHL) présente la particularité de durcir au contact de l’eau d’abord, puis de l’air.Bloc "Le saviez-vous ?"Les liants pour peintures et produits assimilésAssurant la fixation au support, le liant permet à la peinture ou au vernis de durcir par évaporation de son solvant ou par polymérisation. Les liants d’origine naturelle proviennent du règne animal (caséine, œuf, colle de peau…), minéral (argile, chaux…) ou végétal (argile, fécule de pomme de terre, gomme arabique, huile de carthame…). Les liants synthétiques sont des résines dérivées du caoutchouc, de la cellulose, des résines plastiques diluables à l’eau (acryliques, alkydes, uréthanes, vinyliques…) ou au white-spirit (glycérophtaliques, polyesters…). Une peinture ou vernis peut combiner plusieurs liants afin d’améliorer certaines caractéristiques : tendu ou durcissement du feuil, par exemple.Patine murale d’aspect soyeux associant une sous-couche acrylique blanche et une finition sablée métallisé, chacune en phase aqueuse. Un temps de séchage de huit heures est nécessaire entre les deux applications. © Maison DécoChamp lexical : construction | maçonnerie | décorationChamp lexical : construction | maçonnerie | décoration

En géologie, le terme de strate désigne une couche sédimentaire qui possèdent certaines caractéristiques propres la différenciant des couches situées au-dessus et en-dessous.La succession verticale des strates (on parle de colonne stratigraphique) permet ainsi d’observer l’évolution géologique d’un lieu au cours du temps. La notion de strate est importante puisqu’elle permet de découper une unité de roche en multiples intervalles de temps.Notion de faciès géologiqueUne strate se définit donc comme une couche relativement homogène qui possède certaines caractéristiques lithologiques et paléontologiques qui définissent ce que l’on appelle un faciès. Le faciès rassemble donc une multitude de caractéristiques qui vont permettre de décrire très précisément la strate en question. Ces caractéristiques peuvent être macroscopiques (observables à l’œil nu) ou microscopiques. Parmi les caractéristiques observées citons notamment : la composition pétrographique et minéralogique, l’environnement ou les conditions de dépôt des sédiments, la finesse des grains, la présence et la nature des déformations tectoniques, la présence de fossiles, la présence de figures de courants, de bioturbations, etc.La description du faciès d’une strate va permettre plusieurs choses :le suivi latéral d’une strate, que ce soit à l’échelle de l’affleurement ou à l’échelle régionale ;l’établissement des conditions de dépôts des sédiments (profondeur d’eau, milieu à forte ou faible énergie…) et donc l’étude paléoenvironnementale d’un lieu ;En plus du faciès, l’épaisseur et la forme des strates ainsi que la nature des interfaces entre les strates vont donner d’importantes informations qui vont permettre de mieux caractériser l’environnement de dépôt et son évolution, comme par exemple le taux de sédimentation, la présence d’une surface érosive relative à une émersion, le sens d’un paléo-courant…Le passage d’une strate à une autre est donc associée à une modification du faciès, qui est souvent en lien avec une évolution, brutale ou graduelle, du milieu de dépôt.Cette succession de strates à Madagascar montre une évolution de la couleur qui renseigne sur le changement des conditions de dépôt des sédiments au cours du temps © Anne97432, Wikimedia Commons, cc by-sa 2.5 Principes stratigraphiquesS’il est possible de dater de manière absolue certaines roches sédimentaires, la définition de strates sur un affleurement de terrain va surtout permettre une datation relative de divers événements. Cette démarche repose sur l’observation des relations géométriques des strates entre elles mais avant tout sur certains principes.Tout d’abord le principe de continuité, qui stipule qu’une strate a le même âge sur toute son étendue. Le principe (fondamental) de superposition affirme quant à lui qu’en l’absence de bouleversement d’ordre tectonique, une strate est plus récente que celle qu’elle recouvre et plus ancienne que celle qui la recouvre. Ainsi, en l’absence d’événement ultérieur, les strates s’organisent verticalement du plus vieux au plus jeune, de bas en haut.Schéma illustrant les différents principes stratigraphiques : la strate A est la plus vieille alors que D est la plus jeune, les strates se déposent horizontalement mais peuvent être affectées par divers événements. Ici une intrusion magmatique (B) qui s'avère être plus jeune que les couches brunes mais plus ancienne que les couches grises. La faille F recoupe l'ensemble de la succession, c'est donc l'événement le plus récent. L'intrusion magmatique E est plus jeune que le dépôt de D mais plus ancien que la faille F. Notons l'existence d'une surface d'érosion (C) qui est survenue avant le dépôt des couches grises mais après l'intrusion B © Actualist, Wikimedia Commons, cc by-sa 3.0 Le principe d’horizontalité repose sur le fait que les strates se déposent toujours de manière horizontale. Une strate oblique signifie donc qu’il y a eu déformation après le dépôt. Dans le même ordre d’idée, le principe de recoupement affirme que tout élément qui recoupe une strate (par exemple, une faille) est nécessairement plus jeune que la strate en elle-même. À l’inverse, tout élément inclusif (galet par exemple), est nécessairement plus ancien que la formation de la strate. C’est le principe d’inclusion.Formation d’une strateUne strate correspond donc au dépôt de matériel sédimentaire (qui peut être de nature extrêmement diverse) durant un intervalle de temps durant lequel les conditions du milieu de dépôt vont être relativement stables. Toute modification de ces conditions donnera lieu à un interface délimitant deux strates différentes.Cette stratificationde bancs calcaires qui alternent avec des couches plus fines de sédiments certaines argileux indique une alternance régulière des conditions de dépôts (certainement des variations de la profondeur d'eau) © MeanStreets, Wikimedia Commons, domaine publicLe dépôt de sédiments peut se faire de nombreuses manières. Ce type de dépôt pourra ensuite être déduit des observations du faciès. Les sédiments peuvent ainsi se déposer en « pluie » plus ou moins continue, dans un milieu calme et sans énergie. Typiquement, il s’agit de dépôts d’argiles ou de fines particules à grande profondeur. Les sédiments peuvent être déposés par processus gravitaires, par exemple lors d’avalanches sous-marines (turbidites). Ils peuvent être déposés dans des lits de rivières qui représentent des milieux à haute énergie, qui vont produire par exemple des figures de courants.Ces sédiments sont dans un premier temps meubles et gorgés d’eau. L’accumulation de nouveaux sédiments au-dessus va progressivement enfouir la strate qui va, sous l’effet de l’augmentation de la pression, subir le processus de diagenèse. Les sédiments meubles vont ainsi se lithifier pour former une roche dure, que l’on appelle roche sédimentaire.Autre terminologieL’épaisseur d’une strate peut être très variable, de quelques millimètres à plusieurs dizaines voire centaines de mètres. Cette épaisseur va dépendre de l’intervalle de temps du dépôt, mais également des taux de sédimentation, qui peuvent être très variables. Une strate épaisse n’est donc pas nécessairement synonyme de longue durée de dépôt, elle peut simplement être associée à une accumulation rapide de sédiments.Pour les couches très fines, on parlera plutôt de « lit ». À l’inverse, pour une strate très épaisse et composée de roche dure, on utilisera souvent le terme de « banc ». D’autres termes peuvent également être rencontrés, comme « niveau » et « horizon ».

