En association avec le National Geographic, des associations de plongée et de surf, ainsi qu'avec un institut de recherche océanographique, Google met en ligne des vidéos et des images à inclure dans Google Earth, dont certaines ont déjà été publiées par Futura-Sciences. Allergiques à l'anglais, coupez le son...

au sommaire


    Ce paquetpaquet-cadeau s'appelle Ocean Showcase (vitrine de l'océan). Sur le site dédié, on peut déjà visionner une jolie vidéo et on peut aussi télécharger plusieurs fichiers qui viendront ajouter au logiciellogiciel Google EarthGoogle Earth (version 5) des listes de lieux préférés, tous situés dans l'océan.
    En cliquant sur l'un d'eux, on plonge dans le grand bleu et une fiche apparaît, montrant un commentaire et proposant une photo ou une vidéo prise par un engin sous-marin.

    L'une des listes est fournie par le National Geographic, qui propose une demi-douzaine de lieux ouvrant la porteporte à de jolies vidéos et aux commentaires avisés (mais en anglais) de l'océanographe Sylvia Earle. On parcourt ainsi les océans, Méditerranée comprise, à la découverte des baleines, des orques ou des épaves.

    Devenez océanographe

    Une autre provient du MBARI, le Monterey Bay Aquarium Research Institute, un institut océanographique cher à Claire Nouvian puisqu'elle y a trouvé aide et assistance pour son projet de livre Abysses sur la faune si mal connue des grandes profondeurs. Au programme, calmar géant, poulpe des grands fonds, évents hydrothermaux, festin abyssal autour d'une carcasse de baleine, drone chargé de planter des GPSGPS dans les icebergs, etc.

    Les lecteurs de Futura-Sciences reconnaîtront le Barreleye fish, alias Macropinna microstoma, un poissonpoisson aux yeuxyeux enfermés dans la tête mais dont le crânecrâne est transparenttransparent. On retrouve aussi une attaque d'un sous-marin de poche par un calmar géant, similaire à celle vécue en 2007 par Tsunemi Kubodera, qui avait filmé l'animal.

    D'autres listes montrent des lieux de surf et de plongée. Tout cela est en anglais mais, même sans le son, les images sont superbes ! La méthode consiste à télécharger la liste (un fichier KMZ) puis à double-cliquer dessus, ce qui lance Google Earth.