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    En 2001, La France devrait consacrer 32,56 milliards de francs à son APD (hors territoires d'outre-mer), soit 0,34% de son PIBPIB (source : AITEC), après un contexte de décroissance continue de l'APD depuis 1994, date à laquelle elle atteignait son plus haut niveau, représentant 0,64 % de son PIB. La France souhaite consolider les priorités budgétaires dégagées pour l'année 2001, en soulignant l'importance d'une évolution qualitative de l'Aide Publique au Développement. Entre 1980 et 1998, la France à annulé pour 55 milliards de FF au titre des mesures bilatérales. La contribution de la France au FEMFEM est de 862 MF pour la période 1998-2001, après un engagement de 900 MF pour la phase pilote de 1990 - 1993 et de 806 MF pour la période 1994 - 1997. La France s'engage en faveur d'une taxe 'type Tobin', sur les spéculations financières internationales, et pourrait être mise à disposition de politiques d'ordre social et d'aide au développement.