Strate

Une porte est une ouverture pratiquée dans un mur, une clôture quelconque, permettant d'entrer dans un lieu fermé ou d'en sortir. Elle peut aussi servir à circuler dans les pièces, c'est pourquoi on parle de portes intérieures et de portes extérieures. Autrefois, le nom de porte était donné à l'ouverture aménagée dans l'enceinte d'une ville pour en permettre le passage. On parle parfois de porte bâtarde quand elle est d'une taille intermédiaire. Une porte permet l'accès à un lieu fermé. Ici une porte ancienne en bois. © Sven Dirks, Wikipedia Commons, CC BY-SA 3.0Les différents types de portes d'une maisonIl existe des portes de toutes tailles, s'adaptant en général à la façade dans laquelle la porte est intégrée. On peut trouver une porte coulissante, une porte battante ou encore une porte pliante, en fonction de l'élément d'huisserie qui lui est associé. Il existe également la porte extensible, elle est fabriquée selon le principe de l'accordéon, on peut donc en ajuster l'ouverture. Une porte peut être pleine ou non, vitrée ou en bois, en PVC, en fibre de verre, en acier ou encore en aluminium.Porte pleine ou porte vitrée ?Que ce soit pour la porte d’entrée ou pour séparer cuisine et salon par exemple, la porte peut être pleine ou vitrée. Il est possible de choisir une porte d’entrée avec une partie vitrée, le plus souvent opaque pour préserver l’intimité tout en profitant de la lumière du jour. Côté sécurité, le vitrage est aujourd’hui renforcé pour résister aux impacts et la porte d'entrée pleine ou vitrée est le plus souvent blindée avec serrure multipoint pour résister aux effractions. Certaines portes d'entrée d'une maison peuvent aussi être ornementées d’un vitrage en partie haute qui s’ouvre, une option pour offrir un puits de lumière et favoriser la circulation de l’air de votre intérieur.

Porte

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Le ch&acirc;teau de Himeji est l'une des plus vieilles structures du Japon m&eacute;di&eacute;val. Il se situe dans la ville de Himeji, dans la pr&eacute;fecture de Hy&#333;go, au centre-ouest de l'&icirc;le de Honsh&#363;, la plus grande &icirc;le du pays.&copy; Bernard Gagnon, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Le château de Himeji, au Japon

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Le ch&acirc;teau d'Azay-le-[popupdefinition id=10894]Rideau[/popupdefinition] est un monument class&eacute;, appartenant &agrave; l'&Eacute;tat et situ&eacute; dans la commune du m&ecirc;me nom, en Indre-et-Loire, en France.Il fut b&acirc;ti par le tr&eacute;sorier du roi Fran&ccedil;ois 1er. Construit entre 1510 (Gilles Berthelot d&eacute;cida de sa [popupdefinition id=17955]construction[/popupdefinition]) et 1528, il est un des chefs-d'&oelig;uvre de la premi&egrave;re Renaissance fran&ccedil;aise.Certaines parties du ch&acirc;teau seront plus tard d&eacute;truites puis reconstruites. D&eacute;crit par Balzac comme &laquo; un [popupdefinition id=3869]diamant[/popupdefinition] taill&eacute; &agrave; facettes serti par l'Indre &raquo;, Azay-le-Rideau est un des ch&acirc;teaux les plus c&eacute;l&egrave;bres de la Loire.Il reste un ch&acirc;teau de la Renaissance italienne avec ses d&eacute;cors sculpturaux riches, et laisse des traces de la Renaissance flamande avec les magnifiques tapisseries du [popupdefinition id=14968]style[/popupdefinition] (XVIe si&egrave;cle) expos&eacute;es dans plusieurs pi&egrave;ces du ch&acirc;teau.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_d%27Azay-le-Rideau

