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    Nous passons le plus clair de notre temps entre quatre mursmurs : logement, lieux de travail ou publics, etc. Or, de nombreux produits de la vie courante nuisent à la qualité de l'air et à la santé. Les peintures light utilisent quant à elles des produits à teneur en COVCOV allégée.

    Les peintures <em>light</em>, de quoi s'agit-il ? © Purplequeue, Fotolia ; Tama66, Pixabay, DP

    Les peintures light, de quoi s'agit-il ? © Purplequeue, Fotolia ; Tama66, Pixabay, DP

    Certaines peintures conventionnelles et produits associés, issus de la chimie de synthèse, peuvent nuire à la qualité de l'air et à la santé. Comment les rendre moins polluants sans, pour autant, s'astreindre aux standards écologiques purs et durs ?

    Monocouche acrylique labellisée « environnement », pour chambres, séjour, entrée… D'aspect mat, elle est lessivable avec un nettoyant ménager. Elle sèche au toucher en 30 minutes et complètement après 12 heures. Rendement moyen : 12 m<sup>2</sup>/litre. © DR

    Monocouche acrylique labellisée « environnement », pour chambres, séjour, entrée… D'aspect mat, elle est lessivable avec un nettoyant ménager. Elle sèche au toucher en 30 minutes et complètement après 12 heures. Rendement moyen : 12 m2/litre. © DR

    En utilisant des produits à teneur en COV allégée, l'industrie y trouve son compte et les défenseurs de l'environnement s'estiment mieux protégés, à raison sans doute, même si tout n'est pas parfait.

       Logo NF environnement. © DR

        Logo NF environnement. © DR

    Les deux grandes familles de peintures sont concernées. Pour prétendre à la « qualité environnementale », elles doivent porter sur leur emballage la marque d'au moins un écolabel officiel, français ou européen, seule vraie garantie qu'elles répondent aux spécifications établies.