À Azay-le-Rideau, un château chargé d'histoire

Le diamant est un minéral transparent composé de cristaux de carbone pur. Cette pierre précieuse est connue pour être le minéral le plus dur qui soit.
C’est seulement à la fin du XVIIIe siècle que le diamant fut identifié comme une forme cristalline du carbone par Lavoisier et Tennant. Dès lors, les chimistes ont cherché à le synthétiser. Ils n’y sont parvenus qu’au milieu du XXe siècle.
Les diamants, rares et envoûtants
On sait aujourd’hui que, dans le diamant, chaque atome est relié à quatre atomes voisins disposés au sommet d’un tétraèdre régulier. Ces liaisons chimiques entre atomes (liaisons covalentes) sont fortes et caractérisées par une distance interatomique de seulement 0,136 nm. Cette symétrie tétraédrique signe un solide dense et anisotrope.
Le diamant est la forme stable du carbone à température et pression élevées alors que le graphite est la forme stable du carbone à température et pression ordinaires. On note ici leurs différences de structures (diamant à gauche, graphite à droite). © Itub, Wikipédia, CC by-sa 3.0
Le diamant naturel
Le diamant se forme naturellement à partir de carbone présent dans les profondeurs de la Terre. La plupart des diamants cristallisent à des profondeurs comprises entre 150 et 200 kilomètres, mais il peut s’en former plus profondément. Pour que le carbone s’arrange en diamant, il faut des conditions de température et de pression particulièrement élevées : entre 1.000 et 1.500 °C et entre 4,5 et 6 GPa.
Selon les estimations des chercheurs, les diamants se seraient formés il y a plus de 2,5 milliards d’années. Ils sont généralement inclus dans une lave rare, la kimberlite.
Ce diamant synthétique a été fabriqué grâce à la méthode de dépôt chimique en phase vapeur. © Steve Jurvetson, Wikipédia, CC by 2.0
Le diamant de synthèse
Compte tenu à la fois de la rareté de la pierre et de sa dureté extrême, les scientifiques ont cherché à la synthétiser. Objectif : exploiter ses propriétés pour des applications industrielles telles que la découpe, le broyage, le polissage ou encore la gravure. Plus récemment, le diamant a fait son entrée dans le monde des biotechnologies (imagerie médicale, mesure de température, etc.).
Plusieurs techniques sont aujourd’hui employées pour synthétiser du diamant :
La technique « haute pression, haute température ». À la base, un mélange de carbone et de métaux de transition sert de catalyseurs à la réaction.La technique de « dépôt chimique en phase vapeur ». Elle permet de créer le diamant par couches successives.

Diamant

Morceau d'étoffe destiné à couvrir ou à cacher une ouverture, le rideau est attaché à la tringle par le biais d'anneaux qui permettent de le tirer afin de l'ouvrir ou de le fermer. 
Fonction du rideau
Dans une habitation, le rideau sert notamment à des fins décoratives mais également à diminuer l'intensité des rayons du soleil qui passent à travers la fenêtre. Dans certains cas, il remplace une porte qui sépare deux pièces, tandis que le rideau de douche, souvent en plastique ou en vinyle, évite d'éclabousser l'eau dans la pièce. Ceux destinés aux pièces à vivre peuvent être de matières très différentes. On trouve ainsi des rideaux en soie, coton, polyester, velours et même en dentelle. 
Entretien des rideaux
Les rideaux sont réputés pour être difficiles à laver. Le nettoyage à sec implique au préalable le retrait de toutes les broches attachées aux anneaux, leur présence pouvant abîmer le rideau, voire le déchirer.

Rideau

Les liants utilisés en maçonnerie diffèrent de ceux entrant dans la composition des peintures et vernis. En construction, on utilise deux grandes familles de liants : aériens ou hydrauliques. Les liants des peintures et vernis sont constitués de macromolécules (polymères) d’origine naturelle ou synthétique.Les liants de maçonneriePoudreux ou pâteux, ils se distinguent par leur mode de durcissement ou de prise. Les liants aériens sont essentiellement de la chaux calcique (CL) ou dolomitique (DL). À base de roches calcaires, ils sont hydratés (éteints) après cuisson à une température avoisinant 900 °C. Ils durcissent lentement, au contact de l’air uniquement.Un mortier de chaux aérienne et de sable, pour le jointoiement ou l’enduisage, durcit toujours de l’extérieur vers l’intérieur. © BCB TradicaOn distingue plusieurs types de liants hydrauliques. Le ciment et le plâtre durcissent (se pétrifient) en réaction avec l’eau servant à homogénéiser le mélange. Selon leur composition, la prise est rapide, demi-lente ou lente. La chaux hydraulique naturelle (NHL) présente la particularité de durcir au contact de l’eau d’abord, puis de l’air.Bloc "Le saviez-vous ?"Les liants pour peintures et produits assimilésAssurant la fixation au support, le liant permet à la peinture ou au vernis de durcir par évaporation de son solvant ou par polymérisation. Les liants d’origine naturelle proviennent du règne animal (caséine, œuf, colle de peau…), minéral (argile, chaux…) ou végétal (argile, fécule de pomme de terre, gomme arabique, huile de carthame…). Les liants synthétiques sont des résines dérivées du caoutchouc, de la cellulose, des résines plastiques diluables à l’eau (acryliques, alkydes, uréthanes, vinyliques…) ou au white-spirit (glycérophtaliques, polyesters…). Une peinture ou vernis peut combiner plusieurs liants afin d’améliorer certaines caractéristiques : tendu ou durcissement du feuil, par exemple.Patine murale d’aspect soyeux associant une sous-couche acrylique blanche et une finition sablée métallisé, chacune en phase aqueuse. Un temps de séchage de huit heures est nécessaire entre les deux applications. © Maison DécoChamp lexical : construction | maçonnerie | décorationChamp lexical : construction | maçonnerie | décorationChamp lexical : construction | maçonnerie | décoration

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Le ch&acirc;teau de Bodiam, entour&eacute; de douves, date du XIVe si&egrave;cle. Il se situe pr&egrave;s de Robertsbridge, dans le Sussex de l'Est, en Angleterre.&copy; Hartlepoolmarina2014, Wikimedia Commons, CC by-sa 4.0

Le château de Bodiam, en Angleterre

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Le ch&acirc;teau de Bannes, en Dordogne, a connu une occupation ancienne ainsi que l'attestent des sarcophages et une monnaie de Vespasien d&eacute;couverts entre le ch&acirc;teau et l'&eacute;glise, vers 1840.La forteresse existe depuis au moins le XIVe si&egrave;cle. L'actuelle tour sud, dite &laquo; tour d'[popupbiographie id=1601]Henri IV[/popupbiographie] &raquo;, englobe la tour m&eacute;di&eacute;vale ant&eacute;rieure qui &eacute;tait d'un diam&egrave;tre plus petit.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html

Le château de Bannes, en Dordogne

Roi de Navarre, prince protestant, il épouse Marguerite de Valois sœur du roi de France Charles IX, le 18 août 1572, soit cinq jours avant le déclenchement de la Saint-Barthélemy. Il devient roi de France après l’assassinat du roi Henri III en 1589. Jusqu’à l’édit de Nantes, son règne est synonyme de reconquête et de pacification du territoire. En 1598, la France d’Henri IV fait exception au milieu d’États qui ont opté pour l’uniformité religieuse : des protestants minoritaires peuvent exercer leur culte dans un pays catholique. Henri IV et ses conseillers économiques vont opter pour une politique de croissance osée : développement de la production agricole et des industries de luxe, choix du mercantilisme, encouragement à l’urbanisme parisien, modernisation des routes, tentative de colonisation nord-américaine… Vaste programme inachevé lorsque le roi est assassiné le 14 mai 1610 à Paris.BiographieNé à Pau, le 13 décembre 1553, Henri est le fils de la reine de Navarre, Jeanne d’Albret (nièce de François Ier) et d’Antoine de Bourbon, descendant du roi Louis IX (Saint Louis) et premier prince du sang. Cette filiation fait d’Henri de Bourbon un successeur potentiel des rois de France de la maison de Valois. Baptisé catholique, instruit calviniste par sa mère, il abjure sa foi protestante après le massacre de la Saint-Barthélemy en août 1572, puis redevient protestant en 1576 après sa fuite de la Cour de France. En 1584, il devient l’héritier légitime du trône à la mort de François d’Anjou, frère cadet du roi Henri III. Les troubles religieux s’exacerbent sous la pression de la Ligue catholique (dominée par la famille de Guise) qui refuse de voir un protestant monter sur le trône.Portrait d'Henri de Bourbon, roi de Navarre, futur Henri IV, auteur anonyme vers 1575. Musée national du Château de Pau. © Wikimedia Commons, domaine publicDans les années 1584-1588, s’affirme le charisme d’Henri de Navarre comme chef de guerre et de parti mais également comme héritier légitime au trône de France. En juillet 1585, Henri III accède aux exigences des ultra-catholiques (ligueurs) et conclut le traité de Nemours : la religion réformée est interdite ; ses adhérents doivent choisir entre l’abjuration ou l’exil dans les six mois. Henri de Navarre est déchu de ses droits à la succession. Le traité de Nemours est interprété par les réformés comme une déclaration de guerre et déclenche leur prise d’armes : Elizabeth d’Angleterre inquiète des progrès de la Ligue catholique, contribue au financement des protestants français. Une rencontre décisive a lieu à Coutras en octobre 1587 : l’armée royale affronte l’armée des réformés menée par Henri de Navarre et Henri de Condé qui vont être victorieux.Après l’assassinat à Blois du chef de la Ligue, Henri de Guise, le 24 décembre 1588, Henri III se range du côté d’Henri de Navarre, en qui il voit un successeur à condition qu’il se convertisse au catholicisme. L’assassinat d’Henri III bouleverse la situation politique : le 2 août 1589, avant de mourir, le roi demande à la noblesse de prêter serment à celui qu’il désigne comme le nouveau souverain. Désireux d’obtenir le soutien des nobles et de l’armée royale, Henri IV publie (le 4 août 1589) la déclaration de Saint-Cloud dans laquelle il s’engage à maintenir la religion catholique dans le royaume et à réunir les États généraux.Après quatre années de guerres menées contre la Ligue, le roi abjure le 25 juillet 1593 à la Basilique Saint-Denis ; il est sacré le 27 février 1594 en la cathédrale de Chartres, Reims étant encore aux mains des ligueurs. Henri IV reçoit le collier de l’Ordre du Saint-Esprit dont il est désormais le Grand Maître. Le pape Clément VIII lui donne l’absolution en novembre 1595 ; tous les obstacles sont levés pour que les catholiques modérés se rallient à lui.Portrait d'Henri IV en Mars vainqueur de la Ligue, par Ambroise Dubois vers 1605. Musée national du Château de Pau. © Wikimedia Commons, domaine publicLes atouts d’Henri IVIls sont multiples : le royaume de France reste fidèle au roi et l’attitude de la noblesse évolue ; beaucoup craignent les débordements populaires de la Ligue parisienne et estiment que leur autorité sera mieux assurée dans une monarchie forte. Le combat des catholiques modérés est favorable à Henri IV : ils se présentent comme les « bons François » face aux ligueurs qui se sont alliés à l’Espagne. Ils estiment que la cohésion du royaume ne sera pas ruinée par l’existence de deux confessions. L’obéissance des sujets est nécessaire pour assurer la pérennité de la monarchie, donc le ralliement à Henri IV devient une évidence.Après deux ans de négociations, l’édit de Nantes (30 avril 1598) couronne l’action des modérés. La légalisation de la religion protestante et l’affirmation de la liberté de conscience n’empêchent pas le traitement inégal des deux religions. La religion catholique doit être restaurée partout dans le royaume et le calvinisme est « territorialisé » : les temples sont admis dans les lieux où le culte a été régulièrement célébré en 1596 et 1597, autrement dit dans toutes les cités du « croissant huguenot » (villes situées sur un arc géographique entre La Rochelle et Montélimar). L’État admet la tenue des synodes et contribue à l’entretien des pasteurs et des écoles mais les protestants doivent payer la dîme et respecter les fêtes chômées catholiques. Ils bénéficient de lieux de refuge et de places de sûreté et l’accès aux offices leur est de nouveau reconnu puisque le roi refuse toute discrimination fondée sur la religion. Les offices constituent alors la principale voie d’élévation sociale et d’anoblissement. Les protestants forment désormais un « ordre », c’est-à-dire un corps juridique possédant ses privilèges et son droit particulier. En décembre 1599, Henri IV obtient l’annulation de son mariage avec la reine Marguerite de Valois (la « reine Margot ») et épouse Marie de Médicis en décembre 1600. Marie de Médicis met au monde le dauphin Louis (futur Louis XIII) en septembre 1601, assurant ainsi l’avenir de la dynastie des Bourbons.Édit de Nantes d'avril 1598 : seconde version adressée au Parlement de Paris pour enregistrement. Archives nationales de France, cote AE/II/763. © Wikimedia Commons, domaine publicLe redressement économiqueLe roi et son conseiller Sully sont conscients que l’artisanat d’excellence a un rôle à jouer dans le redressement économique du royaume. Henri IV veut mettre en place un ambitieux programme de développement des manufactures, afin de limiter autant que possible l’achat à l’étranger de produits manufacturés. Les grandes tapisseries qui meublent les intérieurs sont des produits très recherchés : en 1601, le roi fait installer des tapissiers flamands dans les anciens ateliers des teinturiers Gobelin à Paris ; c’est la naissance de la future manufacture royale des Gobelins. Barthélemy de Laffemas, conseiller économique du roi, inspiré par les travaux de l’agronome Olivier de Serres, joue un rôle majeur dans le développement de l’industrie de la soie, en faisant planter des milliers de mûriers dans le Dauphiné et les Cévennes. Le canal de Briare reliant la Seine à la Loire, est le premier canal de transport fluvial creusé en France.En 1604, Henri IV institue un impôt de succession sur les offices (charges administratives concédées par le roi et permettant l'anoblissement sous conditions) : l'officier doit verser annuellement un soixantième de la valeur de l'office pour que la charge devienne héréditaire ; ce sont autant de revenus supplémentaires pour le Trésor royal.Henri IV va soutenir les expéditions maritimes vers la Nouvelle France : dès 1600, le roi accorde le monopole du commerce des fourrures au protestant Pierre Dugua de Mons puis il lui demande, sous les ordres de Samuel de Champlain, d'établir un poste français en Acadie. Ce sera sur l'île Sainte-Croix en 1604 et Port Royal, en Nouvelle France, au printemps 1605. Champlain fonde la ville de Québec en 1608 : c'est le point de départ de la colonisation française en Amérique.Portrait de Maximilien de Béthune, duc de Sully (1559-1641), anonyme école française XVIe siècle. Musée des Beaux-Arts de Blois. © Wikimedia Commons, domaine publicÉpilogueLa reine Marie de Médicis est officiellement couronnée le 13 mai 1610 et le 14 mai, Henri IV est assassiné par Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris, alors qu'il se rend au chevet de Sully malade. Le roi est enterré à la Basilique Saint-Denis ; sa tombe est profanée en 1793, pendant les événements de la Terreur. Des débats scientifiques ont encore lieu aujourd'hui pour authentifier la fameuse tête momifiée attribuée à Henri IV.Pistes de lectureMax Gallo, Henri IV. Un roi français, Xo éditions, 2016.Jean-Pierre Babelon, Henri IV, Fayard, 2009.François Bayrou, Henri IV : le roi libre, Flammarion, 1994. 

 Henri IV

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Le Ch&acirc;teau Frontenac est un h&ocirc;tel situ&eacute; &agrave; Qu&eacute;bec, au Canada.&copy; freestock.ca, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

L'hôtel Château Frontenac, à Québec, au Canada

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Le ch&acirc;teau de Monbazillac, propri&eacute;t&eacute; de la cave de Monbazillac depuis 1960, pr&eacute;sente une architecture unique et originale, m&eacute;lange de syst&egrave;mes d&eacute;fensifs m&eacute;di&eacute;vaux et d'&eacute;l&eacute;gances de la Renaissance.Plant&eacute; au c&oelig;ur du vignoble prestigieux qui [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] son nom, la vue qui s'offre depuis les [popupdefinition id=10934]terrasses[/popupdefinition] du parc constitue un panorama extraordinaire sur la vall&eacute;e de la Dordogne. Enti&egrave;rement meubl&eacute;, le ch&acirc;teau est ouvert toute l'ann&eacute;e en visites libres ou guid&eacute;es. &Agrave; l'issu de la visite, une d&eacute;gustation de Monbazillac est offerte &agrave; chaque visiteur.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html

Le château de Monbazillac, en Dordogne, au cœur du vignoble

La terrasse se situe toujours à l'extérieur d’un bâtiment, que ce soit au rez-de-chaussée (comme dans la majorité des cas en France), à un étage voire un dernier étage. C’est un élément architectural à part entière, une surface plane qui offre un espace ouvert et que l’on l’associe à un lieu de détente.Dans certains pays, comme les pays méditerranéens ou les pays du Maghreb, la terrasse désigne la toiture d'un bâtiment (immeuble, maison) lorsque cette dernière est constituée d'une plateforme maçonnée, rendant ainsi la surface initialement prévue à la toiture utilisable au quotidien. Le toit plat se fait alors terrasse.Le terme « terrasse » s’utilise aussi pour s’installer à l’extérieur d’un café ou d’un restaurant. Les terrasses de café sont populaires dans de nombreuses villes, elles permettent de profiter de l’atmosphère extérieure et contribuent à tisser des liens sociaux.Une terrasse n’est pas un balconMême si les termes « terrasse » et « balcon » désignent tous deux des espaces extérieurs qui offrent une vue sur l’environnement plus ou moins proche ou sur le jardin et peuvent être utilisés pour diverses activités, à la différence du balcon, la terrasse est une plateforme de construction aménagée sans faire de saillie. La terrasse est aussi généralement plus spacieuse qu’un balcon. La terrasse n’est pas non plus une véranda, cette dernière étant en grande partie fermée par des parois vitrées coulissantes ou non.La terrasse est située à l'extérieur d'une construction. Son aménagement en fait un véritable espace à vivre. © Photographee.eu, Adobe StockL’aménagement d’une terrasseMême si les terrasses varient en dimensions, en formes et en styles, elles sont des lieux de vie, généralement dans le prolongement de la maison, ce qui en fait une véritable extension à ciel ouvert. La terrasse peut être protégée du soleil par une pergola bioclimatique ou pas, par un auvent ou un simple parasol.Bien souvent, on place sur une terrasse du mobilier de jardin (table de repas, chaises, transats et chaises longues…), des plantes en pot, un éclairage, voire aussi un barbecue ou une plancha pour des moments conviviaux aux beaux jours.Le sol d’une terrasseEn tenant compte du climat local, du budget, du style, de l’utilisation envisagée…, le revêtement du sol de la terrasse peut être en béton brut (antidérapant et résistant aux chocs thermiques), en bois (pour son aspect chaleureux mais qui nécessite un entretien régulier), en carrelage (spécial extérieur, pour éviter le côté glissant de la céramique ou de la pierre naturelle), en gazon synthétique...

Terrasse

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Le ch&acirc;teau de Chenonceau est &eacute;difi&eacute; dans le lit du Cher, sur les <a href="/maison/comparatifs/meilleure-pile-comparatif/" title="Comparatif pile" class="link-type-comparo">piles</a> d'un moulin fortifi&eacute; et du ch&acirc;teau fort rachet&eacute; &agrave; la famille des Marques. Celui-ci fut ras&eacute;, &agrave; l'exception du donjon (la tour des Marques, qui sera adapt&eacute;e au [popupdefinition id=14968]style[/popupdefinition] renaissance) et du puits qui le jouxte.Il fut b&acirc;ti par Thomas Bohier, le secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral des finances du roi Fran&ccedil;ois 1er. Le [popupdefinition id=10612]corps de logis[/popupdefinition] carr&eacute; qui constitue le ch&acirc;teau originel fut construit entre 1513 et 1521. Thomas&nbsp;Bohier &eacute;tant occup&eacute; par la guerre, c'est surtout sa femme, Katherine Bri&ccedil;onnet, une Tourangelle appartenant &agrave; une famille de grands financiers qui dirigea les travaux et fit les choix architecturaux.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_de_Chenonceau

Le château de Chenonceau, en Indre-et-Loire

En architecture, le corps de logis désigne le bâtiment principal d'un important domaine traditionnel. Il s'agit en général du lieu où résident les propriétaires et où toutes les pièces à usage privé sont regroupées. Lorsque le corps de logis est imposant, il dispose également de tous les espaces de vie comme la salle à manger, les salons, etc. Les lieux les plus majestueux sont situés à l'étage.
Description du corps de logis
Élément principal d'une propriété, le corps de logis a le plus souvent une façade très soignée puisqu'elle accueille les visiteurs. À la fin du Moyen Âge, le corps de logis est allongé par des ailes ajoutées perpendiculairement de chaque côté. Lorsqu'il existe plusieurs bâtiments accolés, une grande cour d'apparat est aménagée à l'avant, et le jardin à l'arrière. Les plus grands monuments de l'époque classique en Europe disposent d'un corps de logis, comme à Versailles.

Corps de logis

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Le ch&acirc;teau de Qu&eacute;ribus est un ch&acirc;teau cathare situ&eacute; sur la commune de Cucugnan, dans le d&eacute;partement de l'Aude. Cette &eacute;tonnante forteresse est perch&eacute;e sur un piton rocheux &agrave; 728 m&egrave;tres d'altitude. Le ch&acirc;teau est situ&eacute; sur une barre rocheuse &agrave; la fronti&egrave;re du d&eacute;partement de l'Aude et des Pyr&eacute;n&eacute;es-Orientales.En 1258, le trait&eacute; de Corbeil fixe la fronti&egrave;re entre la France et l'Aragon au sud des Corbi&egrave;res tout pr&egrave;s du ch&acirc;teau. Il devient alors une place forte ma&icirc;tresse qui appartient au dispositif d&eacute;fensif fran&ccedil;ais dont le commandement est Carcassonne. Il est l'un des &laquo; cinq fils de Carcassonne &raquo; : Qu&eacute;ribus, Aguilar, Peyrepertuse, Puilaurens et Termes.Abandonn&eacute; &agrave; la R&eacute;volution fran&ccedil;aise, la forteresse continue &agrave; se d&eacute;labrer jusqu'&agrave; son classement Monument historique en 1907. La r&eacute;gion qui l'entoure avec notamment le Grau de Maury et le village de Cucugnan, constitue un site prot&eacute;g&eacute; depuis 1943.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy; Texte wikipediahttp://fr.wikipedia.org/[popupdefinition id=3977]wiki[/popupdefinition]/Ch%C3%A2teau_de_Qu%C3%A9ribus

Le château de Quéribus, à Cucugnan, dans les Pyrénées-Orientales

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Le ch&acirc;teau d'Egeskov se situe sur l'&icirc;le de Fionie, au Danemark. Il est orn&eacute; de tours et se trouve au milieu d'un petit lac. Il constitue, avec ses jardins, une attraction touristique. Le site abrite plusieurs mus&eacute;es.&copy; Mal&egrave;ne Thyssen, [popupdefinition id=3985]GNU[/popupdefinition] 1.2

Le château d'Egeskov, au Danemark

Le projet GNU (GNU is Not Unix - acronyme récursif) a démarré en 1984, sous l'impulsion de Richard Stallman, avec la mission de développer un système Unix complètement libre. Ses premiers projets ont consisté en deux briques fondamentales pour le développement des logiciels libres: l'éditeur Emacs et le compilateur GCC. 
Des centaines de logiciels ont été développés à ce jour par cette organisation regroupant de nombreux volontaires bénévoles. A terme, le projet GNU vise à fournir un système complet, notamment grâce au développement (qui a été lancé il y a plus de dix ans) du noyau Hurd, à la conception futuriste. Les outils GNU fournissent une bonne part des distributions Linux. On peut notamment citer CVS, le shell bash, ou encore wget. 
Le projet GNU est probablement le pilier fondamental du mouvement des logiciels libres. La Free Software Fondation est très respectée au sein de la communauté du logiciel libre pour cette raison. Tout les outils GNU sont bien sûr placés sous licence GPL.

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Le ch&acirc;teau de Vittsk&ouml;vle se situe en Su&egrave;de, dans la province historique de Scanie, au sud du pays.&copy; Anv&auml;ndare:Jorchr, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Le château de Vittskövle, en Suède

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Situ&eacute; &agrave; 15 km &agrave; l'est de Bergerac, proche de la Dordogne, le ch&acirc;teau de Lanquais retient les amateurs d'architecture par le &laquo; collage &raquo; d'une aile Renaissance sur un ch&acirc;teau fort du XVe si&egrave;cle.Du ch&acirc;teau fort du XVe, il reste la tour ronde avec m&acirc;chicoulis et chemin de ronde, une partie du [popupdefinition id=10612]corps de logis[/popupdefinition] central et la tour polygonale.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html

Le château de Lanquais, en Dordogne

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Le ch&acirc;teau de Biron est situ&eacute; sur la commune du m&ecirc;me nom, dans la vall&eacute;e de la L&egrave;de (d&eacute;partement de la Dordogne) dans le P&eacute;rigord noir (r&eacute;gion Aquitaine).Il fut le ch&acirc;teau de la famille de Gontaut-Biron depuis le XIIe si&egrave;cle ; pris par les Albigeois en 1211, Simon IV de Montfort en 1212, les Anglais au XIVe si&egrave;cle et XVe si&egrave;cle. Erig&eacute; en duch&eacute;-pairie en 1598.Chaque si&egrave;cle, entre le XIIe si&egrave;cle et le XVIIIe si&egrave;cle, a laiss&eacute; son empreinte, &eacute;voquant les vicissitudes de cet &eacute;difice monumental : donjon du XIIe si&egrave;cle,&nbsp;chapelle &agrave; double &eacute;tage,&nbsp;appartements de la Renaissance,&nbsp;impressionnantes cuisines vo&ucirc;t&eacute;es,&nbsp;salle des &Eacute;tats...De cette incroyable juxtaposition de b&acirc;timents r&eacute;sulte un ensemble architectural exceptionnel, d'un attrait tout particulier. En 1978, le d&eacute;partement acquiert le ch&acirc;teau en vue de le restaurer&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html&copy;&nbsp;Texte Wikipedia

Le château de Biron, en Dordogne

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Le ch&acirc;teau de Chillon se trouve sur les rives du lac L&eacute;man, &agrave; Veytaux en Suisse. De forme oblongue, le ch&acirc;teau mesure 110 m&egrave;tres de long pour 50 m&egrave;tres de large, le donjon culmine &agrave; 25 m&egrave;tres. C'est une importante attraction touristique. Successivement occup&eacute; par la maison de Savoie puis par les Bernois d&egrave;s 1536 jusqu'en 1798, il appartient d&eacute;sormais &agrave; l'&Eacute;tat de Vaud et est class&eacute; comme monument historique.&copy; Benjamin Gimmel,&nbsp;[popupdefinition id=3985]GNU[/popupdefinition]&copy; Wikipedia

Le château de Chillon, en Suisse

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Le ch&acirc;teau de Commarque, sa chapelle et son village ont &eacute;t&eacute; b&acirc;tis sur un rocher dans la vall&eacute;e de la Beune entre Les Eyzies et Sarlat. Il fait face &agrave; son cousin, le ch&acirc;teau de Laussel.Le site &eacute;tait occup&eacute; de longue date. Des [popupdefinition id=15134]gravures[/popupdefinition] de l'&eacute;poque magdal&eacute;nienne ont &eacute;t&eacute; d&eacute;couvertes en 1915 dans les abris au pied du roc. Les restes d'un fort troglodytique ont &eacute;galement &eacute;t&eacute; relev&eacute;s.Au XIIe si&egrave;cle, Commarque abritait une commanderie des Templiers, reprise par les Hospitaliers de Saint-Jean apr&egrave;s la disparition de l'Ordre. Ce sont les Hospitaliers qui auraient b&acirc;ti l'actuel donjon, avant de vendre le ch&acirc;teau &agrave; la famille de Beynac.Lorsqu'il meurt en 1370, le seigneur de Beynac laisse une enfant de trois ans pour seule h&eacute;riti&egrave;re. Ses possessions sont menac&eacute;es par les Anglais qui tiennent la forteresse voisine de Castelnaud. Aussi, Pons de Commarque, son oncle, &eacute;pouse l'enfant en 1379 et prend en charge la d&eacute;fense du domaine. Il repousse les Anglais mais ce mariage fait des Commarque, pour un temps, la plus puissante famille du P&eacute;rigord.&copy; Philippe DufourTous droits r&eacute;serv&eacute;shttp://perso.orange.fr/[popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition].ouest/text/index.html

Le château de Commarque, en Dordogne

On regroupe sous le terme de gravure, une palette de méthodes de microfabrication qui consistent à retirer une ou plusieurs couches de matériaux.
La gravure au sens de microfabrication se différencie de la gravure artistique, catégorie dans laquelle se rangent, entre autres, les gravures rupestres. Au quotidien, on peut également avoir recours à des techniques de gravure, pour graver un CD, par exemple, à l'aide d'un faisceau laser.
Gravure chimique
La méthode de gravure chimique consiste à plonger le substrat dans une solution qui va attaquer chimiquement sa surface. On aura bien sûr pris soin, au préalable, de protéger les zones que l’on veut préserver. La solution retenue doit être choisie avec soin car elle ne doit réagir qu’avec le matériau à éliminer. Ainsi, un substrat en silicium, par exemple, peut être attaqué par de l’acide fluorhydrique et un substrat en aluminium, par de l’acide nitrique.
La gravure chimique est relativement aisée à mettre en œuvre. Elle nécessite cependant un rinçage, à l’eau désionisée, et un séchage, en centrifugeuse ou par soufflage d’azote ou d’air sec, des plaquettes après gravure. Elle présente également l’inconvénient d’être fortement isotrope.
Gravure physique et gravure au plasma
La gravure physique repose sur le bombardement de la surface à graver par des ions. Là encore, les zones que l’on souhaite préserver doivent être protégées. Puis, le substrat est placé dans une chambre à vide équipée de deux électrodes. On introduit ensuite un gaz inerte (dioxygène ou argon) et on applique un champ électrique intense à l’électrode inférieure. Le gaz est partiellement ionisé et les ions générés bombardent le substrat et le désagrègent. On parle de gravure au plasma. L’avantage de cette méthode, c’est que la frontière entre les zones gravées et non gravées est très nette.
Gravure ionique réactive
La méthode de gravure dite « ionique réactive » peut être décrite comme une méthode de gravure physique à laquelle on ajoute un brin de gravure chimique. Elle reprend donc les principes de la gravure au plasma auxquels on ajoute l’injection d’un gaz fortement réactif, dérivé du fluor ou du chlore, par exemple. Une fois ionisé, ce gaz va réagir chimiquement avec la surface du substrat. De quoi combiner les avantages de la gravure physique et ceux de la gravure chimique. Mais, le procédé reste délicat à mettre en œuvre.

Gravure

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Le ch&acirc;teau de Neuschwanstein est un ch&acirc;teau allemand situ&eacute; &agrave; Schwangau, en Bavi&egrave;re, pr&egrave;s de F&uuml;ssen, dans l'Allg&auml;u. Louis II de Bavi&egrave;re le fit construire au XIXe si&egrave;cle. C'est aujourd'hui le ch&acirc;teau le plus c&eacute;l&egrave;bre d'Allemagne, visit&eacute; chaque ann&eacute;e par des millions de touristes.&copy; Softeis, [popupdefinition id=3985]GNU[/popupdefinition] 1.2

Le château de Neuschwanstein, l'un des plus célèbres d'Allemagne

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Le ch&acirc;teau de Raudon&#279; se situe dans la ville du m&ecirc;me nom, en Lituanie.&copy; Wojsyl, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Le château de Raudonė, en Lituanie

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Le Palazzo Ducale d'Urbino est un palais ducal. Il domine la ville d'Urbino, dans la r&eacute;gion des Marches, en Province de Pesaro et Urbino, en Italie.&copy; Massimo Macconi, Wikimedia Commons, DP

Le Palazzo Ducale d'Urbino, en Italie

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